Maison M Réjalot

  • Rénovation, rénovation thermique
    Il s’agit de la réhabilitation tout corps d’état d’une maison individuelle située à Ambarès et Lagrave. Le logement en question est un type T4. La maison, construite en pierre, occupe l’angle sud du terrain sur deux niveaux, rez-de-chaussée et 1er étage, offrant deux façades en angle sur l’espace public. A l’opposé, côté nord, se trouve une petite cour située en cœur d’îlot ; c’est dans cet espace enclavé entre les murs de pierre que doit prendre place une terrasse extérieure située au rez-de-chaussée et surplombée d’un balcon accessible depuis le 1er étage. La cour, dans son état actuel, est partiellement occupée par une dépendance attenante à la maison. C’est un petit bâtiment datant des années 1960 construit en brique et béton armé. Il est coiffé d’une terrasse accessible depuis un escalier extérieur situé sur un des côtés de la cour. Son état de dégradation avancé du à une mauvaise qualité de construction impose sa démolition. Concernant le balcon qui surplombe la terrasse de la cour, il est constitué d’une ossature légère en profilés métalliques laqués gris acier. L’ensemble est composé de 2 profilés horizontaux de 3 mètres de longueur, portant de mur à mur, et sur lesquels reposent des petites solives tubulaires de 2 mètres de longueur. Cette structure supporte un platelage en lames de bois imputrescible posées à claire-voie. Ce balcon extérieur est accessible depuis le 1er étage de la maison. Pour le protéger des intempéries, il est surmonté d’une simple tonnelle en tôle d’acier galvanisée supportée par des cornières métalliques. Au rez-de-chaussée, une terrasse carrelée donne de plein pied sur la cour. L’objectif esthétique du projet est d’avoir une structure légère disparaissant derrière les murs de pierre pour rester la plus discrète possible. La maison elle-même a fait l’objet d’une réhabilitation intérieure complète mais sans modification de l’enveloppe extérieure. Seul un édicule émergeant en toiture côté cour a été supprimé pour retrouver le profil initial du bâtiment. Photos : Rodolphe Cellier
    Rénovation, rénovation thermique
    33440 AMBARES ET LAGRAVE
    France métropolitaine
    21/12/2020
    33 - Gironde
    Maître d’ouvrage
    Privé
    Architecte(s) associé(s)
    Benoît LEGENDRE
  • Rénovation, rénovation thermique
    Il s’agit de la réhabilitation tout corps d’état d’une maison individuelle située à Ambarès et Lagrave. Le logement en question est un type T4. La maison, construite en pierre, occupe l’angle sud du terrain sur deux niveaux, rez-de-chaussée et 1er étage, offrant deux façades en angle sur l’espace public. A l’opposé, côté nord, se trouve une petite cour située en cœur d’îlot ; c’est dans cet espace enclavé entre les murs de pierre que doit prendre place une terrasse extérieure située au rez-de-chaussée et surplombée d’un balcon accessible depuis le 1er étage. La cour, dans son état actuel, est partiellement occupée par une dépendance attenante à la maison. C’est un petit bâtiment datant des années 1960 construit en brique et béton armé. Il est coiffé d’une terrasse accessible depuis un escalier extérieur situé sur un des côtés de la cour. Son état de dégradation avancé du à une mauvaise qualité de construction impose sa démolition. Concernant le balcon qui surplombe la terrasse de la cour, il est constitué d’une ossature légère en profilés métalliques laqués gris acier. L’ensemble est composé de 2 profilés horizontaux de 3 mètres de longueur, portant de mur à mur, et sur lesquels reposent des petites solives tubulaires de 2 mètres de longueur. Cette structure supporte un platelage en lames de bois imputrescible posées à claire-voie. Ce balcon extérieur est accessible depuis le 1er étage de la maison. Pour le protéger des intempéries, il est surmonté d’une simple tonnelle en tôle d’acier galvanisée supportée par des cornières métalliques. Au rez-de-chaussée, une terrasse carrelée donne de plein pied sur la cour. L’objectif esthétique du projet est d’avoir une structure légère disparaissant derrière les murs de pierre pour rester la plus discrète possible. La maison elle-même a fait l’objet d’une réhabilitation intérieure complète mais sans modification de l’enveloppe extérieure. Seul un édicule émergeant en toiture côté cour a été supprimé pour retrouver le profil initial du bâtiment. Photos : Rodolphe Cellier
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    Il s’agit de la réhabilitation tout corps d’état d’une maison individuelle située à Ambarès et Lagrave. Le logement en question est un type T4. La maison, construite en pierre, occupe l’angle sud du terrain sur deux niveaux, rez-de-chaussée et 1er étage, offrant deux façades en angle sur l’espace public. A l’opposé, côté nord, se trouve une petite cour située en cœur d’îlot ; c’est dans cet espace enclavé entre les murs de pierre que doit prendre place une terrasse extérieure située au rez-de-chaussée et surplombée d’un balcon accessible depuis le 1er étage. La cour, dans son état actuel, est partiellement occupée par une dépendance attenante à la maison. C’est un petit bâtiment datant des années 1960 construit en brique et béton armé. Il est coiffé d’une terrasse accessible depuis un escalier extérieur situé sur un des côtés de la cour. Son état de dégradation avancé du à une mauvaise qualité de construction impose sa démolition. Concernant le balcon qui surplombe la terrasse de la cour, il est constitué d’une ossature légère en profilés métalliques laqués gris acier. L’ensemble est composé de 2 profilés horizontaux de 3 mètres de longueur, portant de mur à mur, et sur lesquels reposent des petites solives tubulaires de 2 mètres de longueur. Cette structure supporte un platelage en lames de bois imputrescible posées à claire-voie. Ce balcon extérieur est accessible depuis le 1er étage de la maison. Pour le protéger des intempéries, il est surmonté d’une simple tonnelle en tôle d’acier galvanisée supportée par des cornières métalliques. Au rez-de-chaussée, une terrasse carrelée donne de plein pied sur la cour. L’objectif esthétique du projet est d’avoir une structure légère disparaissant derrière les murs de pierre pour rester la plus discrète possible. La maison elle-même a fait l’objet d’une réhabilitation intérieure complète mais sans modification de l’enveloppe extérieure. Seul un édicule émergeant en toiture côté cour a été supprimé pour retrouver le profil initial du bâtiment. Photos : Rodolphe Cellier
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