AOÛTWERK - construction d’une cabane de chantier en paille

  • Neuf
    Dans le cadre de la réhabilitation lourde d’un bâtiment traditionnel rural en Bretagne, ce projet se propose de résoudre d’une manière innovante et accessible une problématique commune à de nombreux projets d’auto construction. Suite à l’achat d’une longère en ruine et en vue de sa réhabilitation et transformation en lieu de création visuelle et sonore, la première étape était la construction rapide d’une cabane de chantier. Prévue pour héberger et pourvoir aux besoins essentiels à la vie sur le site dans le cadre d’un chantier collectif, sa construction est abordée avec très peu de moyens. Le chantier accueillera des sessions de formation à l’auto construction en été, et avancera pendant le reste de l’année dans le compromis des rythmes de chacun. Ainsi, l’usage en hiver devait aussi être envisagé, avec un apport limité en chauffage. Disposant d’un permis de construire pour la reconstruction de la ruine de longère existante, la réglementation autorise à bâtir une « cabane de chantier ». C’est donc naturellement que la pratique de la récupération et du réemploi s’est imposée pour réaliser ce petit espace à vivre de 17 m2 habitables. Si la logique particulière (auto construction, récupération, etc.) qui a permis de réduire à ce point le coût de réalisation n’est en rien généralisable, il n’en reste pas moins intéressant de montrer qu’auto construction et réemploi ne sont pas incompatibles avec une certaine recherche de qualité architecturale et d’une excellente performance thermique. Suite à la formulation d’un besoin concret, ce projet naît d’une recherche sur les possibilités de construire un habitat thermiquement performant pour un prix minimal, et ce sans sacrifier la démarche d’écoconstruction (prise en compte de l’énergie grise et des conditions de production). D’une manière similaire à plusieurs projets présentés précédemment, sa forme architecturale même émane des possibilités offertes par les matériaux récupérés en amont de la démarche de conception. En effet, la structure primaire ainsi que la couverture proviennent d’un même hangar agricole effondré, démonté sur une parcelle vouée à un projet de construction. Les palettes de distribution annuelle de l’annuaire téléphonique des pages jaunes sont disponibles gratuitement en quantité considérable. Elles ont servi pour fixer les ballots et, une fois démontées, au bardage intérieur. La paille ramassée sur le champ immédiatement voisin de la parcelle s’impose comme isolant en raison de son coût (30€ le m2) et de ses performances considérables. Les ouvrants et les double-vitrages fixes ont été glanés dans différents chantiers de démolition. Le travail de projet à proprement parler, consiste alors à explorer les possibilités qu’offre cette matière première limitée en quantité et en dimension. Le cadre législatif impose une emprise maximale de 20m2 shob alors que les besoins en surfaces habitables sont importants. Un travail d’optimisation est donc mené parallèlement et aboutira à la création d’un espace de couchage en mezzanine. Anticipant la fin du chantier, la réversibilité du site a été intégrée à la réflexion : la cabane est facilement démontable, repose sur des fondations légères alors que la paille, qui représente le volume principal de matière, est biodégradable. Pour nous, l’intérêt principal de cette réalisation est d’avoir apporté la preuve qu’avec suffisamment de détermination, lorsque l’effort compense le manque de moyens, une solution fonctionnellement et techniquement aboutie peut être trouvée sans délaisser la qualité architecturale.
    Neuf
    35660 Langon
    France métropolitaine
    juillet 2015
    35 - Ille-et-Vilaine
    Maître d’ouvrage
    privé
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    Dans le cadre de la réhabilitation lourde d’un bâtiment traditionnel rural en Bretagne, ce projet se propose de résoudre d’une manière innovante et accessible une problématique commune à de nombreux projets d’auto construction. Suite à l’achat d’une longère en ruine et en vue de sa réhabilitation et transformation en lieu de création visuelle et sonore, la première étape était la construction rapide d’une cabane de chantier. Prévue pour héberger et pourvoir aux besoins essentiels à la vie sur le site dans le cadre d’un chantier collectif, sa construction est abordée avec très peu de moyens. Le chantier accueillera des sessions de formation à l’auto construction en été, et avancera pendant le reste de l’année dans le compromis des rythmes de chacun. Ainsi, l’usage en hiver devait aussi être envisagé, avec un apport limité en chauffage. Disposant d’un permis de construire pour la reconstruction de la ruine de longère existante, la réglementation autorise à bâtir une « cabane de chantier ». C’est donc naturellement que la pratique de la récupération et du réemploi s’est imposée pour réaliser ce petit espace à vivre de 17 m2 habitables. Si la logique particulière (auto construction, récupération, etc.) qui a permis de réduire à ce point le coût de réalisation n’est en rien généralisable, il n’en reste pas moins intéressant de montrer qu’auto construction et réemploi ne sont pas incompatibles avec une certaine recherche de qualité architecturale et d’une excellente performance thermique. Suite à la formulation d’un besoin concret, ce projet naît d’une recherche sur les possibilités de construire un habitat thermiquement performant pour un prix minimal, et ce sans sacrifier la démarche d’écoconstruction (prise en compte de l’énergie grise et des conditions de production). D’une manière similaire à plusieurs projets présentés précédemment, sa forme architecturale même émane des possibilités offertes par les matériaux récupérés en amont de la démarche de conception. En effet, la structure primaire ainsi que la couverture proviennent d’un même hangar agricole effondré, démonté sur une parcelle vouée à un projet de construction. Les palettes de distribution annuelle de l’annuaire téléphonique des pages jaunes sont disponibles gratuitement en quantité considérable. Elles ont servi pour fixer les ballots et, une fois démontées, au bardage intérieur. La paille ramassée sur le champ immédiatement voisin de la parcelle s’impose comme isolant en raison de son coût (30€ le m2) et de ses performances considérables. Les ouvrants et les double-vitrages fixes ont été glanés dans différents chantiers de démolition. Le travail de projet à proprement parler, consiste alors à explorer les possibilités qu’offre cette matière première limitée en quantité et en dimension. Le cadre législatif impose une emprise maximale de 20m2 shob alors que les besoins en surfaces habitables sont importants. Un travail d’optimisation est donc mené parallèlement et aboutira à la création d’un espace de couchage en mezzanine. Anticipant la fin du chantier, la réversibilité du site a été intégrée à la réflexion : la cabane est facilement démontable, repose sur des fondations légères alors que la paille, qui représente le volume principal de matière, est biodégradable. Pour nous, l’intérêt principal de cette réalisation est d’avoir apporté la preuve qu’avec suffisamment de détermination, lorsque l’effort compense le manque de moyens, une solution fonctionnellement et techniquement aboutie peut être trouvée sans délaisser la qualité architecturale.
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    privé
  • Neuf
    Dans le cadre de la réhabilitation lourde d’un bâtiment traditionnel rural en Bretagne, ce projet se propose de résoudre d’une manière innovante et accessible une problématique commune à de nombreux projets d’auto construction. Suite à l’achat d’une longère en ruine et en vue de sa réhabilitation et transformation en lieu de création visuelle et sonore, la première étape était la construction rapide d’une cabane de chantier. Prévue pour héberger et pourvoir aux besoins essentiels à la vie sur le site dans le cadre d’un chantier collectif, sa construction est abordée avec très peu de moyens. Le chantier accueillera des sessions de formation à l’auto construction en été, et avancera pendant le reste de l’année dans le compromis des rythmes de chacun. Ainsi, l’usage en hiver devait aussi être envisagé, avec un apport limité en chauffage. Disposant d’un permis de construire pour la reconstruction de la ruine de longère existante, la réglementation autorise à bâtir une « cabane de chantier ». C’est donc naturellement que la pratique de la récupération et du réemploi s’est imposée pour réaliser ce petit espace à vivre de 17 m2 habitables. Si la logique particulière (auto construction, récupération, etc.) qui a permis de réduire à ce point le coût de réalisation n’est en rien généralisable, il n’en reste pas moins intéressant de montrer qu’auto construction et réemploi ne sont pas incompatibles avec une certaine recherche de qualité architecturale et d’une excellente performance thermique. Suite à la formulation d’un besoin concret, ce projet naît d’une recherche sur les possibilités de construire un habitat thermiquement performant pour un prix minimal, et ce sans sacrifier la démarche d’écoconstruction (prise en compte de l’énergie grise et des conditions de production). D’une manière similaire à plusieurs projets présentés précédemment, sa forme architecturale même émane des possibilités offertes par les matériaux récupérés en amont de la démarche de conception. En effet, la structure primaire ainsi que la couverture proviennent d’un même hangar agricole effondré, démonté sur une parcelle vouée à un projet de construction. Les palettes de distribution annuelle de l’annuaire téléphonique des pages jaunes sont disponibles gratuitement en quantité considérable. Elles ont servi pour fixer les ballots et, une fois démontées, au bardage intérieur. La paille ramassée sur le champ immédiatement voisin de la parcelle s’impose comme isolant en raison de son coût (30€ le m2) et de ses performances considérables. Les ouvrants et les double-vitrages fixes ont été glanés dans différents chantiers de démolition. Le travail de projet à proprement parler, consiste alors à explorer les possibilités qu’offre cette matière première limitée en quantité et en dimension. Le cadre législatif impose une emprise maximale de 20m2 shob alors que les besoins en surfaces habitables sont importants. Un travail d’optimisation est donc mené parallèlement et aboutira à la création d’un espace de couchage en mezzanine. Anticipant la fin du chantier, la réversibilité du site a été intégrée à la réflexion : la cabane est facilement démontable, repose sur des fondations légères alors que la paille, qui représente le volume principal de matière, est biodégradable. Pour nous, l’intérêt principal de cette réalisation est d’avoir apporté la preuve qu’avec suffisamment de détermination, lorsque l’effort compense le manque de moyens, une solution fonctionnellement et techniquement aboutie peut être trouvée sans délaisser la qualité architecturale.
    Neuf
    35660 Langon
    France métropolitaine
    juillet 2015
    35 - Ille-et-Vilaine
    Maître d’ouvrage
    privé
  • Neuf
    Dans le cadre de la réhabilitation lourde d’un bâtiment traditionnel rural en Bretagne, ce projet se propose de résoudre d’une manière innovante et accessible une problématique commune à de nombreux projets d’auto construction. Suite à l’achat d’une longère en ruine et en vue de sa réhabilitation et transformation en lieu de création visuelle et sonore, la première étape était la construction rapide d’une cabane de chantier. Prévue pour héberger et pourvoir aux besoins essentiels à la vie sur le site dans le cadre d’un chantier collectif, sa construction est abordée avec très peu de moyens. Le chantier accueillera des sessions de formation à l’auto construction en été, et avancera pendant le reste de l’année dans le compromis des rythmes de chacun. Ainsi, l’usage en hiver devait aussi être envisagé, avec un apport limité en chauffage. Disposant d’un permis de construire pour la reconstruction de la ruine de longère existante, la réglementation autorise à bâtir une « cabane de chantier ». C’est donc naturellement que la pratique de la récupération et du réemploi s’est imposée pour réaliser ce petit espace à vivre de 17 m2 habitables. Si la logique particulière (auto construction, récupération, etc.) qui a permis de réduire à ce point le coût de réalisation n’est en rien généralisable, il n’en reste pas moins intéressant de montrer qu’auto construction et réemploi ne sont pas incompatibles avec une certaine recherche de qualité architecturale et d’une excellente performance thermique. Suite à la formulation d’un besoin concret, ce projet naît d’une recherche sur les possibilités de construire un habitat thermiquement performant pour un prix minimal, et ce sans sacrifier la démarche d’écoconstruction (prise en compte de l’énergie grise et des conditions de production). D’une manière similaire à plusieurs projets présentés précédemment, sa forme architecturale même émane des possibilités offertes par les matériaux récupérés en amont de la démarche de conception. En effet, la structure primaire ainsi que la couverture proviennent d’un même hangar agricole effondré, démonté sur une parcelle vouée à un projet de construction. Les palettes de distribution annuelle de l’annuaire téléphonique des pages jaunes sont disponibles gratuitement en quantité considérable. Elles ont servi pour fixer les ballots et, une fois démontées, au bardage intérieur. La paille ramassée sur le champ immédiatement voisin de la parcelle s’impose comme isolant en raison de son coût (30€ le m2) et de ses performances considérables. Les ouvrants et les double-vitrages fixes ont été glanés dans différents chantiers de démolition. Le travail de projet à proprement parler, consiste alors à explorer les possibilités qu’offre cette matière première limitée en quantité et en dimension. Le cadre législatif impose une emprise maximale de 20m2 shob alors que les besoins en surfaces habitables sont importants. Un travail d’optimisation est donc mené parallèlement et aboutira à la création d’un espace de couchage en mezzanine. Anticipant la fin du chantier, la réversibilité du site a été intégrée à la réflexion : la cabane est facilement démontable, repose sur des fondations légères alors que la paille, qui représente le volume principal de matière, est biodégradable. Pour nous, l’intérêt principal de cette réalisation est d’avoir apporté la preuve qu’avec suffisamment de détermination, lorsque l’effort compense le manque de moyens, une solution fonctionnellement et techniquement aboutie peut être trouvée sans délaisser la qualité architecturale.
    Neuf
    35660 Langon
    France métropolitaine
    juillet 2015
    35 - Ille-et-Vilaine
    Maître d’ouvrage
    privé