Réaménagement de 3 appartements dans un immeuble ancien/Logt R+1 type T3

  • Habitat
    Il s’agit de l’aménagement de trois appartements répartis entre le rez-de-chaussée et le 1er étage d’un immeuble du XVIIe siècle qui se trouve 20 rue Renière à Bordeaux. Cet immeuble, construit en pierre, se situe au cœur du vieux Bordeaux. Il s’élève sur deux niveaux de caves voûtées, et comporte quatre étages complets sur rez-de-chaussée, et un cinquième étage partiel au sommet de la cage d’escalier. Les appartements, traversant, donnent sur la façade avant, rue Renière, et sur la façade arrière, impasse de la Fontaine Bouquière. Les différents niveaux sont desservis par un bel escalier en pierre édifié à l’arrière de l’immeuble, en façade sur l’impasse. Au 1er étage le programme architectural prévoit l’aménagement d’un logement de type T3. Dans le cadre d’une opération de réhabilitation des parties communes, il est demandé de prévoir l’emplacement des écoulements d’eaux usées et d’eaux vannes au droit du mur qui sépare l’escalier de l’appartement. Cette contrainte nous impose donc de disposer les pièces d’eau (cuisine, salle de bains et sanitaire) contre le mur de l’escalier. Cela permet de libérer les murs de façades et d’offrir aux pièces de vie tout le bénéfice des grandes ouvertures donnant sur la rue et l’impasse. Les deux chambres sont disposées dans la travée de droite en entrant, l’une côté rue, l’autre côté impasse, et sont séparées par une bande de placards. La travée de gauche est pour moitié occupée par la cuisine côté impasse, et le séjour s’étend sur deux travées côté rue. Ce dernier est en articulation avec la chambre de devant et la cuisine à l’arrière. Il peut communiquer avec la chambre par une cloison coulissante, mettant en vis-à-vis les deux cheminées, et il n’est séparé de la cuisine que par un meuble passe-plats. Cette souplesse d’organisation permet de prolonger les pièces et de favoriser la fluidité spatiale dans un système traversant. Par ce biais, la cuisine peut bénéficier de la lumière venant du séjour. L’ensemble des cloisons est constitué de plaques de plâtre vissées sur ossature métallique. Le plancher haut est doublé d’un plafond suspendu intégrant un isolant phonique sur toute la surface. Le bloc sanitaire/salle de bains se loge sous un plénum technique situé entre les deux poutres maîtresses. Les placards séparatifs forment des volumes indépendants qui ne touchent pas systématiquement le plafond.
    Habitat
    33000 BORDEAUX
    France métropolitaine
    30/11/2021
    33 - Gironde
    Maître d’ouvrage
    InCité Bordeaux-Métropole-Territoires
  • Habitat
    Il s’agit de l’aménagement de trois appartements répartis entre le rez-de-chaussée et le 1er étage d’un immeuble du XVIIe siècle qui se trouve 20 rue Renière à Bordeaux. Cet immeuble, construit en pierre, se situe au cœur du vieux Bordeaux. Il s’élève sur deux niveaux de caves voûtées, et comporte quatre étages complets sur rez-de-chaussée, et un cinquième étage partiel au sommet de la cage d’escalier. Les appartements, traversant, donnent sur la façade avant, rue Renière, et sur la façade arrière, impasse de la Fontaine Bouquière. Les différents niveaux sont desservis par un bel escalier en pierre édifié à l’arrière de l’immeuble, en façade sur l’impasse. Au 1er étage le programme architectural prévoit l’aménagement d’un logement de type T3. Dans le cadre d’une opération de réhabilitation des parties communes, il est demandé de prévoir l’emplacement des écoulements d’eaux usées et d’eaux vannes au droit du mur qui sépare l’escalier de l’appartement. Cette contrainte nous impose donc de disposer les pièces d’eau (cuisine, salle de bains et sanitaire) contre le mur de l’escalier. Cela permet de libérer les murs de façades et d’offrir aux pièces de vie tout le bénéfice des grandes ouvertures donnant sur la rue et l’impasse. Les deux chambres sont disposées dans la travée de droite en entrant, l’une côté rue, l’autre côté impasse, et sont séparées par une bande de placards. La travée de gauche est pour moitié occupée par la cuisine côté impasse, et le séjour s’étend sur deux travées côté rue. Ce dernier est en articulation avec la chambre de devant et la cuisine à l’arrière. Il peut communiquer avec la chambre par une cloison coulissante, mettant en vis-à-vis les deux cheminées, et il n’est séparé de la cuisine que par un meuble passe-plats. Cette souplesse d’organisation permet de prolonger les pièces et de favoriser la fluidité spatiale dans un système traversant. Par ce biais, la cuisine peut bénéficier de la lumière venant du séjour. L’ensemble des cloisons est constitué de plaques de plâtre vissées sur ossature métallique. Le plancher haut est doublé d’un plafond suspendu intégrant un isolant phonique sur toute la surface. Le bloc sanitaire/salle de bains se loge sous un plénum technique situé entre les deux poutres maîtresses. Les placards séparatifs forment des volumes indépendants qui ne touchent pas systématiquement le plafond.
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    33000 BORDEAUX
    France métropolitaine
    30/11/2021
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    Il s’agit de l’aménagement de trois appartements répartis entre le rez-de-chaussée et le 1er étage d’un immeuble du XVIIe siècle qui se trouve 20 rue Renière à Bordeaux. Cet immeuble, construit en pierre, se situe au cœur du vieux Bordeaux. Il s’élève sur deux niveaux de caves voûtées, et comporte quatre étages complets sur rez-de-chaussée, et un cinquième étage partiel au sommet de la cage d’escalier. Les appartements, traversant, donnent sur la façade avant, rue Renière, et sur la façade arrière, impasse de la Fontaine Bouquière. Les différents niveaux sont desservis par un bel escalier en pierre édifié à l’arrière de l’immeuble, en façade sur l’impasse. Au 1er étage le programme architectural prévoit l’aménagement d’un logement de type T3. Dans le cadre d’une opération de réhabilitation des parties communes, il est demandé de prévoir l’emplacement des écoulements d’eaux usées et d’eaux vannes au droit du mur qui sépare l’escalier de l’appartement. Cette contrainte nous impose donc de disposer les pièces d’eau (cuisine, salle de bains et sanitaire) contre le mur de l’escalier. Cela permet de libérer les murs de façades et d’offrir aux pièces de vie tout le bénéfice des grandes ouvertures donnant sur la rue et l’impasse. Les deux chambres sont disposées dans la travée de droite en entrant, l’une côté rue, l’autre côté impasse, et sont séparées par une bande de placards. La travée de gauche est pour moitié occupée par la cuisine côté impasse, et le séjour s’étend sur deux travées côté rue. Ce dernier est en articulation avec la chambre de devant et la cuisine à l’arrière. Il peut communiquer avec la chambre par une cloison coulissante, mettant en vis-à-vis les deux cheminées, et il n’est séparé de la cuisine que par un meuble passe-plats. Cette souplesse d’organisation permet de prolonger les pièces et de favoriser la fluidité spatiale dans un système traversant. Par ce biais, la cuisine peut bénéficier de la lumière venant du séjour. L’ensemble des cloisons est constitué de plaques de plâtre vissées sur ossature métallique. Le plancher haut est doublé d’un plafond suspendu intégrant un isolant phonique sur toute la surface. Le bloc sanitaire/salle de bains se loge sous un plénum technique situé entre les deux poutres maîtresses. Les placards séparatifs forment des volumes indépendants qui ne touchent pas systématiquement le plafond.
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    Il s’agit de l’aménagement de trois appartements répartis entre le rez-de-chaussée et le 1er étage d’un immeuble du XVIIe siècle qui se trouve 20 rue Renière à Bordeaux. Cet immeuble, construit en pierre, se situe au cœur du vieux Bordeaux. Il s’élève sur deux niveaux de caves voûtées, et comporte quatre étages complets sur rez-de-chaussée, et un cinquième étage partiel au sommet de la cage d’escalier. Les appartements, traversant, donnent sur la façade avant, rue Renière, et sur la façade arrière, impasse de la Fontaine Bouquière. Les différents niveaux sont desservis par un bel escalier en pierre édifié à l’arrière de l’immeuble, en façade sur l’impasse. Au 1er étage le programme architectural prévoit l’aménagement d’un logement de type T3. Dans le cadre d’une opération de réhabilitation des parties communes, il est demandé de prévoir l’emplacement des écoulements d’eaux usées et d’eaux vannes au droit du mur qui sépare l’escalier de l’appartement. Cette contrainte nous impose donc de disposer les pièces d’eau (cuisine, salle de bains et sanitaire) contre le mur de l’escalier. Cela permet de libérer les murs de façades et d’offrir aux pièces de vie tout le bénéfice des grandes ouvertures donnant sur la rue et l’impasse. Les deux chambres sont disposées dans la travée de droite en entrant, l’une côté rue, l’autre côté impasse, et sont séparées par une bande de placards. La travée de gauche est pour moitié occupée par la cuisine côté impasse, et le séjour s’étend sur deux travées côté rue. Ce dernier est en articulation avec la chambre de devant et la cuisine à l’arrière. Il peut communiquer avec la chambre par une cloison coulissante, mettant en vis-à-vis les deux cheminées, et il n’est séparé de la cuisine que par un meuble passe-plats. Cette souplesse d’organisation permet de prolonger les pièces et de favoriser la fluidité spatiale dans un système traversant. Par ce biais, la cuisine peut bénéficier de la lumière venant du séjour. L’ensemble des cloisons est constitué de plaques de plâtre vissées sur ossature métallique. Le plancher haut est doublé d’un plafond suspendu intégrant un isolant phonique sur toute la surface. Le bloc sanitaire/salle de bains se loge sous un plénum technique situé entre les deux poutres maîtresses. Les placards séparatifs forment des volumes indépendants qui ne touchent pas systématiquement le plafond.
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