RESIDENCE DES ARTS - ST ETIENNE

  • La situation géographique de ce projet est à la fois privilégiée et de même précaire. Cette dualité est due au contexte proche pouvant être considéré comme défavorisant, l’environnement urbain et social étant disloqué tout autour du site concerné. Cependant son positionnement permet une des plus épatantes ouvertures visuelles sur la ville de Saint-Etienne. Etant en hauteur le regard peut aisément embrasser le paysage lointain qui se compose autour du Jardin des Plantes. La volonté du pouvoir en place tend à conserver cette usine déjà reconvertie à multiples reprises. Sa vocation change cependant les formes de sa présence demeure. La ville de Saint-Etienne fut une ville-usine. Les lieux de production et de fabrication, les ateliers, manufactures, usines, ont été pendant des siècles des embryons urbains. Tout autour de ces événements construits la ville s’est développée. Nombreuses sont les villes qui s’étalaient, s’agrandissait autour des places et des églises, des rivières et des axes de communication. L’histoire de la ville stéphanoise est différente et c’est dans cette perspective que la conservation de ces édifices emblématiques reste une attitude appréciable et noble en soi. Conserver tout en réussissant à rendre vivant ce qui fut un embryon urbain, telle est notre démarche. Ce bâtiment est peut être dépositaire de la capacité à relancer la vie autour de lui c’est pour cela que les intentions de notre projet doivent être bien appréhendées. A l’image de la ville, ce territoire sera composé de voies multiples et hiérarchisés propres au mouvement, et de lieux d’arrêts, de rencontre – espaces statiques. Depuis la rue nous pensons introduire l’habitant dans le projet par le biais d’une placette haute, un belvédère. Ayant la croix au premier plan, il découvrira avec satisfaction un large panorama. Ensuite par un escalier, généreux dans ses proportions, il ira à la rencontre de l’édifice. Il longe des murs en pierre, qui par leur décalage et pliage donnèrent naissance à des plateformes dessinées en forme de placettes, venelles, galeries. Face à lui une masse minérale avec une peau de pierre qui habille les formes originelles de l’usine. Que de silence et d’étonnement. Cinq blocs à dimension domestique se trouvent disposés sur la toiture. Ils donnent un rythme et fragmente l’allure monolithique de l’existent. Les maisons suspendues recherchent la lumière et le regard sur la ville, elles sont en quête de vues imprenables. L’ancienne usine se trouve partiellement vidée. Dans son cœur un patio prend forme. Verdure et lumière, les deux composantes suffisantes et nécessaires pour créer un espace propre à la vie domestique. Une passerelle le traverse. Elle permet de distribuer les appartements en cherchant à relier la rue à la porte palière. Des instants diversifiés et divertissants, des moments et mouvements qui rendent compte de la beauté du site et de son environnement. Voici en quelques mots l’idée qui a su s’imposer à nous face à ce défi de nature architecturale et urbanistique. • Date de livraison : • Ville : • Département : • Maitre d'ouvrage : • Architectes associés : • Coût : • SHON : • Nature de la mission :
  • La situation géographique de ce projet est à la fois privilégiée et de même précaire. Cette dualité est due au contexte proche pouvant être considéré comme défavorisant, l’environnement urbain et social étant disloqué tout autour du site concerné. Cependant son positionnement permet une des plus épatantes ouvertures visuelles sur la ville de Saint-Etienne. Etant en hauteur le regard peut aisément embrasser le paysage lointain qui se compose autour du Jardin des Plantes. La volonté du pouvoir en place tend à conserver cette usine déjà reconvertie à multiples reprises. Sa vocation change cependant les formes de sa présence demeure. La ville de Saint-Etienne fut une ville-usine. Les lieux de production et de fabrication, les ateliers, manufactures, usines, ont été pendant des siècles des embryons urbains. Tout autour de ces événements construits la ville s’est développée. Nombreuses sont les villes qui s’étalaient, s’agrandissait autour des places et des églises, des rivières et des axes de communication. L’histoire de la ville stéphanoise est différente et c’est dans cette perspective que la conservation de ces édifices emblématiques reste une attitude appréciable et noble en soi. Conserver tout en réussissant à rendre vivant ce qui fut un embryon urbain, telle est notre démarche. Ce bâtiment est peut être dépositaire de la capacité à relancer la vie autour de lui c’est pour cela que les intentions de notre projet doivent être bien appréhendées. A l’image de la ville, ce territoire sera composé de voies multiples et hiérarchisés propres au mouvement, et de lieux d’arrêts, de rencontre – espaces statiques. Depuis la rue nous pensons introduire l’habitant dans le projet par le biais d’une placette haute, un belvédère. Ayant la croix au premier plan, il découvrira avec satisfaction un large panorama. Ensuite par un escalier, généreux dans ses proportions, il ira à la rencontre de l’édifice. Il longe des murs en pierre, qui par leur décalage et pliage donnèrent naissance à des plateformes dessinées en forme de placettes, venelles, galeries. Face à lui une masse minérale avec une peau de pierre qui habille les formes originelles de l’usine. Que de silence et d’étonnement. Cinq blocs à dimension domestique se trouvent disposés sur la toiture. Ils donnent un rythme et fragmente l’allure monolithique de l’existent. Les maisons suspendues recherchent la lumière et le regard sur la ville, elles sont en quête de vues imprenables. L’ancienne usine se trouve partiellement vidée. Dans son cœur un patio prend forme. Verdure et lumière, les deux composantes suffisantes et nécessaires pour créer un espace propre à la vie domestique. Une passerelle le traverse. Elle permet de distribuer les appartements en cherchant à relier la rue à la porte palière. Des instants diversifiés et divertissants, des moments et mouvements qui rendent compte de la beauté du site et de son environnement. Voici en quelques mots l’idée qui a su s’imposer à nous face à ce défi de nature architecturale et urbanistique. • Date de livraison : • Ville : • Département : • Maitre d'ouvrage : • Architectes associés : • Coût : • SHON : • Nature de la mission :
  • La situation géographique de ce projet est à la fois privilégiée et de même précaire. Cette dualité est due au contexte proche pouvant être considéré comme défavorisant, l’environnement urbain et social étant disloqué tout autour du site concerné. Cependant son positionnement permet une des plus épatantes ouvertures visuelles sur la ville de Saint-Etienne. Etant en hauteur le regard peut aisément embrasser le paysage lointain qui se compose autour du Jardin des Plantes. La volonté du pouvoir en place tend à conserver cette usine déjà reconvertie à multiples reprises. Sa vocation change cependant les formes de sa présence demeure. La ville de Saint-Etienne fut une ville-usine. Les lieux de production et de fabrication, les ateliers, manufactures, usines, ont été pendant des siècles des embryons urbains. Tout autour de ces événements construits la ville s’est développée. Nombreuses sont les villes qui s’étalaient, s’agrandissait autour des places et des églises, des rivières et des axes de communication. L’histoire de la ville stéphanoise est différente et c’est dans cette perspective que la conservation de ces édifices emblématiques reste une attitude appréciable et noble en soi. Conserver tout en réussissant à rendre vivant ce qui fut un embryon urbain, telle est notre démarche. Ce bâtiment est peut être dépositaire de la capacité à relancer la vie autour de lui c’est pour cela que les intentions de notre projet doivent être bien appréhendées. A l’image de la ville, ce territoire sera composé de voies multiples et hiérarchisés propres au mouvement, et de lieux d’arrêts, de rencontre – espaces statiques. Depuis la rue nous pensons introduire l’habitant dans le projet par le biais d’une placette haute, un belvédère. Ayant la croix au premier plan, il découvrira avec satisfaction un large panorama. Ensuite par un escalier, généreux dans ses proportions, il ira à la rencontre de l’édifice. Il longe des murs en pierre, qui par leur décalage et pliage donnèrent naissance à des plateformes dessinées en forme de placettes, venelles, galeries. Face à lui une masse minérale avec une peau de pierre qui habille les formes originelles de l’usine. Que de silence et d’étonnement. Cinq blocs à dimension domestique se trouvent disposés sur la toiture. Ils donnent un rythme et fragmente l’allure monolithique de l’existent. Les maisons suspendues recherchent la lumière et le regard sur la ville, elles sont en quête de vues imprenables. L’ancienne usine se trouve partiellement vidée. Dans son cœur un patio prend forme. Verdure et lumière, les deux composantes suffisantes et nécessaires pour créer un espace propre à la vie domestique. Une passerelle le traverse. Elle permet de distribuer les appartements en cherchant à relier la rue à la porte palière. Des instants diversifiés et divertissants, des moments et mouvements qui rendent compte de la beauté du site et de son environnement. Voici en quelques mots l’idée qui a su s’imposer à nous face à ce défi de nature architecturale et urbanistique. • Date de livraison : • Ville : • Département : • Maitre d'ouvrage : • Architectes associés : • Coût : • SHON : • Nature de la mission :
  • La situation géographique de ce projet est à la fois privilégiée et de même précaire. Cette dualité est due au contexte proche pouvant être considéré comme défavorisant, l’environnement urbain et social étant disloqué tout autour du site concerné. Cependant son positionnement permet une des plus épatantes ouvertures visuelles sur la ville de Saint-Etienne. Etant en hauteur le regard peut aisément embrasser le paysage lointain qui se compose autour du Jardin des Plantes. La volonté du pouvoir en place tend à conserver cette usine déjà reconvertie à multiples reprises. Sa vocation change cependant les formes de sa présence demeure. La ville de Saint-Etienne fut une ville-usine. Les lieux de production et de fabrication, les ateliers, manufactures, usines, ont été pendant des siècles des embryons urbains. Tout autour de ces événements construits la ville s’est développée. Nombreuses sont les villes qui s’étalaient, s’agrandissait autour des places et des églises, des rivières et des axes de communication. L’histoire de la ville stéphanoise est différente et c’est dans cette perspective que la conservation de ces édifices emblématiques reste une attitude appréciable et noble en soi. Conserver tout en réussissant à rendre vivant ce qui fut un embryon urbain, telle est notre démarche. Ce bâtiment est peut être dépositaire de la capacité à relancer la vie autour de lui c’est pour cela que les intentions de notre projet doivent être bien appréhendées. A l’image de la ville, ce territoire sera composé de voies multiples et hiérarchisés propres au mouvement, et de lieux d’arrêts, de rencontre – espaces statiques. Depuis la rue nous pensons introduire l’habitant dans le projet par le biais d’une placette haute, un belvédère. Ayant la croix au premier plan, il découvrira avec satisfaction un large panorama. Ensuite par un escalier, généreux dans ses proportions, il ira à la rencontre de l’édifice. Il longe des murs en pierre, qui par leur décalage et pliage donnèrent naissance à des plateformes dessinées en forme de placettes, venelles, galeries. Face à lui une masse minérale avec une peau de pierre qui habille les formes originelles de l’usine. Que de silence et d’étonnement. Cinq blocs à dimension domestique se trouvent disposés sur la toiture. Ils donnent un rythme et fragmente l’allure monolithique de l’existent. Les maisons suspendues recherchent la lumière et le regard sur la ville, elles sont en quête de vues imprenables. L’ancienne usine se trouve partiellement vidée. Dans son cœur un patio prend forme. Verdure et lumière, les deux composantes suffisantes et nécessaires pour créer un espace propre à la vie domestique. Une passerelle le traverse. Elle permet de distribuer les appartements en cherchant à relier la rue à la porte palière. Des instants diversifiés et divertissants, des moments et mouvements qui rendent compte de la beauté du site et de son environnement. Voici en quelques mots l’idée qui a su s’imposer à nous face à ce défi de nature architecturale et urbanistique. • Date de livraison : • Ville : • Département : • Maitre d'ouvrage : • Architectes associés : • Coût : • SHON : • Nature de la mission :
  • La situation géographique de ce projet est à la fois privilégiée et de même précaire. Cette dualité est due au contexte proche pouvant être considéré comme défavorisant, l’environnement urbain et social étant disloqué tout autour du site concerné. Cependant son positionnement permet une des plus épatantes ouvertures visuelles sur la ville de Saint-Etienne. Etant en hauteur le regard peut aisément embrasser le paysage lointain qui se compose autour du Jardin des Plantes. La volonté du pouvoir en place tend à conserver cette usine déjà reconvertie à multiples reprises. Sa vocation change cependant les formes de sa présence demeure. La ville de Saint-Etienne fut une ville-usine. Les lieux de production et de fabrication, les ateliers, manufactures, usines, ont été pendant des siècles des embryons urbains. Tout autour de ces événements construits la ville s’est développée. Nombreuses sont les villes qui s’étalaient, s’agrandissait autour des places et des églises, des rivières et des axes de communication. L’histoire de la ville stéphanoise est différente et c’est dans cette perspective que la conservation de ces édifices emblématiques reste une attitude appréciable et noble en soi. Conserver tout en réussissant à rendre vivant ce qui fut un embryon urbain, telle est notre démarche. Ce bâtiment est peut être dépositaire de la capacité à relancer la vie autour de lui c’est pour cela que les intentions de notre projet doivent être bien appréhendées. A l’image de la ville, ce territoire sera composé de voies multiples et hiérarchisés propres au mouvement, et de lieux d’arrêts, de rencontre – espaces statiques. Depuis la rue nous pensons introduire l’habitant dans le projet par le biais d’une placette haute, un belvédère. Ayant la croix au premier plan, il découvrira avec satisfaction un large panorama. Ensuite par un escalier, généreux dans ses proportions, il ira à la rencontre de l’édifice. Il longe des murs en pierre, qui par leur décalage et pliage donnèrent naissance à des plateformes dessinées en forme de placettes, venelles, galeries. Face à lui une masse minérale avec une peau de pierre qui habille les formes originelles de l’usine. Que de silence et d’étonnement. Cinq blocs à dimension domestique se trouvent disposés sur la toiture. Ils donnent un rythme et fragmente l’allure monolithique de l’existent. Les maisons suspendues recherchent la lumière et le regard sur la ville, elles sont en quête de vues imprenables. L’ancienne usine se trouve partiellement vidée. Dans son cœur un patio prend forme. Verdure et lumière, les deux composantes suffisantes et nécessaires pour créer un espace propre à la vie domestique. Une passerelle le traverse. Elle permet de distribuer les appartements en cherchant à relier la rue à la porte palière. Des instants diversifiés et divertissants, des moments et mouvements qui rendent compte de la beauté du site et de son environnement. Voici en quelques mots l’idée qui a su s’imposer à nous face à ce défi de nature architecturale et urbanistique. • Date de livraison : • Ville : • Département : • Maitre d'ouvrage : • Architectes associés : • Coût : • SHON : • Nature de la mission :
  • La situation géographique de ce projet est à la fois privilégiée et de même précaire. Cette dualité est due au contexte proche pouvant être considéré comme défavorisant, l’environnement urbain et social étant disloqué tout autour du site concerné. Cependant son positionnement permet une des plus épatantes ouvertures visuelles sur la ville de Saint-Etienne. Etant en hauteur le regard peut aisément embrasser le paysage lointain qui se compose autour du Jardin des Plantes. La volonté du pouvoir en place tend à conserver cette usine déjà reconvertie à multiples reprises. Sa vocation change cependant les formes de sa présence demeure. La ville de Saint-Etienne fut une ville-usine. Les lieux de production et de fabrication, les ateliers, manufactures, usines, ont été pendant des siècles des embryons urbains. Tout autour de ces événements construits la ville s’est développée. Nombreuses sont les villes qui s’étalaient, s’agrandissait autour des places et des églises, des rivières et des axes de communication. L’histoire de la ville stéphanoise est différente et c’est dans cette perspective que la conservation de ces édifices emblématiques reste une attitude appréciable et noble en soi. Conserver tout en réussissant à rendre vivant ce qui fut un embryon urbain, telle est notre démarche. Ce bâtiment est peut être dépositaire de la capacité à relancer la vie autour de lui c’est pour cela que les intentions de notre projet doivent être bien appréhendées. A l’image de la ville, ce territoire sera composé de voies multiples et hiérarchisés propres au mouvement, et de lieux d’arrêts, de rencontre – espaces statiques. Depuis la rue nous pensons introduire l’habitant dans le projet par le biais d’une placette haute, un belvédère. Ayant la croix au premier plan, il découvrira avec satisfaction un large panorama. Ensuite par un escalier, généreux dans ses proportions, il ira à la rencontre de l’édifice. Il longe des murs en pierre, qui par leur décalage et pliage donnèrent naissance à des plateformes dessinées en forme de placettes, venelles, galeries. Face à lui une masse minérale avec une peau de pierre qui habille les formes originelles de l’usine. Que de silence et d’étonnement. Cinq blocs à dimension domestique se trouvent disposés sur la toiture. Ils donnent un rythme et fragmente l’allure monolithique de l’existent. Les maisons suspendues recherchent la lumière et le regard sur la ville, elles sont en quête de vues imprenables. L’ancienne usine se trouve partiellement vidée. Dans son cœur un patio prend forme. Verdure et lumière, les deux composantes suffisantes et nécessaires pour créer un espace propre à la vie domestique. Une passerelle le traverse. Elle permet de distribuer les appartements en cherchant à relier la rue à la porte palière. Des instants diversifiés et divertissants, des moments et mouvements qui rendent compte de la beauté du site et de son environnement. Voici en quelques mots l’idée qui a su s’imposer à nous face à ce défi de nature architecturale et urbanistique. • Date de livraison : • Ville : • Département : • Maitre d'ouvrage : • Architectes associés : • Coût : • SHON : • Nature de la mission :