Woody

  • Neuf
    DECOMPOSITION ARCHITECTURALE. Le projet Woody est la création d’une maison principale dans un lotissement à Andernos les bains sur le bassin pour une jeune famille avec trois enfants. Les obligations du PLU telles que la présence de tuiles ou le pourcentage de pente sont assimilées dans un volume simple, en longueur, avec une toiture à deux pentes qui rappelle dans ses proportions les séchoirs agricoles du sud- ouest et les cabanes ostréicoles. La simplicité du volume réside aussi dans sa décomposition architecturale. Les murs disparaissent pour laisser place à un petit bois qui vient porter la toiture de tuiles. Celle-ci semble ainsi flotter, canopée de terre cuite, vestige d’une tradition qui doit maintenant laisser place à la nature et aux nouvellesidées. UN PETIT BOIS. Il était aussi important de pallier la banalité immédiate du site – un nouveau lotissement, ses langues de bitumes, des portails et quelques haies, peu d’arbres – afin de contrebalancer la situation : l’architecture sera le site, elle en sera la qualité et puisera dans le contexte large du Bassin pour le ramener au cœur du lotissement anonyme. En imaginant les limites de la maison comme les limites d’un petit bois, la maison devient le paysage et s’ancre donc dans le contexte du bassin d’Ar-cachon, en s’inspirant de la flore environnante. Pour éclairer l’intérieur, les petits arbres s’écartent pour laisser passer le soleil à travers de larges fenêtres réparties en fonction des espaces intérieurs. PROMENONS-NOUS DANS LES BOIS. À l’intérieur, l’origine du projet reposait sur une partition affranchie des cloisons et longs couloirs avec portes en série. Il fallait contenir le programme sous ce toit en préservant visuellement l’unicité du grand volume. Le studio a donc imaginé six petites formes, six petits volumes qui vont contenir les espaces privatifs de la maison. En les plaçant sur la dalle de béton, la famille des six dessine un paysage intérieur singulier, évoquant les jeux de cubes de notre enfance. Sous la toiture, le vide laissé par les six formes dégage un es- pace de vie de grande taille et des espaces de promenade pour circuler entre les différentes fonctions de la maison. Au sein de Woody, les habitants déambulent, métaphore tenace de la promenade dans les bois, invitation à la notion de jeu, de plaisir et de rêverie… NATURELLE, OMBRÉE, MAQUILLEE. Les matériaux sont naturels, simples et rustiques, inscrits dans une ruralité balnéaire qui ancre la maison dans un paysage identifié. Si l’extérieur présente la couleur naturelle des matériaux, le bois pour les arbres, la terre cuite pour les tuiles, le gris du béton, l’intérieur se pare d’un blanc intégral dans toute sa volumétrie. Il est une page lumineuse qui recevra les milles nuances des ombres portées par les arbres du petit bois qui soutient la toiture. La famille des six volumes prend par contre des couleurs douces et chaudes et rappelle les nuanciers poudrés du maquillage, couleurs chair qui renforcent la personnalité de chacune des formes, comme autant de personnalités à découvrir.
    Neuf
    16 allées des Ortolans
    33510 Andernos les bains
    France métropolitaine
    2020
    33 - Gironde
    Maître d’ouvrage
    Privé
  • Neuf
    DECOMPOSITION ARCHITECTURALE. Le projet Woody est la création d’une maison principale dans un lotissement à Andernos les bains sur le bassin pour une jeune famille avec trois enfants. Les obligations du PLU telles que la présence de tuiles ou le pourcentage de pente sont assimilées dans un volume simple, en longueur, avec une toiture à deux pentes qui rappelle dans ses proportions les séchoirs agricoles du sud- ouest et les cabanes ostréicoles. La simplicité du volume réside aussi dans sa décomposition architecturale. Les murs disparaissent pour laisser place à un petit bois qui vient porter la toiture de tuiles. Celle-ci semble ainsi flotter, canopée de terre cuite, vestige d’une tradition qui doit maintenant laisser place à la nature et aux nouvellesidées. UN PETIT BOIS. Il était aussi important de pallier la banalité immédiate du site – un nouveau lotissement, ses langues de bitumes, des portails et quelques haies, peu d’arbres – afin de contrebalancer la situation : l’architecture sera le site, elle en sera la qualité et puisera dans le contexte large du Bassin pour le ramener au cœur du lotissement anonyme. En imaginant les limites de la maison comme les limites d’un petit bois, la maison devient le paysage et s’ancre donc dans le contexte du bassin d’Ar-cachon, en s’inspirant de la flore environnante. Pour éclairer l’intérieur, les petits arbres s’écartent pour laisser passer le soleil à travers de larges fenêtres réparties en fonction des espaces intérieurs. PROMENONS-NOUS DANS LES BOIS. À l’intérieur, l’origine du projet reposait sur une partition affranchie des cloisons et longs couloirs avec portes en série. Il fallait contenir le programme sous ce toit en préservant visuellement l’unicité du grand volume. Le studio a donc imaginé six petites formes, six petits volumes qui vont contenir les espaces privatifs de la maison. En les plaçant sur la dalle de béton, la famille des six dessine un paysage intérieur singulier, évoquant les jeux de cubes de notre enfance. Sous la toiture, le vide laissé par les six formes dégage un es- pace de vie de grande taille et des espaces de promenade pour circuler entre les différentes fonctions de la maison. Au sein de Woody, les habitants déambulent, métaphore tenace de la promenade dans les bois, invitation à la notion de jeu, de plaisir et de rêverie… NATURELLE, OMBRÉE, MAQUILLEE. Les matériaux sont naturels, simples et rustiques, inscrits dans une ruralité balnéaire qui ancre la maison dans un paysage identifié. Si l’extérieur présente la couleur naturelle des matériaux, le bois pour les arbres, la terre cuite pour les tuiles, le gris du béton, l’intérieur se pare d’un blanc intégral dans toute sa volumétrie. Il est une page lumineuse qui recevra les milles nuances des ombres portées par les arbres du petit bois qui soutient la toiture. La famille des six volumes prend par contre des couleurs douces et chaudes et rappelle les nuanciers poudrés du maquillage, couleurs chair qui renforcent la personnalité de chacune des formes, comme autant de personnalités à découvrir.
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    DECOMPOSITION ARCHITECTURALE. Le projet Woody est la création d’une maison principale dans un lotissement à Andernos les bains sur le bassin pour une jeune famille avec trois enfants. Les obligations du PLU telles que la présence de tuiles ou le pourcentage de pente sont assimilées dans un volume simple, en longueur, avec une toiture à deux pentes qui rappelle dans ses proportions les séchoirs agricoles du sud- ouest et les cabanes ostréicoles. La simplicité du volume réside aussi dans sa décomposition architecturale. Les murs disparaissent pour laisser place à un petit bois qui vient porter la toiture de tuiles. Celle-ci semble ainsi flotter, canopée de terre cuite, vestige d’une tradition qui doit maintenant laisser place à la nature et aux nouvellesidées. UN PETIT BOIS. Il était aussi important de pallier la banalité immédiate du site – un nouveau lotissement, ses langues de bitumes, des portails et quelques haies, peu d’arbres – afin de contrebalancer la situation : l’architecture sera le site, elle en sera la qualité et puisera dans le contexte large du Bassin pour le ramener au cœur du lotissement anonyme. En imaginant les limites de la maison comme les limites d’un petit bois, la maison devient le paysage et s’ancre donc dans le contexte du bassin d’Ar-cachon, en s’inspirant de la flore environnante. Pour éclairer l’intérieur, les petits arbres s’écartent pour laisser passer le soleil à travers de larges fenêtres réparties en fonction des espaces intérieurs. PROMENONS-NOUS DANS LES BOIS. À l’intérieur, l’origine du projet reposait sur une partition affranchie des cloisons et longs couloirs avec portes en série. Il fallait contenir le programme sous ce toit en préservant visuellement l’unicité du grand volume. Le studio a donc imaginé six petites formes, six petits volumes qui vont contenir les espaces privatifs de la maison. En les plaçant sur la dalle de béton, la famille des six dessine un paysage intérieur singulier, évoquant les jeux de cubes de notre enfance. Sous la toiture, le vide laissé par les six formes dégage un es- pace de vie de grande taille et des espaces de promenade pour circuler entre les différentes fonctions de la maison. Au sein de Woody, les habitants déambulent, métaphore tenace de la promenade dans les bois, invitation à la notion de jeu, de plaisir et de rêverie… NATURELLE, OMBRÉE, MAQUILLEE. Les matériaux sont naturels, simples et rustiques, inscrits dans une ruralité balnéaire qui ancre la maison dans un paysage identifié. Si l’extérieur présente la couleur naturelle des matériaux, le bois pour les arbres, la terre cuite pour les tuiles, le gris du béton, l’intérieur se pare d’un blanc intégral dans toute sa volumétrie. Il est une page lumineuse qui recevra les milles nuances des ombres portées par les arbres du petit bois qui soutient la toiture. La famille des six volumes prend par contre des couleurs douces et chaudes et rappelle les nuanciers poudrés du maquillage, couleurs chair qui renforcent la personnalité de chacune des formes, comme autant de personnalités à découvrir.
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    DECOMPOSITION ARCHITECTURALE. Le projet Woody est la création d’une maison principale dans un lotissement à Andernos les bains sur le bassin pour une jeune famille avec trois enfants. Les obligations du PLU telles que la présence de tuiles ou le pourcentage de pente sont assimilées dans un volume simple, en longueur, avec une toiture à deux pentes qui rappelle dans ses proportions les séchoirs agricoles du sud- ouest et les cabanes ostréicoles. La simplicité du volume réside aussi dans sa décomposition architecturale. Les murs disparaissent pour laisser place à un petit bois qui vient porter la toiture de tuiles. Celle-ci semble ainsi flotter, canopée de terre cuite, vestige d’une tradition qui doit maintenant laisser place à la nature et aux nouvellesidées. UN PETIT BOIS. Il était aussi important de pallier la banalité immédiate du site – un nouveau lotissement, ses langues de bitumes, des portails et quelques haies, peu d’arbres – afin de contrebalancer la situation : l’architecture sera le site, elle en sera la qualité et puisera dans le contexte large du Bassin pour le ramener au cœur du lotissement anonyme. En imaginant les limites de la maison comme les limites d’un petit bois, la maison devient le paysage et s’ancre donc dans le contexte du bassin d’Ar-cachon, en s’inspirant de la flore environnante. Pour éclairer l’intérieur, les petits arbres s’écartent pour laisser passer le soleil à travers de larges fenêtres réparties en fonction des espaces intérieurs. PROMENONS-NOUS DANS LES BOIS. À l’intérieur, l’origine du projet reposait sur une partition affranchie des cloisons et longs couloirs avec portes en série. Il fallait contenir le programme sous ce toit en préservant visuellement l’unicité du grand volume. Le studio a donc imaginé six petites formes, six petits volumes qui vont contenir les espaces privatifs de la maison. En les plaçant sur la dalle de béton, la famille des six dessine un paysage intérieur singulier, évoquant les jeux de cubes de notre enfance. Sous la toiture, le vide laissé par les six formes dégage un es- pace de vie de grande taille et des espaces de promenade pour circuler entre les différentes fonctions de la maison. Au sein de Woody, les habitants déambulent, métaphore tenace de la promenade dans les bois, invitation à la notion de jeu, de plaisir et de rêverie… NATURELLE, OMBRÉE, MAQUILLEE. Les matériaux sont naturels, simples et rustiques, inscrits dans une ruralité balnéaire qui ancre la maison dans un paysage identifié. Si l’extérieur présente la couleur naturelle des matériaux, le bois pour les arbres, la terre cuite pour les tuiles, le gris du béton, l’intérieur se pare d’un blanc intégral dans toute sa volumétrie. Il est une page lumineuse qui recevra les milles nuances des ombres portées par les arbres du petit bois qui soutient la toiture. La famille des six volumes prend par contre des couleurs douces et chaudes et rappelle les nuanciers poudrés du maquillage, couleurs chair qui renforcent la personnalité de chacune des formes, comme autant de personnalités à découvrir.
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    DECOMPOSITION ARCHITECTURALE. Le projet Woody est la création d’une maison principale dans un lotissement à Andernos les bains sur le bassin pour une jeune famille avec trois enfants. Les obligations du PLU telles que la présence de tuiles ou le pourcentage de pente sont assimilées dans un volume simple, en longueur, avec une toiture à deux pentes qui rappelle dans ses proportions les séchoirs agricoles du sud- ouest et les cabanes ostréicoles. La simplicité du volume réside aussi dans sa décomposition architecturale. Les murs disparaissent pour laisser place à un petit bois qui vient porter la toiture de tuiles. Celle-ci semble ainsi flotter, canopée de terre cuite, vestige d’une tradition qui doit maintenant laisser place à la nature et aux nouvellesidées. UN PETIT BOIS. Il était aussi important de pallier la banalité immédiate du site – un nouveau lotissement, ses langues de bitumes, des portails et quelques haies, peu d’arbres – afin de contrebalancer la situation : l’architecture sera le site, elle en sera la qualité et puisera dans le contexte large du Bassin pour le ramener au cœur du lotissement anonyme. En imaginant les limites de la maison comme les limites d’un petit bois, la maison devient le paysage et s’ancre donc dans le contexte du bassin d’Ar-cachon, en s’inspirant de la flore environnante. Pour éclairer l’intérieur, les petits arbres s’écartent pour laisser passer le soleil à travers de larges fenêtres réparties en fonction des espaces intérieurs. PROMENONS-NOUS DANS LES BOIS. À l’intérieur, l’origine du projet reposait sur une partition affranchie des cloisons et longs couloirs avec portes en série. Il fallait contenir le programme sous ce toit en préservant visuellement l’unicité du grand volume. Le studio a donc imaginé six petites formes, six petits volumes qui vont contenir les espaces privatifs de la maison. En les plaçant sur la dalle de béton, la famille des six dessine un paysage intérieur singulier, évoquant les jeux de cubes de notre enfance. Sous la toiture, le vide laissé par les six formes dégage un es- pace de vie de grande taille et des espaces de promenade pour circuler entre les différentes fonctions de la maison. Au sein de Woody, les habitants déambulent, métaphore tenace de la promenade dans les bois, invitation à la notion de jeu, de plaisir et de rêverie… NATURELLE, OMBRÉE, MAQUILLEE. Les matériaux sont naturels, simples et rustiques, inscrits dans une ruralité balnéaire qui ancre la maison dans un paysage identifié. Si l’extérieur présente la couleur naturelle des matériaux, le bois pour les arbres, la terre cuite pour les tuiles, le gris du béton, l’intérieur se pare d’un blanc intégral dans toute sa volumétrie. Il est une page lumineuse qui recevra les milles nuances des ombres portées par les arbres du petit bois qui soutient la toiture. La famille des six volumes prend par contre des couleurs douces et chaudes et rappelle les nuanciers poudrés du maquillage, couleurs chair qui renforcent la personnalité de chacune des formes, comme autant de personnalités à découvrir.
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    DECOMPOSITION ARCHITECTURALE. Le projet Woody est la création d’une maison principale dans un lotissement à Andernos les bains sur le bassin pour une jeune famille avec trois enfants. Les obligations du PLU telles que la présence de tuiles ou le pourcentage de pente sont assimilées dans un volume simple, en longueur, avec une toiture à deux pentes qui rappelle dans ses proportions les séchoirs agricoles du sud- ouest et les cabanes ostréicoles. La simplicité du volume réside aussi dans sa décomposition architecturale. Les murs disparaissent pour laisser place à un petit bois qui vient porter la toiture de tuiles. Celle-ci semble ainsi flotter, canopée de terre cuite, vestige d’une tradition qui doit maintenant laisser place à la nature et aux nouvellesidées. UN PETIT BOIS. Il était aussi important de pallier la banalité immédiate du site – un nouveau lotissement, ses langues de bitumes, des portails et quelques haies, peu d’arbres – afin de contrebalancer la situation : l’architecture sera le site, elle en sera la qualité et puisera dans le contexte large du Bassin pour le ramener au cœur du lotissement anonyme. En imaginant les limites de la maison comme les limites d’un petit bois, la maison devient le paysage et s’ancre donc dans le contexte du bassin d’Ar-cachon, en s’inspirant de la flore environnante. Pour éclairer l’intérieur, les petits arbres s’écartent pour laisser passer le soleil à travers de larges fenêtres réparties en fonction des espaces intérieurs. PROMENONS-NOUS DANS LES BOIS. À l’intérieur, l’origine du projet reposait sur une partition affranchie des cloisons et longs couloirs avec portes en série. Il fallait contenir le programme sous ce toit en préservant visuellement l’unicité du grand volume. Le studio a donc imaginé six petites formes, six petits volumes qui vont contenir les espaces privatifs de la maison. En les plaçant sur la dalle de béton, la famille des six dessine un paysage intérieur singulier, évoquant les jeux de cubes de notre enfance. Sous la toiture, le vide laissé par les six formes dégage un es- pace de vie de grande taille et des espaces de promenade pour circuler entre les différentes fonctions de la maison. Au sein de Woody, les habitants déambulent, métaphore tenace de la promenade dans les bois, invitation à la notion de jeu, de plaisir et de rêverie… NATURELLE, OMBRÉE, MAQUILLEE. Les matériaux sont naturels, simples et rustiques, inscrits dans une ruralité balnéaire qui ancre la maison dans un paysage identifié. Si l’extérieur présente la couleur naturelle des matériaux, le bois pour les arbres, la terre cuite pour les tuiles, le gris du béton, l’intérieur se pare d’un blanc intégral dans toute sa volumétrie. Il est une page lumineuse qui recevra les milles nuances des ombres portées par les arbres du petit bois qui soutient la toiture. La famille des six volumes prend par contre des couleurs douces et chaudes et rappelle les nuanciers poudrés du maquillage, couleurs chair qui renforcent la personnalité de chacune des formes, comme autant de personnalités à découvrir.
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    DECOMPOSITION ARCHITECTURALE. Le projet Woody est la création d’une maison principale dans un lotissement à Andernos les bains sur le bassin pour une jeune famille avec trois enfants. Les obligations du PLU telles que la présence de tuiles ou le pourcentage de pente sont assimilées dans un volume simple, en longueur, avec une toiture à deux pentes qui rappelle dans ses proportions les séchoirs agricoles du sud- ouest et les cabanes ostréicoles. La simplicité du volume réside aussi dans sa décomposition architecturale. Les murs disparaissent pour laisser place à un petit bois qui vient porter la toiture de tuiles. Celle-ci semble ainsi flotter, canopée de terre cuite, vestige d’une tradition qui doit maintenant laisser place à la nature et aux nouvellesidées. UN PETIT BOIS. Il était aussi important de pallier la banalité immédiate du site – un nouveau lotissement, ses langues de bitumes, des portails et quelques haies, peu d’arbres – afin de contrebalancer la situation : l’architecture sera le site, elle en sera la qualité et puisera dans le contexte large du Bassin pour le ramener au cœur du lotissement anonyme. En imaginant les limites de la maison comme les limites d’un petit bois, la maison devient le paysage et s’ancre donc dans le contexte du bassin d’Ar-cachon, en s’inspirant de la flore environnante. Pour éclairer l’intérieur, les petits arbres s’écartent pour laisser passer le soleil à travers de larges fenêtres réparties en fonction des espaces intérieurs. PROMENONS-NOUS DANS LES BOIS. À l’intérieur, l’origine du projet reposait sur une partition affranchie des cloisons et longs couloirs avec portes en série. Il fallait contenir le programme sous ce toit en préservant visuellement l’unicité du grand volume. Le studio a donc imaginé six petites formes, six petits volumes qui vont contenir les espaces privatifs de la maison. En les plaçant sur la dalle de béton, la famille des six dessine un paysage intérieur singulier, évoquant les jeux de cubes de notre enfance. Sous la toiture, le vide laissé par les six formes dégage un es- pace de vie de grande taille et des espaces de promenade pour circuler entre les différentes fonctions de la maison. Au sein de Woody, les habitants déambulent, métaphore tenace de la promenade dans les bois, invitation à la notion de jeu, de plaisir et de rêverie… NATURELLE, OMBRÉE, MAQUILLEE. Les matériaux sont naturels, simples et rustiques, inscrits dans une ruralité balnéaire qui ancre la maison dans un paysage identifié. Si l’extérieur présente la couleur naturelle des matériaux, le bois pour les arbres, la terre cuite pour les tuiles, le gris du béton, l’intérieur se pare d’un blanc intégral dans toute sa volumétrie. Il est une page lumineuse qui recevra les milles nuances des ombres portées par les arbres du petit bois qui soutient la toiture. La famille des six volumes prend par contre des couleurs douces et chaudes et rappelle les nuanciers poudrés du maquillage, couleurs chair qui renforcent la personnalité de chacune des formes, comme autant de personnalités à découvrir.
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    DECOMPOSITION ARCHITECTURALE. Le projet Woody est la création d’une maison principale dans un lotissement à Andernos les bains sur le bassin pour une jeune famille avec trois enfants. Les obligations du PLU telles que la présence de tuiles ou le pourcentage de pente sont assimilées dans un volume simple, en longueur, avec une toiture à deux pentes qui rappelle dans ses proportions les séchoirs agricoles du sud- ouest et les cabanes ostréicoles. La simplicité du volume réside aussi dans sa décomposition architecturale. Les murs disparaissent pour laisser place à un petit bois qui vient porter la toiture de tuiles. Celle-ci semble ainsi flotter, canopée de terre cuite, vestige d’une tradition qui doit maintenant laisser place à la nature et aux nouvellesidées. UN PETIT BOIS. Il était aussi important de pallier la banalité immédiate du site – un nouveau lotissement, ses langues de bitumes, des portails et quelques haies, peu d’arbres – afin de contrebalancer la situation : l’architecture sera le site, elle en sera la qualité et puisera dans le contexte large du Bassin pour le ramener au cœur du lotissement anonyme. En imaginant les limites de la maison comme les limites d’un petit bois, la maison devient le paysage et s’ancre donc dans le contexte du bassin d’Ar-cachon, en s’inspirant de la flore environnante. Pour éclairer l’intérieur, les petits arbres s’écartent pour laisser passer le soleil à travers de larges fenêtres réparties en fonction des espaces intérieurs. PROMENONS-NOUS DANS LES BOIS. À l’intérieur, l’origine du projet reposait sur une partition affranchie des cloisons et longs couloirs avec portes en série. Il fallait contenir le programme sous ce toit en préservant visuellement l’unicité du grand volume. Le studio a donc imaginé six petites formes, six petits volumes qui vont contenir les espaces privatifs de la maison. En les plaçant sur la dalle de béton, la famille des six dessine un paysage intérieur singulier, évoquant les jeux de cubes de notre enfance. Sous la toiture, le vide laissé par les six formes dégage un es- pace de vie de grande taille et des espaces de promenade pour circuler entre les différentes fonctions de la maison. Au sein de Woody, les habitants déambulent, métaphore tenace de la promenade dans les bois, invitation à la notion de jeu, de plaisir et de rêverie… NATURELLE, OMBRÉE, MAQUILLEE. Les matériaux sont naturels, simples et rustiques, inscrits dans une ruralité balnéaire qui ancre la maison dans un paysage identifié. Si l’extérieur présente la couleur naturelle des matériaux, le bois pour les arbres, la terre cuite pour les tuiles, le gris du béton, l’intérieur se pare d’un blanc intégral dans toute sa volumétrie. Il est une page lumineuse qui recevra les milles nuances des ombres portées par les arbres du petit bois qui soutient la toiture. La famille des six volumes prend par contre des couleurs douces et chaudes et rappelle les nuanciers poudrés du maquillage, couleurs chair qui renforcent la personnalité de chacune des formes, comme autant de personnalités à découvrir.
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    DECOMPOSITION ARCHITECTURALE. Le projet Woody est la création d’une maison principale dans un lotissement à Andernos les bains sur le bassin pour une jeune famille avec trois enfants. Les obligations du PLU telles que la présence de tuiles ou le pourcentage de pente sont assimilées dans un volume simple, en longueur, avec une toiture à deux pentes qui rappelle dans ses proportions les séchoirs agricoles du sud- ouest et les cabanes ostréicoles. La simplicité du volume réside aussi dans sa décomposition architecturale. Les murs disparaissent pour laisser place à un petit bois qui vient porter la toiture de tuiles. Celle-ci semble ainsi flotter, canopée de terre cuite, vestige d’une tradition qui doit maintenant laisser place à la nature et aux nouvellesidées. UN PETIT BOIS. Il était aussi important de pallier la banalité immédiate du site – un nouveau lotissement, ses langues de bitumes, des portails et quelques haies, peu d’arbres – afin de contrebalancer la situation : l’architecture sera le site, elle en sera la qualité et puisera dans le contexte large du Bassin pour le ramener au cœur du lotissement anonyme. En imaginant les limites de la maison comme les limites d’un petit bois, la maison devient le paysage et s’ancre donc dans le contexte du bassin d’Ar-cachon, en s’inspirant de la flore environnante. Pour éclairer l’intérieur, les petits arbres s’écartent pour laisser passer le soleil à travers de larges fenêtres réparties en fonction des espaces intérieurs. PROMENONS-NOUS DANS LES BOIS. À l’intérieur, l’origine du projet reposait sur une partition affranchie des cloisons et longs couloirs avec portes en série. Il fallait contenir le programme sous ce toit en préservant visuellement l’unicité du grand volume. Le studio a donc imaginé six petites formes, six petits volumes qui vont contenir les espaces privatifs de la maison. En les plaçant sur la dalle de béton, la famille des six dessine un paysage intérieur singulier, évoquant les jeux de cubes de notre enfance. Sous la toiture, le vide laissé par les six formes dégage un es- pace de vie de grande taille et des espaces de promenade pour circuler entre les différentes fonctions de la maison. Au sein de Woody, les habitants déambulent, métaphore tenace de la promenade dans les bois, invitation à la notion de jeu, de plaisir et de rêverie… NATURELLE, OMBRÉE, MAQUILLEE. Les matériaux sont naturels, simples et rustiques, inscrits dans une ruralité balnéaire qui ancre la maison dans un paysage identifié. Si l’extérieur présente la couleur naturelle des matériaux, le bois pour les arbres, la terre cuite pour les tuiles, le gris du béton, l’intérieur se pare d’un blanc intégral dans toute sa volumétrie. Il est une page lumineuse qui recevra les milles nuances des ombres portées par les arbres du petit bois qui soutient la toiture. La famille des six volumes prend par contre des couleurs douces et chaudes et rappelle les nuanciers poudrés du maquillage, couleurs chair qui renforcent la personnalité de chacune des formes, comme autant de personnalités à découvrir.
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    16 allées des Ortolans
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    Privé
  • Neuf
    DECOMPOSITION ARCHITECTURALE. Le projet Woody est la création d’une maison principale dans un lotissement à Andernos les bains sur le bassin pour une jeune famille avec trois enfants. Les obligations du PLU telles que la présence de tuiles ou le pourcentage de pente sont assimilées dans un volume simple, en longueur, avec une toiture à deux pentes qui rappelle dans ses proportions les séchoirs agricoles du sud- ouest et les cabanes ostréicoles. La simplicité du volume réside aussi dans sa décomposition architecturale. Les murs disparaissent pour laisser place à un petit bois qui vient porter la toiture de tuiles. Celle-ci semble ainsi flotter, canopée de terre cuite, vestige d’une tradition qui doit maintenant laisser place à la nature et aux nouvellesidées. UN PETIT BOIS. Il était aussi important de pallier la banalité immédiate du site – un nouveau lotissement, ses langues de bitumes, des portails et quelques haies, peu d’arbres – afin de contrebalancer la situation : l’architecture sera le site, elle en sera la qualité et puisera dans le contexte large du Bassin pour le ramener au cœur du lotissement anonyme. En imaginant les limites de la maison comme les limites d’un petit bois, la maison devient le paysage et s’ancre donc dans le contexte du bassin d’Ar-cachon, en s’inspirant de la flore environnante. Pour éclairer l’intérieur, les petits arbres s’écartent pour laisser passer le soleil à travers de larges fenêtres réparties en fonction des espaces intérieurs. PROMENONS-NOUS DANS LES BOIS. À l’intérieur, l’origine du projet reposait sur une partition affranchie des cloisons et longs couloirs avec portes en série. Il fallait contenir le programme sous ce toit en préservant visuellement l’unicité du grand volume. Le studio a donc imaginé six petites formes, six petits volumes qui vont contenir les espaces privatifs de la maison. En les plaçant sur la dalle de béton, la famille des six dessine un paysage intérieur singulier, évoquant les jeux de cubes de notre enfance. Sous la toiture, le vide laissé par les six formes dégage un es- pace de vie de grande taille et des espaces de promenade pour circuler entre les différentes fonctions de la maison. Au sein de Woody, les habitants déambulent, métaphore tenace de la promenade dans les bois, invitation à la notion de jeu, de plaisir et de rêverie… NATURELLE, OMBRÉE, MAQUILLEE. Les matériaux sont naturels, simples et rustiques, inscrits dans une ruralité balnéaire qui ancre la maison dans un paysage identifié. Si l’extérieur présente la couleur naturelle des matériaux, le bois pour les arbres, la terre cuite pour les tuiles, le gris du béton, l’intérieur se pare d’un blanc intégral dans toute sa volumétrie. Il est une page lumineuse qui recevra les milles nuances des ombres portées par les arbres du petit bois qui soutient la toiture. La famille des six volumes prend par contre des couleurs douces et chaudes et rappelle les nuanciers poudrés du maquillage, couleurs chair qui renforcent la personnalité de chacune des formes, comme autant de personnalités à découvrir.
    Neuf
    16 allées des Ortolans
    33510 Andernos les bains
    France métropolitaine
    2020
    33 - Gironde
    Maître d’ouvrage
    Privé
  • Neuf
    DECOMPOSITION ARCHITECTURALE. Le projet Woody est la création d’une maison principale dans un lotissement à Andernos les bains sur le bassin pour une jeune famille avec trois enfants. Les obligations du PLU telles que la présence de tuiles ou le pourcentage de pente sont assimilées dans un volume simple, en longueur, avec une toiture à deux pentes qui rappelle dans ses proportions les séchoirs agricoles du sud- ouest et les cabanes ostréicoles. La simplicité du volume réside aussi dans sa décomposition architecturale. Les murs disparaissent pour laisser place à un petit bois qui vient porter la toiture de tuiles. Celle-ci semble ainsi flotter, canopée de terre cuite, vestige d’une tradition qui doit maintenant laisser place à la nature et aux nouvellesidées. UN PETIT BOIS. Il était aussi important de pallier la banalité immédiate du site – un nouveau lotissement, ses langues de bitumes, des portails et quelques haies, peu d’arbres – afin de contrebalancer la situation : l’architecture sera le site, elle en sera la qualité et puisera dans le contexte large du Bassin pour le ramener au cœur du lotissement anonyme. En imaginant les limites de la maison comme les limites d’un petit bois, la maison devient le paysage et s’ancre donc dans le contexte du bassin d’Ar-cachon, en s’inspirant de la flore environnante. Pour éclairer l’intérieur, les petits arbres s’écartent pour laisser passer le soleil à travers de larges fenêtres réparties en fonction des espaces intérieurs. PROMENONS-NOUS DANS LES BOIS. À l’intérieur, l’origine du projet reposait sur une partition affranchie des cloisons et longs couloirs avec portes en série. Il fallait contenir le programme sous ce toit en préservant visuellement l’unicité du grand volume. Le studio a donc imaginé six petites formes, six petits volumes qui vont contenir les espaces privatifs de la maison. En les plaçant sur la dalle de béton, la famille des six dessine un paysage intérieur singulier, évoquant les jeux de cubes de notre enfance. Sous la toiture, le vide laissé par les six formes dégage un es- pace de vie de grande taille et des espaces de promenade pour circuler entre les différentes fonctions de la maison. Au sein de Woody, les habitants déambulent, métaphore tenace de la promenade dans les bois, invitation à la notion de jeu, de plaisir et de rêverie… NATURELLE, OMBRÉE, MAQUILLEE. Les matériaux sont naturels, simples et rustiques, inscrits dans une ruralité balnéaire qui ancre la maison dans un paysage identifié. Si l’extérieur présente la couleur naturelle des matériaux, le bois pour les arbres, la terre cuite pour les tuiles, le gris du béton, l’intérieur se pare d’un blanc intégral dans toute sa volumétrie. Il est une page lumineuse qui recevra les milles nuances des ombres portées par les arbres du petit bois qui soutient la toiture. La famille des six volumes prend par contre des couleurs douces et chaudes et rappelle les nuanciers poudrés du maquillage, couleurs chair qui renforcent la personnalité de chacune des formes, comme autant de personnalités à découvrir.
    Neuf
    16 allées des Ortolans
    33510 Andernos les bains
    France métropolitaine
    2020
    33 - Gironde
    Maître d’ouvrage
    Privé
  • Neuf
    DECOMPOSITION ARCHITECTURALE. Le projet Woody est la création d’une maison principale dans un lotissement à Andernos les bains sur le bassin pour une jeune famille avec trois enfants. Les obligations du PLU telles que la présence de tuiles ou le pourcentage de pente sont assimilées dans un volume simple, en longueur, avec une toiture à deux pentes qui rappelle dans ses proportions les séchoirs agricoles du sud- ouest et les cabanes ostréicoles. La simplicité du volume réside aussi dans sa décomposition architecturale. Les murs disparaissent pour laisser place à un petit bois qui vient porter la toiture de tuiles. Celle-ci semble ainsi flotter, canopée de terre cuite, vestige d’une tradition qui doit maintenant laisser place à la nature et aux nouvellesidées. UN PETIT BOIS. Il était aussi important de pallier la banalité immédiate du site – un nouveau lotissement, ses langues de bitumes, des portails et quelques haies, peu d’arbres – afin de contrebalancer la situation : l’architecture sera le site, elle en sera la qualité et puisera dans le contexte large du Bassin pour le ramener au cœur du lotissement anonyme. En imaginant les limites de la maison comme les limites d’un petit bois, la maison devient le paysage et s’ancre donc dans le contexte du bassin d’Ar-cachon, en s’inspirant de la flore environnante. Pour éclairer l’intérieur, les petits arbres s’écartent pour laisser passer le soleil à travers de larges fenêtres réparties en fonction des espaces intérieurs. PROMENONS-NOUS DANS LES BOIS. À l’intérieur, l’origine du projet reposait sur une partition affranchie des cloisons et longs couloirs avec portes en série. Il fallait contenir le programme sous ce toit en préservant visuellement l’unicité du grand volume. Le studio a donc imaginé six petites formes, six petits volumes qui vont contenir les espaces privatifs de la maison. En les plaçant sur la dalle de béton, la famille des six dessine un paysage intérieur singulier, évoquant les jeux de cubes de notre enfance. Sous la toiture, le vide laissé par les six formes dégage un es- pace de vie de grande taille et des espaces de promenade pour circuler entre les différentes fonctions de la maison. Au sein de Woody, les habitants déambulent, métaphore tenace de la promenade dans les bois, invitation à la notion de jeu, de plaisir et de rêverie… NATURELLE, OMBRÉE, MAQUILLEE. Les matériaux sont naturels, simples et rustiques, inscrits dans une ruralité balnéaire qui ancre la maison dans un paysage identifié. Si l’extérieur présente la couleur naturelle des matériaux, le bois pour les arbres, la terre cuite pour les tuiles, le gris du béton, l’intérieur se pare d’un blanc intégral dans toute sa volumétrie. Il est une page lumineuse qui recevra les milles nuances des ombres portées par les arbres du petit bois qui soutient la toiture. La famille des six volumes prend par contre des couleurs douces et chaudes et rappelle les nuanciers poudrés du maquillage, couleurs chair qui renforcent la personnalité de chacune des formes, comme autant de personnalités à découvrir.
    Neuf
    16 allées des Ortolans
    33510 Andernos les bains
    France métropolitaine
    2020
    33 - Gironde
    Maître d’ouvrage
    Privé
  • Neuf
    DECOMPOSITION ARCHITECTURALE. Le projet Woody est la création d’une maison principale dans un lotissement à Andernos les bains sur le bassin pour une jeune famille avec trois enfants. Les obligations du PLU telles que la présence de tuiles ou le pourcentage de pente sont assimilées dans un volume simple, en longueur, avec une toiture à deux pentes qui rappelle dans ses proportions les séchoirs agricoles du sud- ouest et les cabanes ostréicoles. La simplicité du volume réside aussi dans sa décomposition architecturale. Les murs disparaissent pour laisser place à un petit bois qui vient porter la toiture de tuiles. Celle-ci semble ainsi flotter, canopée de terre cuite, vestige d’une tradition qui doit maintenant laisser place à la nature et aux nouvellesidées. UN PETIT BOIS. Il était aussi important de pallier la banalité immédiate du site – un nouveau lotissement, ses langues de bitumes, des portails et quelques haies, peu d’arbres – afin de contrebalancer la situation : l’architecture sera le site, elle en sera la qualité et puisera dans le contexte large du Bassin pour le ramener au cœur du lotissement anonyme. En imaginant les limites de la maison comme les limites d’un petit bois, la maison devient le paysage et s’ancre donc dans le contexte du bassin d’Ar-cachon, en s’inspirant de la flore environnante. Pour éclairer l’intérieur, les petits arbres s’écartent pour laisser passer le soleil à travers de larges fenêtres réparties en fonction des espaces intérieurs. PROMENONS-NOUS DANS LES BOIS. À l’intérieur, l’origine du projet reposait sur une partition affranchie des cloisons et longs couloirs avec portes en série. Il fallait contenir le programme sous ce toit en préservant visuellement l’unicité du grand volume. Le studio a donc imaginé six petites formes, six petits volumes qui vont contenir les espaces privatifs de la maison. En les plaçant sur la dalle de béton, la famille des six dessine un paysage intérieur singulier, évoquant les jeux de cubes de notre enfance. Sous la toiture, le vide laissé par les six formes dégage un es- pace de vie de grande taille et des espaces de promenade pour circuler entre les différentes fonctions de la maison. Au sein de Woody, les habitants déambulent, métaphore tenace de la promenade dans les bois, invitation à la notion de jeu, de plaisir et de rêverie… NATURELLE, OMBRÉE, MAQUILLEE. Les matériaux sont naturels, simples et rustiques, inscrits dans une ruralité balnéaire qui ancre la maison dans un paysage identifié. Si l’extérieur présente la couleur naturelle des matériaux, le bois pour les arbres, la terre cuite pour les tuiles, le gris du béton, l’intérieur se pare d’un blanc intégral dans toute sa volumétrie. Il est une page lumineuse qui recevra les milles nuances des ombres portées par les arbres du petit bois qui soutient la toiture. La famille des six volumes prend par contre des couleurs douces et chaudes et rappelle les nuanciers poudrés du maquillage, couleurs chair qui renforcent la personnalité de chacune des formes, comme autant de personnalités à découvrir.
    Neuf
    16 allées des Ortolans
    33510 Andernos les bains
    France métropolitaine
    2020
    33 - Gironde
    Maître d’ouvrage
    Privé