LCG 40 logements à Marseille

  • PAN ARCHITECTURE LOGEMENTS CHATEAU GOMBERT 01
    Photo : Sébastien Normand
    Habitat
    « Douce banalité » Le site est celui de la ville périphérique décousue, hétérogène et générique. La Ville des ronds-points, de la voiture et l’architecture standardisée « de produits ». Mais c’est aussi celui de la ville territoire, ouverte au sud-ouest vers la mer et au nord-est vers les collines du massif de l’Etoile. Le contexte architectural varie entre pavillonnaires, petits collectifs sans intérêt et hangars d’activités. Au milieu de cette ville du XXème siècle résiste des « marqueurs identitaires » liés à une activité agricole historique du site ainsi qu’à une structure paysagère forte. En réponse à cette situation urbaine, notre stratégie consiste à proposer un bâtiment linéaire inscrit dans les « lignes de force » de son environnement que sont la topographie, les alignements paysagés et l’implantation des bâtiments agricoles proches. Le projet cherche à répondre aux conditions préexistantes du site en valorisant un linéaire de façade sud ouvert sur le paysage. Cette légitimité de la forme bâtie est renforcée par le travail morphologique des toitures qui empruntent aux formes bâties voisines un langage de toiture pignon à double pente. Les Maisonnées Nous avons créé cinq maisonnées de quatre niveaux, accolées les unes aux autres. Cette expression architecturale trouve tout son sens dans l’effet de transition créé entre la petite échelle pavillonnaire et agricole au sud et les ensembles de logements collectifs, les volumes d’activités. Mise en scène des distributions Le mode d’habiter est celui du climat et de la culture méditerranéenne ou l’on vie dehors ou l’on partage l’accéder à son logement par l’extérieur avec comme hall un jardin commun mais où l’autonomie des logements est très forte. Ce sont des logements où la gradation du public à l’intime se fait naturellement dans une mise en scène du corps des déplacements. C’est un dispositif spatial qui permet de partager des regards, d’échanger quelques mots et créer de la convivialité. L’utilisation du béton architectural brut de décoffrage participe à cette vision d’une « architecture du sud » ancrée dans une minéralité, un savoir-faire et une durabilité des ouvrages. Une simplicité raisonnée Ce projet propose une approche rationaliste inscrite dans une recherche de coûts maîtrisés, une essentialisation du parti constructif permettant de concentrer les efforts sur les qualités d’habiter les logements. Nous avons ainsi cherché à limiter des terrassements, simplifier la structure, la rendre répétitive et expressive (refends porteurs), travailler la compacité, réduire les infrastructures avec un niveau de sous-sol ouvert au sud-est…) indispensable à la faisabilité du projet. Une expérimentation sur la modularité des types Nous proposons une trame constructive courante identique des T2, T3 et T4 permettant une grande souplesse dans la répartition des appartements (en phase conception commercialisation nous avons rendu possible l’évolution de la programmation sans incidence sur l’enveloppe extérieure du projet). Passer de T2 à T3 à T4 est rendu possible par le jeu de trame. Un immeuble poreux à la lumière Le parti est simple : construire des logements traversants nord-sud, ouverts sur le paysage avec des extérieurs sur chaque façade. Nous cherchons à valoriser l’usage des logements en proposant une grande majorité de « véritables » appartements lumineux et traversants ayant des pièces de vie orientées sud et nord pour une qualité de vie optimale en climat méditerranéen). Nous proposons pour chaque appartement des prolongements extérieurs.
    Habitat
    13013 Marseille
    France métropolitaine
    2021
    13 - Bouches-du-Rhône
    Maître d’ouvrage
    SOGIMA
    Architecte(s) associé(s)
    PAN Architecture
  • PAN ARCHITECTURE LOGEMENTS CHATEAU GOMBERT 02
    Photo : Sébastien Normand
    Habitat
    « Douce banalité » Le site est celui de la ville périphérique décousue, hétérogène et générique. La Ville des ronds-points, de la voiture et l’architecture standardisée « de produits ». Mais c’est aussi celui de la ville territoire, ouverte au sud-ouest vers la mer et au nord-est vers les collines du massif de l’Etoile. Le contexte architectural varie entre pavillonnaires, petits collectifs sans intérêt et hangars d’activités. Au milieu de cette ville du XXème siècle résiste des « marqueurs identitaires » liés à une activité agricole historique du site ainsi qu’à une structure paysagère forte. En réponse à cette situation urbaine, notre stratégie consiste à proposer un bâtiment linéaire inscrit dans les « lignes de force » de son environnement que sont la topographie, les alignements paysagés et l’implantation des bâtiments agricoles proches. Le projet cherche à répondre aux conditions préexistantes du site en valorisant un linéaire de façade sud ouvert sur le paysage. Cette légitimité de la forme bâtie est renforcée par le travail morphologique des toitures qui empruntent aux formes bâties voisines un langage de toiture pignon à double pente. Les Maisonnées Nous avons créé cinq maisonnées de quatre niveaux, accolées les unes aux autres. Cette expression architecturale trouve tout son sens dans l’effet de transition créé entre la petite échelle pavillonnaire et agricole au sud et les ensembles de logements collectifs, les volumes d’activités. Mise en scène des distributions Le mode d’habiter est celui du climat et de la culture méditerranéenne ou l’on vie dehors ou l’on partage l’accéder à son logement par l’extérieur avec comme hall un jardin commun mais où l’autonomie des logements est très forte. Ce sont des logements où la gradation du public à l’intime se fait naturellement dans une mise en scène du corps des déplacements. C’est un dispositif spatial qui permet de partager des regards, d’échanger quelques mots et créer de la convivialité. L’utilisation du béton architectural brut de décoffrage participe à cette vision d’une « architecture du sud » ancrée dans une minéralité, un savoir-faire et une durabilité des ouvrages. Une simplicité raisonnée Ce projet propose une approche rationaliste inscrite dans une recherche de coûts maîtrisés, une essentialisation du parti constructif permettant de concentrer les efforts sur les qualités d’habiter les logements. Nous avons ainsi cherché à limiter des terrassements, simplifier la structure, la rendre répétitive et expressive (refends porteurs), travailler la compacité, réduire les infrastructures avec un niveau de sous-sol ouvert au sud-est…) indispensable à la faisabilité du projet. Une expérimentation sur la modularité des types Nous proposons une trame constructive courante identique des T2, T3 et T4 permettant une grande souplesse dans la répartition des appartements (en phase conception commercialisation nous avons rendu possible l’évolution de la programmation sans incidence sur l’enveloppe extérieure du projet). Passer de T2 à T3 à T4 est rendu possible par le jeu de trame. Un immeuble poreux à la lumière Le parti est simple : construire des logements traversants nord-sud, ouverts sur le paysage avec des extérieurs sur chaque façade. Nous cherchons à valoriser l’usage des logements en proposant une grande majorité de « véritables » appartements lumineux et traversants ayant des pièces de vie orientées sud et nord pour une qualité de vie optimale en climat méditerranéen). Nous proposons pour chaque appartement des prolongements extérieurs.
    Habitat
    13013 Marseille
    France métropolitaine
    2021
    13 - Bouches-du-Rhône
    Maître d’ouvrage
    SOGIMA
    Architecte(s) associé(s)
    PAN Architecture
  • PAN ARCHITECTURE LOGEMENTS CHATEAU GOMBERT 03
    Photo : Sébastien Normand
    Habitat
    « Douce banalité » Le site est celui de la ville périphérique décousue, hétérogène et générique. La Ville des ronds-points, de la voiture et l’architecture standardisée « de produits ». Mais c’est aussi celui de la ville territoire, ouverte au sud-ouest vers la mer et au nord-est vers les collines du massif de l’Etoile. Le contexte architectural varie entre pavillonnaires, petits collectifs sans intérêt et hangars d’activités. Au milieu de cette ville du XXème siècle résiste des « marqueurs identitaires » liés à une activité agricole historique du site ainsi qu’à une structure paysagère forte. En réponse à cette situation urbaine, notre stratégie consiste à proposer un bâtiment linéaire inscrit dans les « lignes de force » de son environnement que sont la topographie, les alignements paysagés et l’implantation des bâtiments agricoles proches. Le projet cherche à répondre aux conditions préexistantes du site en valorisant un linéaire de façade sud ouvert sur le paysage. Cette légitimité de la forme bâtie est renforcée par le travail morphologique des toitures qui empruntent aux formes bâties voisines un langage de toiture pignon à double pente. Les Maisonnées Nous avons créé cinq maisonnées de quatre niveaux, accolées les unes aux autres. Cette expression architecturale trouve tout son sens dans l’effet de transition créé entre la petite échelle pavillonnaire et agricole au sud et les ensembles de logements collectifs, les volumes d’activités. Mise en scène des distributions Le mode d’habiter est celui du climat et de la culture méditerranéenne ou l’on vie dehors ou l’on partage l’accéder à son logement par l’extérieur avec comme hall un jardin commun mais où l’autonomie des logements est très forte. Ce sont des logements où la gradation du public à l’intime se fait naturellement dans une mise en scène du corps des déplacements. C’est un dispositif spatial qui permet de partager des regards, d’échanger quelques mots et créer de la convivialité. L’utilisation du béton architectural brut de décoffrage participe à cette vision d’une « architecture du sud » ancrée dans une minéralité, un savoir-faire et une durabilité des ouvrages. Une simplicité raisonnée Ce projet propose une approche rationaliste inscrite dans une recherche de coûts maîtrisés, une essentialisation du parti constructif permettant de concentrer les efforts sur les qualités d’habiter les logements. Nous avons ainsi cherché à limiter des terrassements, simplifier la structure, la rendre répétitive et expressive (refends porteurs), travailler la compacité, réduire les infrastructures avec un niveau de sous-sol ouvert au sud-est…) indispensable à la faisabilité du projet. Une expérimentation sur la modularité des types Nous proposons une trame constructive courante identique des T2, T3 et T4 permettant une grande souplesse dans la répartition des appartements (en phase conception commercialisation nous avons rendu possible l’évolution de la programmation sans incidence sur l’enveloppe extérieure du projet). Passer de T2 à T3 à T4 est rendu possible par le jeu de trame. Un immeuble poreux à la lumière Le parti est simple : construire des logements traversants nord-sud, ouverts sur le paysage avec des extérieurs sur chaque façade. Nous cherchons à valoriser l’usage des logements en proposant une grande majorité de « véritables » appartements lumineux et traversants ayant des pièces de vie orientées sud et nord pour une qualité de vie optimale en climat méditerranéen). Nous proposons pour chaque appartement des prolongements extérieurs.
    Habitat
    13013 Marseille
    France métropolitaine
    2021
    13 - Bouches-du-Rhône
    Maître d’ouvrage
    SOGIMA
    Architecte(s) associé(s)
    PAN Architecture
  • PAN ARCHITECTURE LOGEMENTS CHATEAU GOMBERT 04
    Photo : PAN Architecture
    Habitat
    « Douce banalité » Le site est celui de la ville périphérique décousue, hétérogène et générique. La Ville des ronds-points, de la voiture et l’architecture standardisée « de produits ». Mais c’est aussi celui de la ville territoire, ouverte au sud-ouest vers la mer et au nord-est vers les collines du massif de l’Etoile. Le contexte architectural varie entre pavillonnaires, petits collectifs sans intérêt et hangars d’activités. Au milieu de cette ville du XXème siècle résiste des « marqueurs identitaires » liés à une activité agricole historique du site ainsi qu’à une structure paysagère forte. En réponse à cette situation urbaine, notre stratégie consiste à proposer un bâtiment linéaire inscrit dans les « lignes de force » de son environnement que sont la topographie, les alignements paysagés et l’implantation des bâtiments agricoles proches. Le projet cherche à répondre aux conditions préexistantes du site en valorisant un linéaire de façade sud ouvert sur le paysage. Cette légitimité de la forme bâtie est renforcée par le travail morphologique des toitures qui empruntent aux formes bâties voisines un langage de toiture pignon à double pente. Les Maisonnées Nous avons créé cinq maisonnées de quatre niveaux, accolées les unes aux autres. Cette expression architecturale trouve tout son sens dans l’effet de transition créé entre la petite échelle pavillonnaire et agricole au sud et les ensembles de logements collectifs, les volumes d’activités. Mise en scène des distributions Le mode d’habiter est celui du climat et de la culture méditerranéenne ou l’on vie dehors ou l’on partage l’accéder à son logement par l’extérieur avec comme hall un jardin commun mais où l’autonomie des logements est très forte. Ce sont des logements où la gradation du public à l’intime se fait naturellement dans une mise en scène du corps des déplacements. C’est un dispositif spatial qui permet de partager des regards, d’échanger quelques mots et créer de la convivialité. L’utilisation du béton architectural brut de décoffrage participe à cette vision d’une « architecture du sud » ancrée dans une minéralité, un savoir-faire et une durabilité des ouvrages. Une simplicité raisonnée Ce projet propose une approche rationaliste inscrite dans une recherche de coûts maîtrisés, une essentialisation du parti constructif permettant de concentrer les efforts sur les qualités d’habiter les logements. Nous avons ainsi cherché à limiter des terrassements, simplifier la structure, la rendre répétitive et expressive (refends porteurs), travailler la compacité, réduire les infrastructures avec un niveau de sous-sol ouvert au sud-est…) indispensable à la faisabilité du projet. Une expérimentation sur la modularité des types Nous proposons une trame constructive courante identique des T2, T3 et T4 permettant une grande souplesse dans la répartition des appartements (en phase conception commercialisation nous avons rendu possible l’évolution de la programmation sans incidence sur l’enveloppe extérieure du projet). Passer de T2 à T3 à T4 est rendu possible par le jeu de trame. Un immeuble poreux à la lumière Le parti est simple : construire des logements traversants nord-sud, ouverts sur le paysage avec des extérieurs sur chaque façade. Nous cherchons à valoriser l’usage des logements en proposant une grande majorité de « véritables » appartements lumineux et traversants ayant des pièces de vie orientées sud et nord pour une qualité de vie optimale en climat méditerranéen). Nous proposons pour chaque appartement des prolongements extérieurs.
    Habitat
    13013 Marseille
    France métropolitaine
    2021
    13 - Bouches-du-Rhône
    Maître d’ouvrage
    SOGIMA
    Architecte(s) associé(s)
    PAN Architecture