Réhabilitation d'un immeuble de bureaux en 18 lots d'activité et de logement

  • Habitat
    Réhabilitation d'un immeuble de bureaux en 18 lots d'activité et de logement. Les lots sont livrés bruts avec réseaux en attente. Le montage opérationnel en sci d’attribution permet aux acquéreurs de participer à la conception du projet et au financement de l’opération. Les lots étant livrés bruts, les acquéreurs aménagent leur espace en collaboration avec les architectes de l’immeuble. Ce montage favorise des couts relativement bas. Le bâtiment est situé dans un quartier très hétérogène avec une importante mixité logements et activités. Il est assez dégradé, mais les structures sont en bon état. Bien qu’il n’ait pas de qualité architecturale particulière, le bâtiment met en valeur le parcellaire en lanière encore très présent dans cette partie de Bagnolet. Il offre une profondeur de champ très intéressante à la rue. Immeuble de bureaux vétuste ayant subi de nombreuses transformations et extensions parasites, la réhabilitation consiste à retrouver l’ossature originelle, redessiner les façades, repenser les circulations, et dégager des espaces de jardin et de terrasse végétalisés. Chaque lot doit disposer d’un espace extérieur privatif. Le noyau des circulations verticales (ascenseur et escalier) est démoli et reconstruit pour rendre l'escalier à l'abri des fumées, et créer une ventilation haute pour le parking en sous-sol. La redistribution des lots se fait en partie par la coursive extérieure (R+2) en acier galvanisé en appui sur des poteaux inclinés et articulés. Ainsi la cour est dégagée, l'étanchéité préservée, le plancher haut du sous-sol n'est pas surchargé. Ces poteaux supportent également les terrasses de 1er étage. Cette structure en acier rapportée sur la façade confère symboliquement à l’immeuble son nouveau statut mixte. L'ensemble du bâtiment est totalement purgé des anciennes cloisons, doublages, menuiseries, revêtements et réseaux. Des chapes flottantes sont coulées sur l'ensemble des planchers pour améliorer l'isolation phonique : en conséquence les structures verticales du rez-de-chaussée sont renforcées par des refends en parpaing chainés aux poteaux existants résistants ainsi au flambement. Les cloisons séparatives des lots sont réalisées en "Placostyl" pour ne pas surcharger le bâtiment. La végétalisation des espaces extérieurs est l’un des enjeux du projet. Ainsi des jardins sont créés en fond de parcelle. Des jardinières maçonnées sont construites au pourtour de la cour permettant aux plantations de grimper le long des structures métallique. Des jardinières en périphérie de la toiture terrasse (à l’origine inaccessible) en ciment fibré préfabriquées sont plantées de bambous formant garde-corps et protections visuelles.
    Habitat
    90 avenue Victor Hugo
    93170 Bagnolet
    France métropolitaine
    2008
    93 - Seine-Saint-Denis
    Maître d’ouvrage
    SCI 86-90 VICTOR HUGO
  • Le bâtiment avant travaux
    Le bâtiment avant travaux
    Habitat
    Réhabilitation d'un immeuble de bureaux en 18 lots d'activité et de logement. Les lots sont livrés bruts avec réseaux en attente. Le montage opérationnel en sci d’attribution permet aux acquéreurs de participer à la conception du projet et au financement de l’opération. Les lots étant livrés bruts, les acquéreurs aménagent leur espace en collaboration avec les architectes de l’immeuble. Ce montage favorise des couts relativement bas. Le bâtiment est situé dans un quartier très hétérogène avec une importante mixité logements et activités. Il est assez dégradé, mais les structures sont en bon état. Bien qu’il n’ait pas de qualité architecturale particulière, le bâtiment met en valeur le parcellaire en lanière encore très présent dans cette partie de Bagnolet. Il offre une profondeur de champ très intéressante à la rue. Immeuble de bureaux vétuste ayant subi de nombreuses transformations et extensions parasites, la réhabilitation consiste à retrouver l’ossature originelle, redessiner les façades, repenser les circulations, et dégager des espaces de jardin et de terrasse végétalisés. Chaque lot doit disposer d’un espace extérieur privatif. Le noyau des circulations verticales (ascenseur et escalier) est démoli et reconstruit pour rendre l'escalier à l'abri des fumées, et créer une ventilation haute pour le parking en sous-sol. La redistribution des lots se fait en partie par la coursive extérieure (R+2) en acier galvanisé en appui sur des poteaux inclinés et articulés. Ainsi la cour est dégagée, l'étanchéité préservée, le plancher haut du sous-sol n'est pas surchargé. Ces poteaux supportent également les terrasses de 1er étage. Cette structure en acier rapportée sur la façade confère symboliquement à l’immeuble son nouveau statut mixte. L'ensemble du bâtiment est totalement purgé des anciennes cloisons, doublages, menuiseries, revêtements et réseaux. Des chapes flottantes sont coulées sur l'ensemble des planchers pour améliorer l'isolation phonique : en conséquence les structures verticales du rez-de-chaussée sont renforcées par des refends en parpaing chainés aux poteaux existants résistants ainsi au flambement. Les cloisons séparatives des lots sont réalisées en "Placostyl" pour ne pas surcharger le bâtiment. La végétalisation des espaces extérieurs est l’un des enjeux du projet. Ainsi des jardins sont créés en fond de parcelle. Des jardinières maçonnées sont construites au pourtour de la cour permettant aux plantations de grimper le long des structures métallique. Des jardinières en périphérie de la toiture terrasse (à l’origine inaccessible) en ciment fibré préfabriquées sont plantées de bambous formant garde-corps et protections visuelles.
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    90 avenue Victor Hugo
    93170 Bagnolet
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  • Plan de masse
    Plan de masse
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    Réhabilitation d'un immeuble de bureaux en 18 lots d'activité et de logement. Les lots sont livrés bruts avec réseaux en attente. Le montage opérationnel en sci d’attribution permet aux acquéreurs de participer à la conception du projet et au financement de l’opération. Les lots étant livrés bruts, les acquéreurs aménagent leur espace en collaboration avec les architectes de l’immeuble. Ce montage favorise des couts relativement bas. Le bâtiment est situé dans un quartier très hétérogène avec une importante mixité logements et activités. Il est assez dégradé, mais les structures sont en bon état. Bien qu’il n’ait pas de qualité architecturale particulière, le bâtiment met en valeur le parcellaire en lanière encore très présent dans cette partie de Bagnolet. Il offre une profondeur de champ très intéressante à la rue. Immeuble de bureaux vétuste ayant subi de nombreuses transformations et extensions parasites, la réhabilitation consiste à retrouver l’ossature originelle, redessiner les façades, repenser les circulations, et dégager des espaces de jardin et de terrasse végétalisés. Chaque lot doit disposer d’un espace extérieur privatif. Le noyau des circulations verticales (ascenseur et escalier) est démoli et reconstruit pour rendre l'escalier à l'abri des fumées, et créer une ventilation haute pour le parking en sous-sol. La redistribution des lots se fait en partie par la coursive extérieure (R+2) en acier galvanisé en appui sur des poteaux inclinés et articulés. Ainsi la cour est dégagée, l'étanchéité préservée, le plancher haut du sous-sol n'est pas surchargé. Ces poteaux supportent également les terrasses de 1er étage. Cette structure en acier rapportée sur la façade confère symboliquement à l’immeuble son nouveau statut mixte. L'ensemble du bâtiment est totalement purgé des anciennes cloisons, doublages, menuiseries, revêtements et réseaux. Des chapes flottantes sont coulées sur l'ensemble des planchers pour améliorer l'isolation phonique : en conséquence les structures verticales du rez-de-chaussée sont renforcées par des refends en parpaing chainés aux poteaux existants résistants ainsi au flambement. Les cloisons séparatives des lots sont réalisées en "Placostyl" pour ne pas surcharger le bâtiment. La végétalisation des espaces extérieurs est l’un des enjeux du projet. Ainsi des jardins sont créés en fond de parcelle. Des jardinières maçonnées sont construites au pourtour de la cour permettant aux plantations de grimper le long des structures métallique. Des jardinières en périphérie de la toiture terrasse (à l’origine inaccessible) en ciment fibré préfabriquées sont plantées de bambous formant garde-corps et protections visuelles.
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    93 - Seine-Saint-Denis
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    Réhabilitation d'un immeuble de bureaux en 18 lots d'activité et de logement. Les lots sont livrés bruts avec réseaux en attente. Le montage opérationnel en sci d’attribution permet aux acquéreurs de participer à la conception du projet et au financement de l’opération. Les lots étant livrés bruts, les acquéreurs aménagent leur espace en collaboration avec les architectes de l’immeuble. Ce montage favorise des couts relativement bas. Le bâtiment est situé dans un quartier très hétérogène avec une importante mixité logements et activités. Il est assez dégradé, mais les structures sont en bon état. Bien qu’il n’ait pas de qualité architecturale particulière, le bâtiment met en valeur le parcellaire en lanière encore très présent dans cette partie de Bagnolet. Il offre une profondeur de champ très intéressante à la rue. Immeuble de bureaux vétuste ayant subi de nombreuses transformations et extensions parasites, la réhabilitation consiste à retrouver l’ossature originelle, redessiner les façades, repenser les circulations, et dégager des espaces de jardin et de terrasse végétalisés. Chaque lot doit disposer d’un espace extérieur privatif. Le noyau des circulations verticales (ascenseur et escalier) est démoli et reconstruit pour rendre l'escalier à l'abri des fumées, et créer une ventilation haute pour le parking en sous-sol. La redistribution des lots se fait en partie par la coursive extérieure (R+2) en acier galvanisé en appui sur des poteaux inclinés et articulés. Ainsi la cour est dégagée, l'étanchéité préservée, le plancher haut du sous-sol n'est pas surchargé. Ces poteaux supportent également les terrasses de 1er étage. Cette structure en acier rapportée sur la façade confère symboliquement à l’immeuble son nouveau statut mixte. L'ensemble du bâtiment est totalement purgé des anciennes cloisons, doublages, menuiseries, revêtements et réseaux. Des chapes flottantes sont coulées sur l'ensemble des planchers pour améliorer l'isolation phonique : en conséquence les structures verticales du rez-de-chaussée sont renforcées par des refends en parpaing chainés aux poteaux existants résistants ainsi au flambement. Les cloisons séparatives des lots sont réalisées en "Placostyl" pour ne pas surcharger le bâtiment. La végétalisation des espaces extérieurs est l’un des enjeux du projet. Ainsi des jardins sont créés en fond de parcelle. Des jardinières maçonnées sont construites au pourtour de la cour permettant aux plantations de grimper le long des structures métallique. Des jardinières en périphérie de la toiture terrasse (à l’origine inaccessible) en ciment fibré préfabriquées sont plantées de bambous formant garde-corps et protections visuelles.
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    Réhabilitation d'un immeuble de bureaux en 18 lots d'activité et de logement. Les lots sont livrés bruts avec réseaux en attente. Le montage opérationnel en sci d’attribution permet aux acquéreurs de participer à la conception du projet et au financement de l’opération. Les lots étant livrés bruts, les acquéreurs aménagent leur espace en collaboration avec les architectes de l’immeuble. Ce montage favorise des couts relativement bas. Le bâtiment est situé dans un quartier très hétérogène avec une importante mixité logements et activités. Il est assez dégradé, mais les structures sont en bon état. Bien qu’il n’ait pas de qualité architecturale particulière, le bâtiment met en valeur le parcellaire en lanière encore très présent dans cette partie de Bagnolet. Il offre une profondeur de champ très intéressante à la rue. Immeuble de bureaux vétuste ayant subi de nombreuses transformations et extensions parasites, la réhabilitation consiste à retrouver l’ossature originelle, redessiner les façades, repenser les circulations, et dégager des espaces de jardin et de terrasse végétalisés. Chaque lot doit disposer d’un espace extérieur privatif. Le noyau des circulations verticales (ascenseur et escalier) est démoli et reconstruit pour rendre l'escalier à l'abri des fumées, et créer une ventilation haute pour le parking en sous-sol. La redistribution des lots se fait en partie par la coursive extérieure (R+2) en acier galvanisé en appui sur des poteaux inclinés et articulés. Ainsi la cour est dégagée, l'étanchéité préservée, le plancher haut du sous-sol n'est pas surchargé. Ces poteaux supportent également les terrasses de 1er étage. Cette structure en acier rapportée sur la façade confère symboliquement à l’immeuble son nouveau statut mixte. L'ensemble du bâtiment est totalement purgé des anciennes cloisons, doublages, menuiseries, revêtements et réseaux. Des chapes flottantes sont coulées sur l'ensemble des planchers pour améliorer l'isolation phonique : en conséquence les structures verticales du rez-de-chaussée sont renforcées par des refends en parpaing chainés aux poteaux existants résistants ainsi au flambement. Les cloisons séparatives des lots sont réalisées en "Placostyl" pour ne pas surcharger le bâtiment. La végétalisation des espaces extérieurs est l’un des enjeux du projet. Ainsi des jardins sont créés en fond de parcelle. Des jardinières maçonnées sont construites au pourtour de la cour permettant aux plantations de grimper le long des structures métallique. Des jardinières en périphérie de la toiture terrasse (à l’origine inaccessible) en ciment fibré préfabriquées sont plantées de bambous formant garde-corps et protections visuelles.
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    Réhabilitation d'un immeuble de bureaux en 18 lots d'activité et de logement. Les lots sont livrés bruts avec réseaux en attente. Le montage opérationnel en sci d’attribution permet aux acquéreurs de participer à la conception du projet et au financement de l’opération. Les lots étant livrés bruts, les acquéreurs aménagent leur espace en collaboration avec les architectes de l’immeuble. Ce montage favorise des couts relativement bas. Le bâtiment est situé dans un quartier très hétérogène avec une importante mixité logements et activités. Il est assez dégradé, mais les structures sont en bon état. Bien qu’il n’ait pas de qualité architecturale particulière, le bâtiment met en valeur le parcellaire en lanière encore très présent dans cette partie de Bagnolet. Il offre une profondeur de champ très intéressante à la rue. Immeuble de bureaux vétuste ayant subi de nombreuses transformations et extensions parasites, la réhabilitation consiste à retrouver l’ossature originelle, redessiner les façades, repenser les circulations, et dégager des espaces de jardin et de terrasse végétalisés. Chaque lot doit disposer d’un espace extérieur privatif. Le noyau des circulations verticales (ascenseur et escalier) est démoli et reconstruit pour rendre l'escalier à l'abri des fumées, et créer une ventilation haute pour le parking en sous-sol. La redistribution des lots se fait en partie par la coursive extérieure (R+2) en acier galvanisé en appui sur des poteaux inclinés et articulés. Ainsi la cour est dégagée, l'étanchéité préservée, le plancher haut du sous-sol n'est pas surchargé. Ces poteaux supportent également les terrasses de 1er étage. Cette structure en acier rapportée sur la façade confère symboliquement à l’immeuble son nouveau statut mixte. L'ensemble du bâtiment est totalement purgé des anciennes cloisons, doublages, menuiseries, revêtements et réseaux. Des chapes flottantes sont coulées sur l'ensemble des planchers pour améliorer l'isolation phonique : en conséquence les structures verticales du rez-de-chaussée sont renforcées par des refends en parpaing chainés aux poteaux existants résistants ainsi au flambement. Les cloisons séparatives des lots sont réalisées en "Placostyl" pour ne pas surcharger le bâtiment. La végétalisation des espaces extérieurs est l’un des enjeux du projet. Ainsi des jardins sont créés en fond de parcelle. Des jardinières maçonnées sont construites au pourtour de la cour permettant aux plantations de grimper le long des structures métallique. Des jardinières en périphérie de la toiture terrasse (à l’origine inaccessible) en ciment fibré préfabriquées sont plantées de bambous formant garde-corps et protections visuelles.
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    Réhabilitation d'un immeuble de bureaux en 18 lots d'activité et de logement. Les lots sont livrés bruts avec réseaux en attente. Le montage opérationnel en sci d’attribution permet aux acquéreurs de participer à la conception du projet et au financement de l’opération. Les lots étant livrés bruts, les acquéreurs aménagent leur espace en collaboration avec les architectes de l’immeuble. Ce montage favorise des couts relativement bas. Le bâtiment est situé dans un quartier très hétérogène avec une importante mixité logements et activités. Il est assez dégradé, mais les structures sont en bon état. Bien qu’il n’ait pas de qualité architecturale particulière, le bâtiment met en valeur le parcellaire en lanière encore très présent dans cette partie de Bagnolet. Il offre une profondeur de champ très intéressante à la rue. Immeuble de bureaux vétuste ayant subi de nombreuses transformations et extensions parasites, la réhabilitation consiste à retrouver l’ossature originelle, redessiner les façades, repenser les circulations, et dégager des espaces de jardin et de terrasse végétalisés. Chaque lot doit disposer d’un espace extérieur privatif. Le noyau des circulations verticales (ascenseur et escalier) est démoli et reconstruit pour rendre l'escalier à l'abri des fumées, et créer une ventilation haute pour le parking en sous-sol. La redistribution des lots se fait en partie par la coursive extérieure (R+2) en acier galvanisé en appui sur des poteaux inclinés et articulés. Ainsi la cour est dégagée, l'étanchéité préservée, le plancher haut du sous-sol n'est pas surchargé. Ces poteaux supportent également les terrasses de 1er étage. Cette structure en acier rapportée sur la façade confère symboliquement à l’immeuble son nouveau statut mixte. L'ensemble du bâtiment est totalement purgé des anciennes cloisons, doublages, menuiseries, revêtements et réseaux. Des chapes flottantes sont coulées sur l'ensemble des planchers pour améliorer l'isolation phonique : en conséquence les structures verticales du rez-de-chaussée sont renforcées par des refends en parpaing chainés aux poteaux existants résistants ainsi au flambement. Les cloisons séparatives des lots sont réalisées en "Placostyl" pour ne pas surcharger le bâtiment. La végétalisation des espaces extérieurs est l’un des enjeux du projet. Ainsi des jardins sont créés en fond de parcelle. Des jardinières maçonnées sont construites au pourtour de la cour permettant aux plantations de grimper le long des structures métallique. Des jardinières en périphérie de la toiture terrasse (à l’origine inaccessible) en ciment fibré préfabriquées sont plantées de bambous formant garde-corps et protections visuelles.
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    2008
    93 - Seine-Saint-Denis
    Maître d’ouvrage
    SCI 86-90 VICTOR HUGO
  • Plan du 2ème étage
    Plan du 2ème étage
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    Réhabilitation d'un immeuble de bureaux en 18 lots d'activité et de logement. Les lots sont livrés bruts avec réseaux en attente. Le montage opérationnel en sci d’attribution permet aux acquéreurs de participer à la conception du projet et au financement de l’opération. Les lots étant livrés bruts, les acquéreurs aménagent leur espace en collaboration avec les architectes de l’immeuble. Ce montage favorise des couts relativement bas. Le bâtiment est situé dans un quartier très hétérogène avec une importante mixité logements et activités. Il est assez dégradé, mais les structures sont en bon état. Bien qu’il n’ait pas de qualité architecturale particulière, le bâtiment met en valeur le parcellaire en lanière encore très présent dans cette partie de Bagnolet. Il offre une profondeur de champ très intéressante à la rue. Immeuble de bureaux vétuste ayant subi de nombreuses transformations et extensions parasites, la réhabilitation consiste à retrouver l’ossature originelle, redessiner les façades, repenser les circulations, et dégager des espaces de jardin et de terrasse végétalisés. Chaque lot doit disposer d’un espace extérieur privatif. Le noyau des circulations verticales (ascenseur et escalier) est démoli et reconstruit pour rendre l'escalier à l'abri des fumées, et créer une ventilation haute pour le parking en sous-sol. La redistribution des lots se fait en partie par la coursive extérieure (R+2) en acier galvanisé en appui sur des poteaux inclinés et articulés. Ainsi la cour est dégagée, l'étanchéité préservée, le plancher haut du sous-sol n'est pas surchargé. Ces poteaux supportent également les terrasses de 1er étage. Cette structure en acier rapportée sur la façade confère symboliquement à l’immeuble son nouveau statut mixte. L'ensemble du bâtiment est totalement purgé des anciennes cloisons, doublages, menuiseries, revêtements et réseaux. Des chapes flottantes sont coulées sur l'ensemble des planchers pour améliorer l'isolation phonique : en conséquence les structures verticales du rez-de-chaussée sont renforcées par des refends en parpaing chainés aux poteaux existants résistants ainsi au flambement. Les cloisons séparatives des lots sont réalisées en "Placostyl" pour ne pas surcharger le bâtiment. La végétalisation des espaces extérieurs est l’un des enjeux du projet. Ainsi des jardins sont créés en fond de parcelle. Des jardinières maçonnées sont construites au pourtour de la cour permettant aux plantations de grimper le long des structures métallique. Des jardinières en périphérie de la toiture terrasse (à l’origine inaccessible) en ciment fibré préfabriquées sont plantées de bambous formant garde-corps et protections visuelles.
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