RESTRUCTURATION D’UNE MAISON DE BOURG

  • Rénovation, rénovation thermique, Extension, surélévation, Habitat
     La maison de bourg du XIXème siècle est implantée en limite de la voie publique, dans un quartier proche du centre ville, mêlant des maisons de bourg à des pavillons plus récents. A l’arrière elle donne sur un grand jardin. Elle a connu une restructuration importante dans les années 1980 comprenant un agrandissement en retour sur le jardin.  La nouvelle restructuration a permis d’adapter la maison aux besoins de son nouveau propriétaire, une famille avec enfants, et d’améliorer la luminosité de la maison.  Un accès direct sur rue a été créé en complément de l’accès existant depuis le jardin : un édicule dans la prolongation de la façade sur rue et abritant un sas a été construit. L’édicule est constitué d’un mur en moellons apparents rappelant le mur de l’appentis contigu existant ainsi que les murs de clôture caractéristiques du quartier. La façade en retour de l’édicule, perpendiculaire à la rue, est en bois naturel patiné (grisé), faisant écho au bardage existant de l’appentis. Elle est constituée d’une porte ainsi que d’un châssis fixe, vitrés, mais protégés par un caillebottis à lames verticales.  Au 1er étage la restructuration assure la fermeture et l’indépendance ainsi que la taille à peu près équivalente des trois chambres, à la place de chambres ouvertes (sur la bibliothèque, portes coulissantes) et de taille disparate. Elle assure également l’indépendance de la SDB et du WC. Dégagement d’un « espace pivot » pour fluidifier l’espace et réduire la longueur du couloir. Création d’un WC indépendant et fermeture de la SDB au 2ème étage.  La luminosité a été améliorée par la réouverture et l’agrandissement de deux baies ayant existé au rez de chaussée de la façade sur rue mais condamnées . La baie de l’extension des années 80 abritant une bibliothèque sous un volume cathédrale a également été agrandie par l’ajout d’une haute imposte. Ce rehaussement met aussi en valeur la verticalité du volume.
    Rénovation, rénovation thermique, Extension, surélévation, Habitat
    France métropolitaine
    2018
    91 - Essonne
    Maître d’ouvrage
    privé
  • Rénovation, rénovation thermique, Extension, surélévation, Habitat
     La maison de bourg du XIXème siècle est implantée en limite de la voie publique, dans un quartier proche du centre ville, mêlant des maisons de bourg à des pavillons plus récents. A l’arrière elle donne sur un grand jardin. Elle a connu une restructuration importante dans les années 1980 comprenant un agrandissement en retour sur le jardin.  La nouvelle restructuration a permis d’adapter la maison aux besoins de son nouveau propriétaire, une famille avec enfants, et d’améliorer la luminosité de la maison.  Un accès direct sur rue a été créé en complément de l’accès existant depuis le jardin : un édicule dans la prolongation de la façade sur rue et abritant un sas a été construit. L’édicule est constitué d’un mur en moellons apparents rappelant le mur de l’appentis contigu existant ainsi que les murs de clôture caractéristiques du quartier. La façade en retour de l’édicule, perpendiculaire à la rue, est en bois naturel patiné (grisé), faisant écho au bardage existant de l’appentis. Elle est constituée d’une porte ainsi que d’un châssis fixe, vitrés, mais protégés par un caillebottis à lames verticales.  Au 1er étage la restructuration assure la fermeture et l’indépendance ainsi que la taille à peu près équivalente des trois chambres, à la place de chambres ouvertes (sur la bibliothèque, portes coulissantes) et de taille disparate. Elle assure également l’indépendance de la SDB et du WC. Dégagement d’un « espace pivot » pour fluidifier l’espace et réduire la longueur du couloir. Création d’un WC indépendant et fermeture de la SDB au 2ème étage.  La luminosité a été améliorée par la réouverture et l’agrandissement de deux baies ayant existé au rez de chaussée de la façade sur rue mais condamnées . La baie de l’extension des années 80 abritant une bibliothèque sous un volume cathédrale a également été agrandie par l’ajout d’une haute imposte. Ce rehaussement met aussi en valeur la verticalité du volume.
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     La maison de bourg du XIXème siècle est implantée en limite de la voie publique, dans un quartier proche du centre ville, mêlant des maisons de bourg à des pavillons plus récents. A l’arrière elle donne sur un grand jardin. Elle a connu une restructuration importante dans les années 1980 comprenant un agrandissement en retour sur le jardin.  La nouvelle restructuration a permis d’adapter la maison aux besoins de son nouveau propriétaire, une famille avec enfants, et d’améliorer la luminosité de la maison.  Un accès direct sur rue a été créé en complément de l’accès existant depuis le jardin : un édicule dans la prolongation de la façade sur rue et abritant un sas a été construit. L’édicule est constitué d’un mur en moellons apparents rappelant le mur de l’appentis contigu existant ainsi que les murs de clôture caractéristiques du quartier. La façade en retour de l’édicule, perpendiculaire à la rue, est en bois naturel patiné (grisé), faisant écho au bardage existant de l’appentis. Elle est constituée d’une porte ainsi que d’un châssis fixe, vitrés, mais protégés par un caillebottis à lames verticales.  Au 1er étage la restructuration assure la fermeture et l’indépendance ainsi que la taille à peu près équivalente des trois chambres, à la place de chambres ouvertes (sur la bibliothèque, portes coulissantes) et de taille disparate. Elle assure également l’indépendance de la SDB et du WC. Dégagement d’un « espace pivot » pour fluidifier l’espace et réduire la longueur du couloir. Création d’un WC indépendant et fermeture de la SDB au 2ème étage.  La luminosité a été améliorée par la réouverture et l’agrandissement de deux baies ayant existé au rez de chaussée de la façade sur rue mais condamnées . La baie de l’extension des années 80 abritant une bibliothèque sous un volume cathédrale a également été agrandie par l’ajout d’une haute imposte. Ce rehaussement met aussi en valeur la verticalité du volume.
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     La maison de bourg du XIXème siècle est implantée en limite de la voie publique, dans un quartier proche du centre ville, mêlant des maisons de bourg à des pavillons plus récents. A l’arrière elle donne sur un grand jardin. Elle a connu une restructuration importante dans les années 1980 comprenant un agrandissement en retour sur le jardin.  La nouvelle restructuration a permis d’adapter la maison aux besoins de son nouveau propriétaire, une famille avec enfants, et d’améliorer la luminosité de la maison.  Un accès direct sur rue a été créé en complément de l’accès existant depuis le jardin : un édicule dans la prolongation de la façade sur rue et abritant un sas a été construit. L’édicule est constitué d’un mur en moellons apparents rappelant le mur de l’appentis contigu existant ainsi que les murs de clôture caractéristiques du quartier. La façade en retour de l’édicule, perpendiculaire à la rue, est en bois naturel patiné (grisé), faisant écho au bardage existant de l’appentis. Elle est constituée d’une porte ainsi que d’un châssis fixe, vitrés, mais protégés par un caillebottis à lames verticales.  Au 1er étage la restructuration assure la fermeture et l’indépendance ainsi que la taille à peu près équivalente des trois chambres, à la place de chambres ouvertes (sur la bibliothèque, portes coulissantes) et de taille disparate. Elle assure également l’indépendance de la SDB et du WC. Dégagement d’un « espace pivot » pour fluidifier l’espace et réduire la longueur du couloir. Création d’un WC indépendant et fermeture de la SDB au 2ème étage.  La luminosité a été améliorée par la réouverture et l’agrandissement de deux baies ayant existé au rez de chaussée de la façade sur rue mais condamnées . La baie de l’extension des années 80 abritant une bibliothèque sous un volume cathédrale a également été agrandie par l’ajout d’une haute imposte. Ce rehaussement met aussi en valeur la verticalité du volume.
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     La maison de bourg du XIXème siècle est implantée en limite de la voie publique, dans un quartier proche du centre ville, mêlant des maisons de bourg à des pavillons plus récents. A l’arrière elle donne sur un grand jardin. Elle a connu une restructuration importante dans les années 1980 comprenant un agrandissement en retour sur le jardin.  La nouvelle restructuration a permis d’adapter la maison aux besoins de son nouveau propriétaire, une famille avec enfants, et d’améliorer la luminosité de la maison.  Un accès direct sur rue a été créé en complément de l’accès existant depuis le jardin : un édicule dans la prolongation de la façade sur rue et abritant un sas a été construit. L’édicule est constitué d’un mur en moellons apparents rappelant le mur de l’appentis contigu existant ainsi que les murs de clôture caractéristiques du quartier. La façade en retour de l’édicule, perpendiculaire à la rue, est en bois naturel patiné (grisé), faisant écho au bardage existant de l’appentis. Elle est constituée d’une porte ainsi que d’un châssis fixe, vitrés, mais protégés par un caillebottis à lames verticales.  Au 1er étage la restructuration assure la fermeture et l’indépendance ainsi que la taille à peu près équivalente des trois chambres, à la place de chambres ouvertes (sur la bibliothèque, portes coulissantes) et de taille disparate. Elle assure également l’indépendance de la SDB et du WC. Dégagement d’un « espace pivot » pour fluidifier l’espace et réduire la longueur du couloir. Création d’un WC indépendant et fermeture de la SDB au 2ème étage.  La luminosité a été améliorée par la réouverture et l’agrandissement de deux baies ayant existé au rez de chaussée de la façade sur rue mais condamnées . La baie de l’extension des années 80 abritant une bibliothèque sous un volume cathédrale a également été agrandie par l’ajout d’une haute imposte. Ce rehaussement met aussi en valeur la verticalité du volume.
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