Réhabilitation d’un moulin à eau en maison d'habitation

  • Façade Sud
    Façade Sud
    Rénovation, rénovation thermique
    La restauration du moulin-haut de Bonaguil a débuté en 1991. Il était alors à peine visible, enseveli sous la terre et la végétation. Nous avons commencé par enlever les arbres, débroussailler, puis creuser la terre jusqu’à retrouver le sol et les fondations d’origine. Ce qu’il restait des murs du moulin est apparu petit à petit, dévoilant une partie centrale dont l’appareillage des murs peut être daté du 15° siècle, correspondant au début de la construction du château de Bonaguil. Cette partie centrale est bâtie sur la voûte dans laquelle nous avons retrouvé le mécanisme de bois qui permettait d’actionner les meules, elles aussi conservées. Après que nous ayons débroussaillé et curé l’étang, reconstruit le mur de la digue, l’eau a pu à nouveau couler sous le moulin. Au-dessus et de chaque côté de cette partie centrale du 15° siècle, nous avons exhumé des murs maçonnés de moellons tout-venant datant du 19° siècle. En 1992, le projet initial était de faire renaître le moulin, en faire un lieu de mémoire tout en mettant en scène les quatre éléments : l’eau, l’air, la terre et le feu dans un projet poétique ouvert au public. Puis au cours des années, le projet a évolué, et le moulin a été transformé en un lieu de vie, de travail et de création privatif. J’ai donc travaillé sur ce projet en conservant intact ce qu’il restait des murs ainsi que l’intérieur de la partie centrale datant du 15° siècle et abritant les meules. Les vestiges de tuiles canal sur les hauts de murs de la façade sud m’ont indiqué leur hauteur initiale. Il ne restait plus rien de la façade nord et juste quelques traces des façades est et ouest. Les percements de la façade sud ont été conservés, mon projet a consisté à imaginer la couverture et les percements des autres façades. Je me suis pour cela inspirée de l’architecture environnante, en créant une tour, et en utilisant des pierres de récupération pour les nouveaux percements. Puis, j’ai apporté de la lumière zénithale dans la couverture de la partie centrale en installant des bandes de verre entre les chevrons, à la place des tuiles. Mis à part le verre, les matériaux de construction utilisés : la pierre, la chaux, le sable, les tuiles et les bois de châtaignier proviennent d’au plus loin 5 km du chantier.
    Rénovation, rénovation thermique
    Lyon Dor
    47500 Saint-Front-sur-Lémance
    France métropolitaine
    1999
    47 - Lot-et-Garonne
    Maître d’ouvrage
    Particulier
  • Façade Est
    Façade Est
    Rénovation, rénovation thermique
    La restauration du moulin-haut de Bonaguil a débuté en 1991. Il était alors à peine visible, enseveli sous la terre et la végétation. Nous avons commencé par enlever les arbres, débroussailler, puis creuser la terre jusqu’à retrouver le sol et les fondations d’origine. Ce qu’il restait des murs du moulin est apparu petit à petit, dévoilant une partie centrale dont l’appareillage des murs peut être daté du 15° siècle, correspondant au début de la construction du château de Bonaguil. Cette partie centrale est bâtie sur la voûte dans laquelle nous avons retrouvé le mécanisme de bois qui permettait d’actionner les meules, elles aussi conservées. Après que nous ayons débroussaillé et curé l’étang, reconstruit le mur de la digue, l’eau a pu à nouveau couler sous le moulin. Au-dessus et de chaque côté de cette partie centrale du 15° siècle, nous avons exhumé des murs maçonnés de moellons tout-venant datant du 19° siècle. En 1992, le projet initial était de faire renaître le moulin, en faire un lieu de mémoire tout en mettant en scène les quatre éléments : l’eau, l’air, la terre et le feu dans un projet poétique ouvert au public. Puis au cours des années, le projet a évolué, et le moulin a été transformé en un lieu de vie, de travail et de création privatif. J’ai donc travaillé sur ce projet en conservant intact ce qu’il restait des murs ainsi que l’intérieur de la partie centrale datant du 15° siècle et abritant les meules. Les vestiges de tuiles canal sur les hauts de murs de la façade sud m’ont indiqué leur hauteur initiale. Il ne restait plus rien de la façade nord et juste quelques traces des façades est et ouest. Les percements de la façade sud ont été conservés, mon projet a consisté à imaginer la couverture et les percements des autres façades. Je me suis pour cela inspirée de l’architecture environnante, en créant une tour, et en utilisant des pierres de récupération pour les nouveaux percements. Puis, j’ai apporté de la lumière zénithale dans la couverture de la partie centrale en installant des bandes de verre entre les chevrons, à la place des tuiles. Mis à part le verre, les matériaux de construction utilisés : la pierre, la chaux, le sable, les tuiles et les bois de châtaignier proviennent d’au plus loin 5 km du chantier.
    Rénovation, rénovation thermique
    Lyon Dor
    47500 Saint-Front-sur-Lémance
    France métropolitaine
    1999
    47 - Lot-et-Garonne
    Maître d’ouvrage
    Particulier
  • Façade Nord
    Façade Nord
    Rénovation, rénovation thermique
    La restauration du moulin-haut de Bonaguil a débuté en 1991. Il était alors à peine visible, enseveli sous la terre et la végétation. Nous avons commencé par enlever les arbres, débroussailler, puis creuser la terre jusqu’à retrouver le sol et les fondations d’origine. Ce qu’il restait des murs du moulin est apparu petit à petit, dévoilant une partie centrale dont l’appareillage des murs peut être daté du 15° siècle, correspondant au début de la construction du château de Bonaguil. Cette partie centrale est bâtie sur la voûte dans laquelle nous avons retrouvé le mécanisme de bois qui permettait d’actionner les meules, elles aussi conservées. Après que nous ayons débroussaillé et curé l’étang, reconstruit le mur de la digue, l’eau a pu à nouveau couler sous le moulin. Au-dessus et de chaque côté de cette partie centrale du 15° siècle, nous avons exhumé des murs maçonnés de moellons tout-venant datant du 19° siècle. En 1992, le projet initial était de faire renaître le moulin, en faire un lieu de mémoire tout en mettant en scène les quatre éléments : l’eau, l’air, la terre et le feu dans un projet poétique ouvert au public. Puis au cours des années, le projet a évolué, et le moulin a été transformé en un lieu de vie, de travail et de création privatif. J’ai donc travaillé sur ce projet en conservant intact ce qu’il restait des murs ainsi que l’intérieur de la partie centrale datant du 15° siècle et abritant les meules. Les vestiges de tuiles canal sur les hauts de murs de la façade sud m’ont indiqué leur hauteur initiale. Il ne restait plus rien de la façade nord et juste quelques traces des façades est et ouest. Les percements de la façade sud ont été conservés, mon projet a consisté à imaginer la couverture et les percements des autres façades. Je me suis pour cela inspirée de l’architecture environnante, en créant une tour, et en utilisant des pierres de récupération pour les nouveaux percements. Puis, j’ai apporté de la lumière zénithale dans la couverture de la partie centrale en installant des bandes de verre entre les chevrons, à la place des tuiles. Mis à part le verre, les matériaux de construction utilisés : la pierre, la chaux, le sable, les tuiles et les bois de châtaignier proviennent d’au plus loin 5 km du chantier.
    Rénovation, rénovation thermique
    Lyon Dor
    47500 Saint-Front-sur-Lémance
    France métropolitaine
    1999
    47 - Lot-et-Garonne
    Maître d’ouvrage
    Particulier
  • Le moulin avant travaux
    Le moulin avant travaux
    Rénovation, rénovation thermique
    La restauration du moulin-haut de Bonaguil a débuté en 1991. Il était alors à peine visible, enseveli sous la terre et la végétation. Nous avons commencé par enlever les arbres, débroussailler, puis creuser la terre jusqu’à retrouver le sol et les fondations d’origine. Ce qu’il restait des murs du moulin est apparu petit à petit, dévoilant une partie centrale dont l’appareillage des murs peut être daté du 15° siècle, correspondant au début de la construction du château de Bonaguil. Cette partie centrale est bâtie sur la voûte dans laquelle nous avons retrouvé le mécanisme de bois qui permettait d’actionner les meules, elles aussi conservées. Après que nous ayons débroussaillé et curé l’étang, reconstruit le mur de la digue, l’eau a pu à nouveau couler sous le moulin. Au-dessus et de chaque côté de cette partie centrale du 15° siècle, nous avons exhumé des murs maçonnés de moellons tout-venant datant du 19° siècle. En 1992, le projet initial était de faire renaître le moulin, en faire un lieu de mémoire tout en mettant en scène les quatre éléments : l’eau, l’air, la terre et le feu dans un projet poétique ouvert au public. Puis au cours des années, le projet a évolué, et le moulin a été transformé en un lieu de vie, de travail et de création privatif. J’ai donc travaillé sur ce projet en conservant intact ce qu’il restait des murs ainsi que l’intérieur de la partie centrale datant du 15° siècle et abritant les meules. Les vestiges de tuiles canal sur les hauts de murs de la façade sud m’ont indiqué leur hauteur initiale. Il ne restait plus rien de la façade nord et juste quelques traces des façades est et ouest. Les percements de la façade sud ont été conservés, mon projet a consisté à imaginer la couverture et les percements des autres façades. Je me suis pour cela inspirée de l’architecture environnante, en créant une tour, et en utilisant des pierres de récupération pour les nouveaux percements. Puis, j’ai apporté de la lumière zénithale dans la couverture de la partie centrale en installant des bandes de verre entre les chevrons, à la place des tuiles. Mis à part le verre, les matériaux de construction utilisés : la pierre, la chaux, le sable, les tuiles et les bois de châtaignier proviennent d’au plus loin 5 km du chantier.
    Rénovation, rénovation thermique
    Lyon Dor
    47500 Saint-Front-sur-Lémance
    France métropolitaine
    1999
    47 - Lot-et-Garonne
    Maître d’ouvrage
    Particulier
  • Plans
    Plans
    Rénovation, rénovation thermique
    La restauration du moulin-haut de Bonaguil a débuté en 1991. Il était alors à peine visible, enseveli sous la terre et la végétation. Nous avons commencé par enlever les arbres, débroussailler, puis creuser la terre jusqu’à retrouver le sol et les fondations d’origine. Ce qu’il restait des murs du moulin est apparu petit à petit, dévoilant une partie centrale dont l’appareillage des murs peut être daté du 15° siècle, correspondant au début de la construction du château de Bonaguil. Cette partie centrale est bâtie sur la voûte dans laquelle nous avons retrouvé le mécanisme de bois qui permettait d’actionner les meules, elles aussi conservées. Après que nous ayons débroussaillé et curé l’étang, reconstruit le mur de la digue, l’eau a pu à nouveau couler sous le moulin. Au-dessus et de chaque côté de cette partie centrale du 15° siècle, nous avons exhumé des murs maçonnés de moellons tout-venant datant du 19° siècle. En 1992, le projet initial était de faire renaître le moulin, en faire un lieu de mémoire tout en mettant en scène les quatre éléments : l’eau, l’air, la terre et le feu dans un projet poétique ouvert au public. Puis au cours des années, le projet a évolué, et le moulin a été transformé en un lieu de vie, de travail et de création privatif. J’ai donc travaillé sur ce projet en conservant intact ce qu’il restait des murs ainsi que l’intérieur de la partie centrale datant du 15° siècle et abritant les meules. Les vestiges de tuiles canal sur les hauts de murs de la façade sud m’ont indiqué leur hauteur initiale. Il ne restait plus rien de la façade nord et juste quelques traces des façades est et ouest. Les percements de la façade sud ont été conservés, mon projet a consisté à imaginer la couverture et les percements des autres façades. Je me suis pour cela inspirée de l’architecture environnante, en créant une tour, et en utilisant des pierres de récupération pour les nouveaux percements. Puis, j’ai apporté de la lumière zénithale dans la couverture de la partie centrale en installant des bandes de verre entre les chevrons, à la place des tuiles. Mis à part le verre, les matériaux de construction utilisés : la pierre, la chaux, le sable, les tuiles et les bois de châtaignier proviennent d’au plus loin 5 km du chantier.
    Rénovation, rénovation thermique
    Lyon Dor
    47500 Saint-Front-sur-Lémance
    France métropolitaine
    1999
    47 - Lot-et-Garonne
    Maître d’ouvrage
    Particulier
  • Coupe
    Coupe
    Rénovation, rénovation thermique
    La restauration du moulin-haut de Bonaguil a débuté en 1991. Il était alors à peine visible, enseveli sous la terre et la végétation. Nous avons commencé par enlever les arbres, débroussailler, puis creuser la terre jusqu’à retrouver le sol et les fondations d’origine. Ce qu’il restait des murs du moulin est apparu petit à petit, dévoilant une partie centrale dont l’appareillage des murs peut être daté du 15° siècle, correspondant au début de la construction du château de Bonaguil. Cette partie centrale est bâtie sur la voûte dans laquelle nous avons retrouvé le mécanisme de bois qui permettait d’actionner les meules, elles aussi conservées. Après que nous ayons débroussaillé et curé l’étang, reconstruit le mur de la digue, l’eau a pu à nouveau couler sous le moulin. Au-dessus et de chaque côté de cette partie centrale du 15° siècle, nous avons exhumé des murs maçonnés de moellons tout-venant datant du 19° siècle. En 1992, le projet initial était de faire renaître le moulin, en faire un lieu de mémoire tout en mettant en scène les quatre éléments : l’eau, l’air, la terre et le feu dans un projet poétique ouvert au public. Puis au cours des années, le projet a évolué, et le moulin a été transformé en un lieu de vie, de travail et de création privatif. J’ai donc travaillé sur ce projet en conservant intact ce qu’il restait des murs ainsi que l’intérieur de la partie centrale datant du 15° siècle et abritant les meules. Les vestiges de tuiles canal sur les hauts de murs de la façade sud m’ont indiqué leur hauteur initiale. Il ne restait plus rien de la façade nord et juste quelques traces des façades est et ouest. Les percements de la façade sud ont été conservés, mon projet a consisté à imaginer la couverture et les percements des autres façades. Je me suis pour cela inspirée de l’architecture environnante, en créant une tour, et en utilisant des pierres de récupération pour les nouveaux percements. Puis, j’ai apporté de la lumière zénithale dans la couverture de la partie centrale en installant des bandes de verre entre les chevrons, à la place des tuiles. Mis à part le verre, les matériaux de construction utilisés : la pierre, la chaux, le sable, les tuiles et les bois de châtaignier proviennent d’au plus loin 5 km du chantier.
    Rénovation, rénovation thermique
    Lyon Dor
    47500 Saint-Front-sur-Lémance
    France métropolitaine
    1999
    47 - Lot-et-Garonne
    Maître d’ouvrage
    Particulier
  • Façades
    Façades
    Rénovation, rénovation thermique
    La restauration du moulin-haut de Bonaguil a débuté en 1991. Il était alors à peine visible, enseveli sous la terre et la végétation. Nous avons commencé par enlever les arbres, débroussailler, puis creuser la terre jusqu’à retrouver le sol et les fondations d’origine. Ce qu’il restait des murs du moulin est apparu petit à petit, dévoilant une partie centrale dont l’appareillage des murs peut être daté du 15° siècle, correspondant au début de la construction du château de Bonaguil. Cette partie centrale est bâtie sur la voûte dans laquelle nous avons retrouvé le mécanisme de bois qui permettait d’actionner les meules, elles aussi conservées. Après que nous ayons débroussaillé et curé l’étang, reconstruit le mur de la digue, l’eau a pu à nouveau couler sous le moulin. Au-dessus et de chaque côté de cette partie centrale du 15° siècle, nous avons exhumé des murs maçonnés de moellons tout-venant datant du 19° siècle. En 1992, le projet initial était de faire renaître le moulin, en faire un lieu de mémoire tout en mettant en scène les quatre éléments : l’eau, l’air, la terre et le feu dans un projet poétique ouvert au public. Puis au cours des années, le projet a évolué, et le moulin a été transformé en un lieu de vie, de travail et de création privatif. J’ai donc travaillé sur ce projet en conservant intact ce qu’il restait des murs ainsi que l’intérieur de la partie centrale datant du 15° siècle et abritant les meules. Les vestiges de tuiles canal sur les hauts de murs de la façade sud m’ont indiqué leur hauteur initiale. Il ne restait plus rien de la façade nord et juste quelques traces des façades est et ouest. Les percements de la façade sud ont été conservés, mon projet a consisté à imaginer la couverture et les percements des autres façades. Je me suis pour cela inspirée de l’architecture environnante, en créant une tour, et en utilisant des pierres de récupération pour les nouveaux percements. Puis, j’ai apporté de la lumière zénithale dans la couverture de la partie centrale en installant des bandes de verre entre les chevrons, à la place des tuiles. Mis à part le verre, les matériaux de construction utilisés : la pierre, la chaux, le sable, les tuiles et les bois de châtaignier proviennent d’au plus loin 5 km du chantier.
    Rénovation, rénovation thermique
    Lyon Dor
    47500 Saint-Front-sur-Lémance
    France métropolitaine
    1999
    47 - Lot-et-Garonne
    Maître d’ouvrage
    Particulier