L'Estaca : base nautique et promenade publique à Marseille

  • Etablissement recevant du public (ERP), Urbanisme, conseil aux collectivités territoriales, aménagement de lotissement
    Projet de fin d’études de Clélia Naud Suggéré par la ville, le sujet concerne un emplacement particulièrement privilégié, entre terre et mer au sein de l’anse de l’Estaque. Situé entre le canal de Marseille au Rhône et l’Espace Mistral, aménagement urbain fréquenté car il est l’un des rares endroits où les habitants peuvent avoir l’accès à la mer, il est approprié pour y implanter une base nautique ainsi qu’une promenade publique qui aurait pour vocation de redonner la vue sur la mer, jusque là masquée par une imposante digue de protection. Le projet concerne une promenade publique piétonne sous laquelle est implantée une base nautique à l’Estaque. Il est nommé Estaca en référence au nom originel de l’Estaque car il permet de retrouver l’accès à la mer, ainsi qu’à l’estacade, ouvrage d’appontement long et bas. La parcelle d’intervention est l’un des rares endroits du littoral marseillais à être orienté au sud. Il s’agit d’un môle bénéficiant de vues remarquables sur le paysage, le bâtiment se déforme pour s’axer sur ces deux vue privilégiées. Le projet a pour vocation de réduire son impact environnemental. Plusieurs aspects écologiques ont été étudiés. Une réflexion sur les matériaux a été menée (granulats de carrières environnantes, bâtiment en bois pour plus de modularité, chantier sec et évolutivité dans le temps). Le socle en béton apporte de l’inertie pour rafraîchir le bâtiment en été tandis que l’enveloppe en bois participe à l’isolation thermique tout en permettant un éclairage et une ventilation naturels en maximisant les apports solaires l’hiver. Étant proche de l’eau, le projet se sert de l’hydrothermie grâce à un système de pompe allant chercher l’eau à température constante en profondeur, à moins d’1 km de la parcelle. Ainsi, couplée à un plancher chauffant- rafraîchissant, cette eau permet de rafraîchir le bâtiment l’été ou d’apporter un nombre conséquent de calories l’hiver, en ne chauffant que de quelques degrés supplémentaires. Concernant l’aspect économique du projet, l’emprise au sol du bâtiment est utilisée deux fois avec la base nautique et la promenade publique en toiture. De cette façon, le surcoût engendré par l’accessibilité en toiture du bâtiment est compensé par le double-usage justifié par le contexte : l’accès à l’eau et la vue à dégager au dessus de la digue de protection. La base nautique est principalement dédiée aux habitants des quartiers nord de Marseille. et permet d’élargir l’offre en activités nautiques. Les scolaires peuvent facilement y accéder ainsi que n’importe quel autre usager désireux de profiter de ces sports de glisse à très forte valeur sociale. La promenade publique est attractive et participe au tourisme en faisant venir la population du centre de Marseille, en offrant un belvédère sur un paysage remarquable, avec des espaces qui lui sont dédiés tels qu’un restaurant et un bar lounge. Le projet constitue donc une innovation à la fois conceptuelle et technologique : il propose une double utilisation (promenade publique et quai nautique) pour une ancienne parcelle industrielle à l’abandon et l’utilisation de l’hydrothermie marine à l’échelle d’un unique bâtiment.
    Etablissement recevant du public (ERP), Urbanisme, conseil aux collectivités territoriales, aménagement de lotissement
    167 plage de l'Estaque
    13016 Marseille
    France métropolitaine
    2014
    13 - Bouches-du-Rhône
    Maître d’ouvrage
    ENSAM
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    Projet de fin d’études de Clélia Naud Suggéré par la ville, le sujet concerne un emplacement particulièrement privilégié, entre terre et mer au sein de l’anse de l’Estaque. Situé entre le canal de Marseille au Rhône et l’Espace Mistral, aménagement urbain fréquenté car il est l’un des rares endroits où les habitants peuvent avoir l’accès à la mer, il est approprié pour y implanter une base nautique ainsi qu’une promenade publique qui aurait pour vocation de redonner la vue sur la mer, jusque là masquée par une imposante digue de protection. Le projet concerne une promenade publique piétonne sous laquelle est implantée une base nautique à l’Estaque. Il est nommé Estaca en référence au nom originel de l’Estaque car il permet de retrouver l’accès à la mer, ainsi qu’à l’estacade, ouvrage d’appontement long et bas. La parcelle d’intervention est l’un des rares endroits du littoral marseillais à être orienté au sud. Il s’agit d’un môle bénéficiant de vues remarquables sur le paysage, le bâtiment se déforme pour s’axer sur ces deux vue privilégiées. Le projet a pour vocation de réduire son impact environnemental. Plusieurs aspects écologiques ont été étudiés. Une réflexion sur les matériaux a été menée (granulats de carrières environnantes, bâtiment en bois pour plus de modularité, chantier sec et évolutivité dans le temps). Le socle en béton apporte de l’inertie pour rafraîchir le bâtiment en été tandis que l’enveloppe en bois participe à l’isolation thermique tout en permettant un éclairage et une ventilation naturels en maximisant les apports solaires l’hiver. Étant proche de l’eau, le projet se sert de l’hydrothermie grâce à un système de pompe allant chercher l’eau à température constante en profondeur, à moins d’1 km de la parcelle. Ainsi, couplée à un plancher chauffant- rafraîchissant, cette eau permet de rafraîchir le bâtiment l’été ou d’apporter un nombre conséquent de calories l’hiver, en ne chauffant que de quelques degrés supplémentaires. Concernant l’aspect économique du projet, l’emprise au sol du bâtiment est utilisée deux fois avec la base nautique et la promenade publique en toiture. De cette façon, le surcoût engendré par l’accessibilité en toiture du bâtiment est compensé par le double-usage justifié par le contexte : l’accès à l’eau et la vue à dégager au dessus de la digue de protection. La base nautique est principalement dédiée aux habitants des quartiers nord de Marseille. et permet d’élargir l’offre en activités nautiques. Les scolaires peuvent facilement y accéder ainsi que n’importe quel autre usager désireux de profiter de ces sports de glisse à très forte valeur sociale. La promenade publique est attractive et participe au tourisme en faisant venir la population du centre de Marseille, en offrant un belvédère sur un paysage remarquable, avec des espaces qui lui sont dédiés tels qu’un restaurant et un bar lounge. Le projet constitue donc une innovation à la fois conceptuelle et technologique : il propose une double utilisation (promenade publique et quai nautique) pour une ancienne parcelle industrielle à l’abandon et l’utilisation de l’hydrothermie marine à l’échelle d’un unique bâtiment.
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    ENSAM
  • Etablissement recevant du public (ERP), Urbanisme, conseil aux collectivités territoriales, aménagement de lotissement
    Projet de fin d’études de Clélia Naud Suggéré par la ville, le sujet concerne un emplacement particulièrement privilégié, entre terre et mer au sein de l’anse de l’Estaque. Situé entre le canal de Marseille au Rhône et l’Espace Mistral, aménagement urbain fréquenté car il est l’un des rares endroits où les habitants peuvent avoir l’accès à la mer, il est approprié pour y implanter une base nautique ainsi qu’une promenade publique qui aurait pour vocation de redonner la vue sur la mer, jusque là masquée par une imposante digue de protection. Le projet concerne une promenade publique piétonne sous laquelle est implantée une base nautique à l’Estaque. Il est nommé Estaca en référence au nom originel de l’Estaque car il permet de retrouver l’accès à la mer, ainsi qu’à l’estacade, ouvrage d’appontement long et bas. La parcelle d’intervention est l’un des rares endroits du littoral marseillais à être orienté au sud. Il s’agit d’un môle bénéficiant de vues remarquables sur le paysage, le bâtiment se déforme pour s’axer sur ces deux vue privilégiées. Le projet a pour vocation de réduire son impact environnemental. Plusieurs aspects écologiques ont été étudiés. Une réflexion sur les matériaux a été menée (granulats de carrières environnantes, bâtiment en bois pour plus de modularité, chantier sec et évolutivité dans le temps). Le socle en béton apporte de l’inertie pour rafraîchir le bâtiment en été tandis que l’enveloppe en bois participe à l’isolation thermique tout en permettant un éclairage et une ventilation naturels en maximisant les apports solaires l’hiver. Étant proche de l’eau, le projet se sert de l’hydrothermie grâce à un système de pompe allant chercher l’eau à température constante en profondeur, à moins d’1 km de la parcelle. Ainsi, couplée à un plancher chauffant- rafraîchissant, cette eau permet de rafraîchir le bâtiment l’été ou d’apporter un nombre conséquent de calories l’hiver, en ne chauffant que de quelques degrés supplémentaires. Concernant l’aspect économique du projet, l’emprise au sol du bâtiment est utilisée deux fois avec la base nautique et la promenade publique en toiture. De cette façon, le surcoût engendré par l’accessibilité en toiture du bâtiment est compensé par le double-usage justifié par le contexte : l’accès à l’eau et la vue à dégager au dessus de la digue de protection. La base nautique est principalement dédiée aux habitants des quartiers nord de Marseille. et permet d’élargir l’offre en activités nautiques. Les scolaires peuvent facilement y accéder ainsi que n’importe quel autre usager désireux de profiter de ces sports de glisse à très forte valeur sociale. La promenade publique est attractive et participe au tourisme en faisant venir la population du centre de Marseille, en offrant un belvédère sur un paysage remarquable, avec des espaces qui lui sont dédiés tels qu’un restaurant et un bar lounge. Le projet constitue donc une innovation à la fois conceptuelle et technologique : il propose une double utilisation (promenade publique et quai nautique) pour une ancienne parcelle industrielle à l’abandon et l’utilisation de l’hydrothermie marine à l’échelle d’un unique bâtiment.
    Etablissement recevant du public (ERP), Urbanisme, conseil aux collectivités territoriales, aménagement de lotissement
    167 plage de l'Estaque
    13016 Marseille
    France métropolitaine
    2014
    13 - Bouches-du-Rhône
    Maître d’ouvrage
    ENSAM
  • Etablissement recevant du public (ERP), Urbanisme, conseil aux collectivités territoriales, aménagement de lotissement
    Projet de fin d’études de Clélia Naud Suggéré par la ville, le sujet concerne un emplacement particulièrement privilégié, entre terre et mer au sein de l’anse de l’Estaque. Situé entre le canal de Marseille au Rhône et l’Espace Mistral, aménagement urbain fréquenté car il est l’un des rares endroits où les habitants peuvent avoir l’accès à la mer, il est approprié pour y implanter une base nautique ainsi qu’une promenade publique qui aurait pour vocation de redonner la vue sur la mer, jusque là masquée par une imposante digue de protection. Le projet concerne une promenade publique piétonne sous laquelle est implantée une base nautique à l’Estaque. Il est nommé Estaca en référence au nom originel de l’Estaque car il permet de retrouver l’accès à la mer, ainsi qu’à l’estacade, ouvrage d’appontement long et bas. La parcelle d’intervention est l’un des rares endroits du littoral marseillais à être orienté au sud. Il s’agit d’un môle bénéficiant de vues remarquables sur le paysage, le bâtiment se déforme pour s’axer sur ces deux vue privilégiées. Le projet a pour vocation de réduire son impact environnemental. Plusieurs aspects écologiques ont été étudiés. Une réflexion sur les matériaux a été menée (granulats de carrières environnantes, bâtiment en bois pour plus de modularité, chantier sec et évolutivité dans le temps). Le socle en béton apporte de l’inertie pour rafraîchir le bâtiment en été tandis que l’enveloppe en bois participe à l’isolation thermique tout en permettant un éclairage et une ventilation naturels en maximisant les apports solaires l’hiver. Étant proche de l’eau, le projet se sert de l’hydrothermie grâce à un système de pompe allant chercher l’eau à température constante en profondeur, à moins d’1 km de la parcelle. Ainsi, couplée à un plancher chauffant- rafraîchissant, cette eau permet de rafraîchir le bâtiment l’été ou d’apporter un nombre conséquent de calories l’hiver, en ne chauffant que de quelques degrés supplémentaires. Concernant l’aspect économique du projet, l’emprise au sol du bâtiment est utilisée deux fois avec la base nautique et la promenade publique en toiture. De cette façon, le surcoût engendré par l’accessibilité en toiture du bâtiment est compensé par le double-usage justifié par le contexte : l’accès à l’eau et la vue à dégager au dessus de la digue de protection. La base nautique est principalement dédiée aux habitants des quartiers nord de Marseille. et permet d’élargir l’offre en activités nautiques. Les scolaires peuvent facilement y accéder ainsi que n’importe quel autre usager désireux de profiter de ces sports de glisse à très forte valeur sociale. La promenade publique est attractive et participe au tourisme en faisant venir la population du centre de Marseille, en offrant un belvédère sur un paysage remarquable, avec des espaces qui lui sont dédiés tels qu’un restaurant et un bar lounge. Le projet constitue donc une innovation à la fois conceptuelle et technologique : il propose une double utilisation (promenade publique et quai nautique) pour une ancienne parcelle industrielle à l’abandon et l’utilisation de l’hydrothermie marine à l’échelle d’un unique bâtiment.
    Etablissement recevant du public (ERP), Urbanisme, conseil aux collectivités territoriales, aménagement de lotissement
    167 plage de l'Estaque
    13016 Marseille
    France métropolitaine
    2014
    13 - Bouches-du-Rhône
    Maître d’ouvrage
    ENSAM