L'atelier.

  • Etablissement recevant du public (ERP)
    L’atelier est une école de peinture pour l’artiste spécialiste du trompe-l’œil M. Nadaï et ajouter une salle multifonction au centre culturel de la ville. Situé dans une entrée de ville, entre la nationale, un garage, une station-service et un supermarché, le centre culturel présente une large toiture terrasse, qui va devenir le site de ce nouveau projet. Celui-ci doit intégrer dès l’origine deux facteurs qui serviront de matrice à son architecture : la question d’un agrandissement et un contexte d’entrée de ville. Dès le début, l’idée d’une extension est écartée. Il s’agit plutôt de parler de greffe, en évitant le mimétisme, sans saveur, de l’existant. Car si le site du projet est la toiture terrasse du centre culturel, il reste néanmoins une surface vierge, en retrait qui nécessite d’être exploré et stratifié. L’école de peinture pour l’apprentissage du trompe-l’oeil, s’inspirera de l’atelier d’artiste, avec une verrière sur le nord, une hauteur sous plafond conséquente et une certaine simplicité dans les éléments qui la composent. L’atelier s’oriente ainsi vers la lumière neutre du nord et propose d’éviter le traditionnel hangar anonyme d’entrée de ville. Deux propositions : un matériau absent du contexte, le bois, et une façade principale qui communique et exprime l’identité de la ville et la production picturale de l’atelier. Le projet se construit autour d’une grande toile lumineuse -en cinémascope et en couleurs- représentant la vue existante depuis la toiture terrasse, avant que le projet ne se réalise, peinte en trompe-l’oeil, et transformant l’atelier en écran géant, évoquant par cette transparence peinte l’idée du passage vers Agen et vers le Lot et Garonne. La conception de cet écran permet d’intégrer l’artiste au projet, en lui passant la commande d’une maquette de cette vue réalisée à l’échelle 1/5. On passe sous l’écran pour pénétrer dans l’atelier, traversant cette façade la plus haute, habillée de noir, contrastant avec le revêtement eternit blanc des trois autres faces. L’intérieur de l’atelier se dessine comme une peau retournée qui présenterait tous ses mécanismes de fonctionnement. Toute la structure en bois de l’atelier s’articule autour d’une barrette technique, séparant l’école de la salle multifonction. Il y a dans cette architecture la volonté de rendre visible ce qui est habituellement caché dans un projet. L’atelier affirme sa réponse à la problématique des contextes d’entrée de ville, en formulant une architecture qui évite tout mimétisme et propose une différence imposée par un programme précis et original. Le paysage vient s’inscrire dans le noir profond de sa façade effaçant l’architecture pour ne laisser qu’un écran transparent, fenêtre ouverte à des passages infinis. Vous êtes entrés dans le paysage. Bienvenue dans l’atelier.
    Etablissement recevant du public (ERP)
    37 avenue Verdun
    47520 Le passage d'Agen.
    France métropolitaine
    2011
    47 - Lot-et-Garonne
    Maître d’ouvrage
    Le passage d'Agen
  • Etablissement recevant du public (ERP)
    L’atelier est une école de peinture pour l’artiste spécialiste du trompe-l’œil M. Nadaï et ajouter une salle multifonction au centre culturel de la ville. Situé dans une entrée de ville, entre la nationale, un garage, une station-service et un supermarché, le centre culturel présente une large toiture terrasse, qui va devenir le site de ce nouveau projet. Celui-ci doit intégrer dès l’origine deux facteurs qui serviront de matrice à son architecture : la question d’un agrandissement et un contexte d’entrée de ville. Dès le début, l’idée d’une extension est écartée. Il s’agit plutôt de parler de greffe, en évitant le mimétisme, sans saveur, de l’existant. Car si le site du projet est la toiture terrasse du centre culturel, il reste néanmoins une surface vierge, en retrait qui nécessite d’être exploré et stratifié. L’école de peinture pour l’apprentissage du trompe-l’oeil, s’inspirera de l’atelier d’artiste, avec une verrière sur le nord, une hauteur sous plafond conséquente et une certaine simplicité dans les éléments qui la composent. L’atelier s’oriente ainsi vers la lumière neutre du nord et propose d’éviter le traditionnel hangar anonyme d’entrée de ville. Deux propositions : un matériau absent du contexte, le bois, et une façade principale qui communique et exprime l’identité de la ville et la production picturale de l’atelier. Le projet se construit autour d’une grande toile lumineuse -en cinémascope et en couleurs- représentant la vue existante depuis la toiture terrasse, avant que le projet ne se réalise, peinte en trompe-l’oeil, et transformant l’atelier en écran géant, évoquant par cette transparence peinte l’idée du passage vers Agen et vers le Lot et Garonne. La conception de cet écran permet d’intégrer l’artiste au projet, en lui passant la commande d’une maquette de cette vue réalisée à l’échelle 1/5. On passe sous l’écran pour pénétrer dans l’atelier, traversant cette façade la plus haute, habillée de noir, contrastant avec le revêtement eternit blanc des trois autres faces. L’intérieur de l’atelier se dessine comme une peau retournée qui présenterait tous ses mécanismes de fonctionnement. Toute la structure en bois de l’atelier s’articule autour d’une barrette technique, séparant l’école de la salle multifonction. Il y a dans cette architecture la volonté de rendre visible ce qui est habituellement caché dans un projet. L’atelier affirme sa réponse à la problématique des contextes d’entrée de ville, en formulant une architecture qui évite tout mimétisme et propose une différence imposée par un programme précis et original. Le paysage vient s’inscrire dans le noir profond de sa façade effaçant l’architecture pour ne laisser qu’un écran transparent, fenêtre ouverte à des passages infinis. Vous êtes entrés dans le paysage. Bienvenue dans l’atelier.
    Etablissement recevant du public (ERP)
    37 avenue Verdun
    47520 Le passage d'Agen.
    France métropolitaine
    2011
    47 - Lot-et-Garonne
    Maître d’ouvrage
    Le passage d'Agen
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    L’atelier est une école de peinture pour l’artiste spécialiste du trompe-l’œil M. Nadaï et ajouter une salle multifonction au centre culturel de la ville. Situé dans une entrée de ville, entre la nationale, un garage, une station-service et un supermarché, le centre culturel présente une large toiture terrasse, qui va devenir le site de ce nouveau projet. Celui-ci doit intégrer dès l’origine deux facteurs qui serviront de matrice à son architecture : la question d’un agrandissement et un contexte d’entrée de ville. Dès le début, l’idée d’une extension est écartée. Il s’agit plutôt de parler de greffe, en évitant le mimétisme, sans saveur, de l’existant. Car si le site du projet est la toiture terrasse du centre culturel, il reste néanmoins une surface vierge, en retrait qui nécessite d’être exploré et stratifié. L’école de peinture pour l’apprentissage du trompe-l’oeil, s’inspirera de l’atelier d’artiste, avec une verrière sur le nord, une hauteur sous plafond conséquente et une certaine simplicité dans les éléments qui la composent. L’atelier s’oriente ainsi vers la lumière neutre du nord et propose d’éviter le traditionnel hangar anonyme d’entrée de ville. Deux propositions : un matériau absent du contexte, le bois, et une façade principale qui communique et exprime l’identité de la ville et la production picturale de l’atelier. Le projet se construit autour d’une grande toile lumineuse -en cinémascope et en couleurs- représentant la vue existante depuis la toiture terrasse, avant que le projet ne se réalise, peinte en trompe-l’oeil, et transformant l’atelier en écran géant, évoquant par cette transparence peinte l’idée du passage vers Agen et vers le Lot et Garonne. La conception de cet écran permet d’intégrer l’artiste au projet, en lui passant la commande d’une maquette de cette vue réalisée à l’échelle 1/5. On passe sous l’écran pour pénétrer dans l’atelier, traversant cette façade la plus haute, habillée de noir, contrastant avec le revêtement eternit blanc des trois autres faces. L’intérieur de l’atelier se dessine comme une peau retournée qui présenterait tous ses mécanismes de fonctionnement. Toute la structure en bois de l’atelier s’articule autour d’une barrette technique, séparant l’école de la salle multifonction. Il y a dans cette architecture la volonté de rendre visible ce qui est habituellement caché dans un projet. L’atelier affirme sa réponse à la problématique des contextes d’entrée de ville, en formulant une architecture qui évite tout mimétisme et propose une différence imposée par un programme précis et original. Le paysage vient s’inscrire dans le noir profond de sa façade effaçant l’architecture pour ne laisser qu’un écran transparent, fenêtre ouverte à des passages infinis. Vous êtes entrés dans le paysage. Bienvenue dans l’atelier.
    Etablissement recevant du public (ERP)
    37 avenue Verdun
    47520 Le passage d'Agen.
    France métropolitaine
    2011
    47 - Lot-et-Garonne
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    Le passage d'Agen
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    L’atelier est une école de peinture pour l’artiste spécialiste du trompe-l’œil M. Nadaï et ajouter une salle multifonction au centre culturel de la ville. Situé dans une entrée de ville, entre la nationale, un garage, une station-service et un supermarché, le centre culturel présente une large toiture terrasse, qui va devenir le site de ce nouveau projet. Celui-ci doit intégrer dès l’origine deux facteurs qui serviront de matrice à son architecture : la question d’un agrandissement et un contexte d’entrée de ville. Dès le début, l’idée d’une extension est écartée. Il s’agit plutôt de parler de greffe, en évitant le mimétisme, sans saveur, de l’existant. Car si le site du projet est la toiture terrasse du centre culturel, il reste néanmoins une surface vierge, en retrait qui nécessite d’être exploré et stratifié. L’école de peinture pour l’apprentissage du trompe-l’oeil, s’inspirera de l’atelier d’artiste, avec une verrière sur le nord, une hauteur sous plafond conséquente et une certaine simplicité dans les éléments qui la composent. L’atelier s’oriente ainsi vers la lumière neutre du nord et propose d’éviter le traditionnel hangar anonyme d’entrée de ville. Deux propositions : un matériau absent du contexte, le bois, et une façade principale qui communique et exprime l’identité de la ville et la production picturale de l’atelier. Le projet se construit autour d’une grande toile lumineuse -en cinémascope et en couleurs- représentant la vue existante depuis la toiture terrasse, avant que le projet ne se réalise, peinte en trompe-l’oeil, et transformant l’atelier en écran géant, évoquant par cette transparence peinte l’idée du passage vers Agen et vers le Lot et Garonne. La conception de cet écran permet d’intégrer l’artiste au projet, en lui passant la commande d’une maquette de cette vue réalisée à l’échelle 1/5. On passe sous l’écran pour pénétrer dans l’atelier, traversant cette façade la plus haute, habillée de noir, contrastant avec le revêtement eternit blanc des trois autres faces. L’intérieur de l’atelier se dessine comme une peau retournée qui présenterait tous ses mécanismes de fonctionnement. Toute la structure en bois de l’atelier s’articule autour d’une barrette technique, séparant l’école de la salle multifonction. Il y a dans cette architecture la volonté de rendre visible ce qui est habituellement caché dans un projet. L’atelier affirme sa réponse à la problématique des contextes d’entrée de ville, en formulant une architecture qui évite tout mimétisme et propose une différence imposée par un programme précis et original. Le paysage vient s’inscrire dans le noir profond de sa façade effaçant l’architecture pour ne laisser qu’un écran transparent, fenêtre ouverte à des passages infinis. Vous êtes entrés dans le paysage. Bienvenue dans l’atelier.
    Etablissement recevant du public (ERP)
    37 avenue Verdun
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    2011
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    L’atelier est une école de peinture pour l’artiste spécialiste du trompe-l’œil M. Nadaï et ajouter une salle multifonction au centre culturel de la ville. Situé dans une entrée de ville, entre la nationale, un garage, une station-service et un supermarché, le centre culturel présente une large toiture terrasse, qui va devenir le site de ce nouveau projet. Celui-ci doit intégrer dès l’origine deux facteurs qui serviront de matrice à son architecture : la question d’un agrandissement et un contexte d’entrée de ville. Dès le début, l’idée d’une extension est écartée. Il s’agit plutôt de parler de greffe, en évitant le mimétisme, sans saveur, de l’existant. Car si le site du projet est la toiture terrasse du centre culturel, il reste néanmoins une surface vierge, en retrait qui nécessite d’être exploré et stratifié. L’école de peinture pour l’apprentissage du trompe-l’oeil, s’inspirera de l’atelier d’artiste, avec une verrière sur le nord, une hauteur sous plafond conséquente et une certaine simplicité dans les éléments qui la composent. L’atelier s’oriente ainsi vers la lumière neutre du nord et propose d’éviter le traditionnel hangar anonyme d’entrée de ville. Deux propositions : un matériau absent du contexte, le bois, et une façade principale qui communique et exprime l’identité de la ville et la production picturale de l’atelier. Le projet se construit autour d’une grande toile lumineuse -en cinémascope et en couleurs- représentant la vue existante depuis la toiture terrasse, avant que le projet ne se réalise, peinte en trompe-l’oeil, et transformant l’atelier en écran géant, évoquant par cette transparence peinte l’idée du passage vers Agen et vers le Lot et Garonne. La conception de cet écran permet d’intégrer l’artiste au projet, en lui passant la commande d’une maquette de cette vue réalisée à l’échelle 1/5. On passe sous l’écran pour pénétrer dans l’atelier, traversant cette façade la plus haute, habillée de noir, contrastant avec le revêtement eternit blanc des trois autres faces. L’intérieur de l’atelier se dessine comme une peau retournée qui présenterait tous ses mécanismes de fonctionnement. Toute la structure en bois de l’atelier s’articule autour d’une barrette technique, séparant l’école de la salle multifonction. Il y a dans cette architecture la volonté de rendre visible ce qui est habituellement caché dans un projet. L’atelier affirme sa réponse à la problématique des contextes d’entrée de ville, en formulant une architecture qui évite tout mimétisme et propose une différence imposée par un programme précis et original. Le paysage vient s’inscrire dans le noir profond de sa façade effaçant l’architecture pour ne laisser qu’un écran transparent, fenêtre ouverte à des passages infinis. Vous êtes entrés dans le paysage. Bienvenue dans l’atelier.
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    L’atelier est une école de peinture pour l’artiste spécialiste du trompe-l’œil M. Nadaï et ajouter une salle multifonction au centre culturel de la ville. Situé dans une entrée de ville, entre la nationale, un garage, une station-service et un supermarché, le centre culturel présente une large toiture terrasse, qui va devenir le site de ce nouveau projet. Celui-ci doit intégrer dès l’origine deux facteurs qui serviront de matrice à son architecture : la question d’un agrandissement et un contexte d’entrée de ville. Dès le début, l’idée d’une extension est écartée. Il s’agit plutôt de parler de greffe, en évitant le mimétisme, sans saveur, de l’existant. Car si le site du projet est la toiture terrasse du centre culturel, il reste néanmoins une surface vierge, en retrait qui nécessite d’être exploré et stratifié. L’école de peinture pour l’apprentissage du trompe-l’oeil, s’inspirera de l’atelier d’artiste, avec une verrière sur le nord, une hauteur sous plafond conséquente et une certaine simplicité dans les éléments qui la composent. L’atelier s’oriente ainsi vers la lumière neutre du nord et propose d’éviter le traditionnel hangar anonyme d’entrée de ville. Deux propositions : un matériau absent du contexte, le bois, et une façade principale qui communique et exprime l’identité de la ville et la production picturale de l’atelier. Le projet se construit autour d’une grande toile lumineuse -en cinémascope et en couleurs- représentant la vue existante depuis la toiture terrasse, avant que le projet ne se réalise, peinte en trompe-l’oeil, et transformant l’atelier en écran géant, évoquant par cette transparence peinte l’idée du passage vers Agen et vers le Lot et Garonne. La conception de cet écran permet d’intégrer l’artiste au projet, en lui passant la commande d’une maquette de cette vue réalisée à l’échelle 1/5. On passe sous l’écran pour pénétrer dans l’atelier, traversant cette façade la plus haute, habillée de noir, contrastant avec le revêtement eternit blanc des trois autres faces. L’intérieur de l’atelier se dessine comme une peau retournée qui présenterait tous ses mécanismes de fonctionnement. Toute la structure en bois de l’atelier s’articule autour d’une barrette technique, séparant l’école de la salle multifonction. Il y a dans cette architecture la volonté de rendre visible ce qui est habituellement caché dans un projet. L’atelier affirme sa réponse à la problématique des contextes d’entrée de ville, en formulant une architecture qui évite tout mimétisme et propose une différence imposée par un programme précis et original. Le paysage vient s’inscrire dans le noir profond de sa façade effaçant l’architecture pour ne laisser qu’un écran transparent, fenêtre ouverte à des passages infinis. Vous êtes entrés dans le paysage. Bienvenue dans l’atelier.
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    L’atelier est une école de peinture pour l’artiste spécialiste du trompe-l’œil M. Nadaï et ajouter une salle multifonction au centre culturel de la ville. Situé dans une entrée de ville, entre la nationale, un garage, une station-service et un supermarché, le centre culturel présente une large toiture terrasse, qui va devenir le site de ce nouveau projet. Celui-ci doit intégrer dès l’origine deux facteurs qui serviront de matrice à son architecture : la question d’un agrandissement et un contexte d’entrée de ville. Dès le début, l’idée d’une extension est écartée. Il s’agit plutôt de parler de greffe, en évitant le mimétisme, sans saveur, de l’existant. Car si le site du projet est la toiture terrasse du centre culturel, il reste néanmoins une surface vierge, en retrait qui nécessite d’être exploré et stratifié. L’école de peinture pour l’apprentissage du trompe-l’oeil, s’inspirera de l’atelier d’artiste, avec une verrière sur le nord, une hauteur sous plafond conséquente et une certaine simplicité dans les éléments qui la composent. L’atelier s’oriente ainsi vers la lumière neutre du nord et propose d’éviter le traditionnel hangar anonyme d’entrée de ville. Deux propositions : un matériau absent du contexte, le bois, et une façade principale qui communique et exprime l’identité de la ville et la production picturale de l’atelier. Le projet se construit autour d’une grande toile lumineuse -en cinémascope et en couleurs- représentant la vue existante depuis la toiture terrasse, avant que le projet ne se réalise, peinte en trompe-l’oeil, et transformant l’atelier en écran géant, évoquant par cette transparence peinte l’idée du passage vers Agen et vers le Lot et Garonne. La conception de cet écran permet d’intégrer l’artiste au projet, en lui passant la commande d’une maquette de cette vue réalisée à l’échelle 1/5. On passe sous l’écran pour pénétrer dans l’atelier, traversant cette façade la plus haute, habillée de noir, contrastant avec le revêtement eternit blanc des trois autres faces. L’intérieur de l’atelier se dessine comme une peau retournée qui présenterait tous ses mécanismes de fonctionnement. Toute la structure en bois de l’atelier s’articule autour d’une barrette technique, séparant l’école de la salle multifonction. Il y a dans cette architecture la volonté de rendre visible ce qui est habituellement caché dans un projet. L’atelier affirme sa réponse à la problématique des contextes d’entrée de ville, en formulant une architecture qui évite tout mimétisme et propose une différence imposée par un programme précis et original. Le paysage vient s’inscrire dans le noir profond de sa façade effaçant l’architecture pour ne laisser qu’un écran transparent, fenêtre ouverte à des passages infinis. Vous êtes entrés dans le paysage. Bienvenue dans l’atelier.
    Etablissement recevant du public (ERP)
    37 avenue Verdun
    47520 Le passage d'Agen.
    France métropolitaine
    2011
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