MGG Maison individuelle à Gréasque

  • Sébastien Normand
    Sébastien Normand
    Neuf
    « L’étrange évidence » Le projet se situe dans la commune de Gréasque, sur un territoire rural largement couvert de chêne et de pins. Les fortes qualités paysagères de ce territoire provençal sont aujourd’hui largement remises en cause par la généralisation des lotissements pavillonnaires de promoteur. A la lisière entre les lotissements et la forêt, notre proposition consiste à tirer parti de la morphologie du terrain et de sa forte topographie. Une géométrie simple, linéaire posée sur une butte, permet d’exploiter au mieux les qualités climatiques et visuelles du site. Il s’agit de rendre ce site habitable en se protégeant du mistral et en s’ouvrant sur le paysage. Implantée sur une parcelle exigüe, la maison se positionne en limite nord également pour garder ses distances avec le voisin positionné en limite sud-est. Elle s’ouvre a la fois sur le nord vers le grand paysage (la Sainte-Victoire), et au Sud vers un grand jardin libéré par l’implantation de la maison coté Nord. Cet axe « Sainte Victoire - Jardin », légèrement en biais par rapport à l’orientation bâti aligné à la limite, devient la ligne directrice de « décomposition » du projet. L’archétype architectural de la maison à deux pans est alors maltraité. Ces deux axes, scindent le volume « traditionnel » en deux volumes distincts, la maison au nord (stable, protectrice, massive et pleine) et la terrasse treille au Sud (frivole, légère et vide). Cette dynamique de composition valorise les relations intérieures et extérieures. Elle fabrique de la singularité dans l’opposition d’écritures architecturales des deux volumes, tout en conservant une unité volumétrique référente commune. Jouant sur la variation du modèle archétypal environnant, cette maison s’impose comme une évidente provocation au pavillonnaire généralisé, uniforme, standardisé et idéalisé. L’architecture défendue est celle de la singularité contextuelle qui fabrique un lieu unique et valorise tout son environnement proche. Valorisant le savoir faire des maçons locaux elle joue de l’expressivité du béton. Mise en œuvre selon un savoir faire élevé, ce béton blanc architectural brut de décoffrage ancre le projet dans la géologie calcaire du site. L’effet monolithique qui accompagne le décollement du volume crée un effet de masse et de tension propre à la fiction du lieu. Ce projet entretien un rapport magnifié au paysage. C’est une maison traversée et ouverte sur l’extérieur dont l’étrange forme est une évidence dans ce site.
    Neuf
    13046 Gréasque
    France métropolitaine
    2018
    13 - Bouches-du-Rhône
    Maître d’ouvrage
    Privé
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    Neuf
    « L’étrange évidence » Le projet se situe dans la commune de Gréasque, sur un territoire rural largement couvert de chêne et de pins. Les fortes qualités paysagères de ce territoire provençal sont aujourd’hui largement remises en cause par la généralisation des lotissements pavillonnaires de promoteur. A la lisière entre les lotissements et la forêt, notre proposition consiste à tirer parti de la morphologie du terrain et de sa forte topographie. Une géométrie simple, linéaire posée sur une butte, permet d’exploiter au mieux les qualités climatiques et visuelles du site. Il s’agit de rendre ce site habitable en se protégeant du mistral et en s’ouvrant sur le paysage. Implantée sur une parcelle exigüe, la maison se positionne en limite nord également pour garder ses distances avec le voisin positionné en limite sud-est. Elle s’ouvre a la fois sur le nord vers le grand paysage (la Sainte-Victoire), et au Sud vers un grand jardin libéré par l’implantation de la maison coté Nord. Cet axe « Sainte Victoire - Jardin », légèrement en biais par rapport à l’orientation bâti aligné à la limite, devient la ligne directrice de « décomposition » du projet. L’archétype architectural de la maison à deux pans est alors maltraité. Ces deux axes, scindent le volume « traditionnel » en deux volumes distincts, la maison au nord (stable, protectrice, massive et pleine) et la terrasse treille au Sud (frivole, légère et vide). Cette dynamique de composition valorise les relations intérieures et extérieures. Elle fabrique de la singularité dans l’opposition d’écritures architecturales des deux volumes, tout en conservant une unité volumétrique référente commune. Jouant sur la variation du modèle archétypal environnant, cette maison s’impose comme une évidente provocation au pavillonnaire généralisé, uniforme, standardisé et idéalisé. L’architecture défendue est celle de la singularité contextuelle qui fabrique un lieu unique et valorise tout son environnement proche. Valorisant le savoir faire des maçons locaux elle joue de l’expressivité du béton. Mise en œuvre selon un savoir faire élevé, ce béton blanc architectural brut de décoffrage ancre le projet dans la géologie calcaire du site. L’effet monolithique qui accompagne le décollement du volume crée un effet de masse et de tension propre à la fiction du lieu. Ce projet entretien un rapport magnifié au paysage. C’est une maison traversée et ouverte sur l’extérieur dont l’étrange forme est une évidence dans ce site.
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    « L’étrange évidence » Le projet se situe dans la commune de Gréasque, sur un territoire rural largement couvert de chêne et de pins. Les fortes qualités paysagères de ce territoire provençal sont aujourd’hui largement remises en cause par la généralisation des lotissements pavillonnaires de promoteur. A la lisière entre les lotissements et la forêt, notre proposition consiste à tirer parti de la morphologie du terrain et de sa forte topographie. Une géométrie simple, linéaire posée sur une butte, permet d’exploiter au mieux les qualités climatiques et visuelles du site. Il s’agit de rendre ce site habitable en se protégeant du mistral et en s’ouvrant sur le paysage. Implantée sur une parcelle exigüe, la maison se positionne en limite nord également pour garder ses distances avec le voisin positionné en limite sud-est. Elle s’ouvre a la fois sur le nord vers le grand paysage (la Sainte-Victoire), et au Sud vers un grand jardin libéré par l’implantation de la maison coté Nord. Cet axe « Sainte Victoire - Jardin », légèrement en biais par rapport à l’orientation bâti aligné à la limite, devient la ligne directrice de « décomposition » du projet. L’archétype architectural de la maison à deux pans est alors maltraité. Ces deux axes, scindent le volume « traditionnel » en deux volumes distincts, la maison au nord (stable, protectrice, massive et pleine) et la terrasse treille au Sud (frivole, légère et vide). Cette dynamique de composition valorise les relations intérieures et extérieures. Elle fabrique de la singularité dans l’opposition d’écritures architecturales des deux volumes, tout en conservant une unité volumétrique référente commune. Jouant sur la variation du modèle archétypal environnant, cette maison s’impose comme une évidente provocation au pavillonnaire généralisé, uniforme, standardisé et idéalisé. L’architecture défendue est celle de la singularité contextuelle qui fabrique un lieu unique et valorise tout son environnement proche. Valorisant le savoir faire des maçons locaux elle joue de l’expressivité du béton. Mise en œuvre selon un savoir faire élevé, ce béton blanc architectural brut de décoffrage ancre le projet dans la géologie calcaire du site. L’effet monolithique qui accompagne le décollement du volume crée un effet de masse et de tension propre à la fiction du lieu. Ce projet entretien un rapport magnifié au paysage. C’est une maison traversée et ouverte sur l’extérieur dont l’étrange forme est une évidence dans ce site.
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    Sébastien Normand
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    « L’étrange évidence » Le projet se situe dans la commune de Gréasque, sur un territoire rural largement couvert de chêne et de pins. Les fortes qualités paysagères de ce territoire provençal sont aujourd’hui largement remises en cause par la généralisation des lotissements pavillonnaires de promoteur. A la lisière entre les lotissements et la forêt, notre proposition consiste à tirer parti de la morphologie du terrain et de sa forte topographie. Une géométrie simple, linéaire posée sur une butte, permet d’exploiter au mieux les qualités climatiques et visuelles du site. Il s’agit de rendre ce site habitable en se protégeant du mistral et en s’ouvrant sur le paysage. Implantée sur une parcelle exigüe, la maison se positionne en limite nord également pour garder ses distances avec le voisin positionné en limite sud-est. Elle s’ouvre a la fois sur le nord vers le grand paysage (la Sainte-Victoire), et au Sud vers un grand jardin libéré par l’implantation de la maison coté Nord. Cet axe « Sainte Victoire - Jardin », légèrement en biais par rapport à l’orientation bâti aligné à la limite, devient la ligne directrice de « décomposition » du projet. L’archétype architectural de la maison à deux pans est alors maltraité. Ces deux axes, scindent le volume « traditionnel » en deux volumes distincts, la maison au nord (stable, protectrice, massive et pleine) et la terrasse treille au Sud (frivole, légère et vide). Cette dynamique de composition valorise les relations intérieures et extérieures. Elle fabrique de la singularité dans l’opposition d’écritures architecturales des deux volumes, tout en conservant une unité volumétrique référente commune. Jouant sur la variation du modèle archétypal environnant, cette maison s’impose comme une évidente provocation au pavillonnaire généralisé, uniforme, standardisé et idéalisé. L’architecture défendue est celle de la singularité contextuelle qui fabrique un lieu unique et valorise tout son environnement proche. Valorisant le savoir faire des maçons locaux elle joue de l’expressivité du béton. Mise en œuvre selon un savoir faire élevé, ce béton blanc architectural brut de décoffrage ancre le projet dans la géologie calcaire du site. L’effet monolithique qui accompagne le décollement du volume crée un effet de masse et de tension propre à la fiction du lieu. Ce projet entretien un rapport magnifié au paysage. C’est une maison traversée et ouverte sur l’extérieur dont l’étrange forme est une évidence dans ce site.
    Neuf
    13046 Gréasque
    France métropolitaine
    2018
    13 - Bouches-du-Rhône
    Maître d’ouvrage
    Privé
  • Plan de situation
    Neuf
    « L’étrange évidence » Le projet se situe dans la commune de Gréasque, sur un territoire rural largement couvert de chêne et de pins. Les fortes qualités paysagères de ce territoire provençal sont aujourd’hui largement remises en cause par la généralisation des lotissements pavillonnaires de promoteur. A la lisière entre les lotissements et la forêt, notre proposition consiste à tirer parti de la morphologie du terrain et de sa forte topographie. Une géométrie simple, linéaire posée sur une butte, permet d’exploiter au mieux les qualités climatiques et visuelles du site. Il s’agit de rendre ce site habitable en se protégeant du mistral et en s’ouvrant sur le paysage. Implantée sur une parcelle exigüe, la maison se positionne en limite nord également pour garder ses distances avec le voisin positionné en limite sud-est. Elle s’ouvre a la fois sur le nord vers le grand paysage (la Sainte-Victoire), et au Sud vers un grand jardin libéré par l’implantation de la maison coté Nord. Cet axe « Sainte Victoire - Jardin », légèrement en biais par rapport à l’orientation bâti aligné à la limite, devient la ligne directrice de « décomposition » du projet. L’archétype architectural de la maison à deux pans est alors maltraité. Ces deux axes, scindent le volume « traditionnel » en deux volumes distincts, la maison au nord (stable, protectrice, massive et pleine) et la terrasse treille au Sud (frivole, légère et vide). Cette dynamique de composition valorise les relations intérieures et extérieures. Elle fabrique de la singularité dans l’opposition d’écritures architecturales des deux volumes, tout en conservant une unité volumétrique référente commune. Jouant sur la variation du modèle archétypal environnant, cette maison s’impose comme une évidente provocation au pavillonnaire généralisé, uniforme, standardisé et idéalisé. L’architecture défendue est celle de la singularité contextuelle qui fabrique un lieu unique et valorise tout son environnement proche. Valorisant le savoir faire des maçons locaux elle joue de l’expressivité du béton. Mise en œuvre selon un savoir faire élevé, ce béton blanc architectural brut de décoffrage ancre le projet dans la géologie calcaire du site. L’effet monolithique qui accompagne le décollement du volume crée un effet de masse et de tension propre à la fiction du lieu. Ce projet entretien un rapport magnifié au paysage. C’est une maison traversée et ouverte sur l’extérieur dont l’étrange forme est une évidence dans ce site.
    Neuf
    13046 Gréasque
    France métropolitaine
    2018
    13 - Bouches-du-Rhône
    Maître d’ouvrage
    Privé
  • Plan de masse
    Neuf
    « L’étrange évidence » Le projet se situe dans la commune de Gréasque, sur un territoire rural largement couvert de chêne et de pins. Les fortes qualités paysagères de ce territoire provençal sont aujourd’hui largement remises en cause par la généralisation des lotissements pavillonnaires de promoteur. A la lisière entre les lotissements et la forêt, notre proposition consiste à tirer parti de la morphologie du terrain et de sa forte topographie. Une géométrie simple, linéaire posée sur une butte, permet d’exploiter au mieux les qualités climatiques et visuelles du site. Il s’agit de rendre ce site habitable en se protégeant du mistral et en s’ouvrant sur le paysage. Implantée sur une parcelle exigüe, la maison se positionne en limite nord également pour garder ses distances avec le voisin positionné en limite sud-est. Elle s’ouvre a la fois sur le nord vers le grand paysage (la Sainte-Victoire), et au Sud vers un grand jardin libéré par l’implantation de la maison coté Nord. Cet axe « Sainte Victoire - Jardin », légèrement en biais par rapport à l’orientation bâti aligné à la limite, devient la ligne directrice de « décomposition » du projet. L’archétype architectural de la maison à deux pans est alors maltraité. Ces deux axes, scindent le volume « traditionnel » en deux volumes distincts, la maison au nord (stable, protectrice, massive et pleine) et la terrasse treille au Sud (frivole, légère et vide). Cette dynamique de composition valorise les relations intérieures et extérieures. Elle fabrique de la singularité dans l’opposition d’écritures architecturales des deux volumes, tout en conservant une unité volumétrique référente commune. Jouant sur la variation du modèle archétypal environnant, cette maison s’impose comme une évidente provocation au pavillonnaire généralisé, uniforme, standardisé et idéalisé. L’architecture défendue est celle de la singularité contextuelle qui fabrique un lieu unique et valorise tout son environnement proche. Valorisant le savoir faire des maçons locaux elle joue de l’expressivité du béton. Mise en œuvre selon un savoir faire élevé, ce béton blanc architectural brut de décoffrage ancre le projet dans la géologie calcaire du site. L’effet monolithique qui accompagne le décollement du volume crée un effet de masse et de tension propre à la fiction du lieu. Ce projet entretien un rapport magnifié au paysage. C’est une maison traversée et ouverte sur l’extérieur dont l’étrange forme est une évidence dans ce site.
    Neuf
    13046 Gréasque
    France métropolitaine
    2018
    13 - Bouches-du-Rhône
    Maître d’ouvrage
    Privé
  • Plan RDC
    Neuf
    « L’étrange évidence » Le projet se situe dans la commune de Gréasque, sur un territoire rural largement couvert de chêne et de pins. Les fortes qualités paysagères de ce territoire provençal sont aujourd’hui largement remises en cause par la généralisation des lotissements pavillonnaires de promoteur. A la lisière entre les lotissements et la forêt, notre proposition consiste à tirer parti de la morphologie du terrain et de sa forte topographie. Une géométrie simple, linéaire posée sur une butte, permet d’exploiter au mieux les qualités climatiques et visuelles du site. Il s’agit de rendre ce site habitable en se protégeant du mistral et en s’ouvrant sur le paysage. Implantée sur une parcelle exigüe, la maison se positionne en limite nord également pour garder ses distances avec le voisin positionné en limite sud-est. Elle s’ouvre a la fois sur le nord vers le grand paysage (la Sainte-Victoire), et au Sud vers un grand jardin libéré par l’implantation de la maison coté Nord. Cet axe « Sainte Victoire - Jardin », légèrement en biais par rapport à l’orientation bâti aligné à la limite, devient la ligne directrice de « décomposition » du projet. L’archétype architectural de la maison à deux pans est alors maltraité. Ces deux axes, scindent le volume « traditionnel » en deux volumes distincts, la maison au nord (stable, protectrice, massive et pleine) et la terrasse treille au Sud (frivole, légère et vide). Cette dynamique de composition valorise les relations intérieures et extérieures. Elle fabrique de la singularité dans l’opposition d’écritures architecturales des deux volumes, tout en conservant une unité volumétrique référente commune. Jouant sur la variation du modèle archétypal environnant, cette maison s’impose comme une évidente provocation au pavillonnaire généralisé, uniforme, standardisé et idéalisé. L’architecture défendue est celle de la singularité contextuelle qui fabrique un lieu unique et valorise tout son environnement proche. Valorisant le savoir faire des maçons locaux elle joue de l’expressivité du béton. Mise en œuvre selon un savoir faire élevé, ce béton blanc architectural brut de décoffrage ancre le projet dans la géologie calcaire du site. L’effet monolithique qui accompagne le décollement du volume crée un effet de masse et de tension propre à la fiction du lieu. Ce projet entretien un rapport magnifié au paysage. C’est une maison traversée et ouverte sur l’extérieur dont l’étrange forme est une évidence dans ce site.
    Neuf
    13046 Gréasque
    France métropolitaine
    2018
    13 - Bouches-du-Rhône
    Maître d’ouvrage
    Privé
  • Plan R+1
    Neuf
    « L’étrange évidence » Le projet se situe dans la commune de Gréasque, sur un territoire rural largement couvert de chêne et de pins. Les fortes qualités paysagères de ce territoire provençal sont aujourd’hui largement remises en cause par la généralisation des lotissements pavillonnaires de promoteur. A la lisière entre les lotissements et la forêt, notre proposition consiste à tirer parti de la morphologie du terrain et de sa forte topographie. Une géométrie simple, linéaire posée sur une butte, permet d’exploiter au mieux les qualités climatiques et visuelles du site. Il s’agit de rendre ce site habitable en se protégeant du mistral et en s’ouvrant sur le paysage. Implantée sur une parcelle exigüe, la maison se positionne en limite nord également pour garder ses distances avec le voisin positionné en limite sud-est. Elle s’ouvre a la fois sur le nord vers le grand paysage (la Sainte-Victoire), et au Sud vers un grand jardin libéré par l’implantation de la maison coté Nord. Cet axe « Sainte Victoire - Jardin », légèrement en biais par rapport à l’orientation bâti aligné à la limite, devient la ligne directrice de « décomposition » du projet. L’archétype architectural de la maison à deux pans est alors maltraité. Ces deux axes, scindent le volume « traditionnel » en deux volumes distincts, la maison au nord (stable, protectrice, massive et pleine) et la terrasse treille au Sud (frivole, légère et vide). Cette dynamique de composition valorise les relations intérieures et extérieures. Elle fabrique de la singularité dans l’opposition d’écritures architecturales des deux volumes, tout en conservant une unité volumétrique référente commune. Jouant sur la variation du modèle archétypal environnant, cette maison s’impose comme une évidente provocation au pavillonnaire généralisé, uniforme, standardisé et idéalisé. L’architecture défendue est celle de la singularité contextuelle qui fabrique un lieu unique et valorise tout son environnement proche. Valorisant le savoir faire des maçons locaux elle joue de l’expressivité du béton. Mise en œuvre selon un savoir faire élevé, ce béton blanc architectural brut de décoffrage ancre le projet dans la géologie calcaire du site. L’effet monolithique qui accompagne le décollement du volume crée un effet de masse et de tension propre à la fiction du lieu. Ce projet entretien un rapport magnifié au paysage. C’est une maison traversée et ouverte sur l’extérieur dont l’étrange forme est une évidence dans ce site.
    Neuf
    13046 Gréasque
    France métropolitaine
    2018
    13 - Bouches-du-Rhône
    Maître d’ouvrage
    Privé
  • Schéma
    Neuf
    « L’étrange évidence » Le projet se situe dans la commune de Gréasque, sur un territoire rural largement couvert de chêne et de pins. Les fortes qualités paysagères de ce territoire provençal sont aujourd’hui largement remises en cause par la généralisation des lotissements pavillonnaires de promoteur. A la lisière entre les lotissements et la forêt, notre proposition consiste à tirer parti de la morphologie du terrain et de sa forte topographie. Une géométrie simple, linéaire posée sur une butte, permet d’exploiter au mieux les qualités climatiques et visuelles du site. Il s’agit de rendre ce site habitable en se protégeant du mistral et en s’ouvrant sur le paysage. Implantée sur une parcelle exigüe, la maison se positionne en limite nord également pour garder ses distances avec le voisin positionné en limite sud-est. Elle s’ouvre a la fois sur le nord vers le grand paysage (la Sainte-Victoire), et au Sud vers un grand jardin libéré par l’implantation de la maison coté Nord. Cet axe « Sainte Victoire - Jardin », légèrement en biais par rapport à l’orientation bâti aligné à la limite, devient la ligne directrice de « décomposition » du projet. L’archétype architectural de la maison à deux pans est alors maltraité. Ces deux axes, scindent le volume « traditionnel » en deux volumes distincts, la maison au nord (stable, protectrice, massive et pleine) et la terrasse treille au Sud (frivole, légère et vide). Cette dynamique de composition valorise les relations intérieures et extérieures. Elle fabrique de la singularité dans l’opposition d’écritures architecturales des deux volumes, tout en conservant une unité volumétrique référente commune. Jouant sur la variation du modèle archétypal environnant, cette maison s’impose comme une évidente provocation au pavillonnaire généralisé, uniforme, standardisé et idéalisé. L’architecture défendue est celle de la singularité contextuelle qui fabrique un lieu unique et valorise tout son environnement proche. Valorisant le savoir faire des maçons locaux elle joue de l’expressivité du béton. Mise en œuvre selon un savoir faire élevé, ce béton blanc architectural brut de décoffrage ancre le projet dans la géologie calcaire du site. L’effet monolithique qui accompagne le décollement du volume crée un effet de masse et de tension propre à la fiction du lieu. Ce projet entretien un rapport magnifié au paysage. C’est une maison traversée et ouverte sur l’extérieur dont l’étrange forme est une évidence dans ce site.
    Neuf
    13046 Gréasque
    France métropolitaine
    2018
    13 - Bouches-du-Rhône
    Maître d’ouvrage
    Privé
  • Coupes
    Neuf
    « L’étrange évidence » Le projet se situe dans la commune de Gréasque, sur un territoire rural largement couvert de chêne et de pins. Les fortes qualités paysagères de ce territoire provençal sont aujourd’hui largement remises en cause par la généralisation des lotissements pavillonnaires de promoteur. A la lisière entre les lotissements et la forêt, notre proposition consiste à tirer parti de la morphologie du terrain et de sa forte topographie. Une géométrie simple, linéaire posée sur une butte, permet d’exploiter au mieux les qualités climatiques et visuelles du site. Il s’agit de rendre ce site habitable en se protégeant du mistral et en s’ouvrant sur le paysage. Implantée sur une parcelle exigüe, la maison se positionne en limite nord également pour garder ses distances avec le voisin positionné en limite sud-est. Elle s’ouvre a la fois sur le nord vers le grand paysage (la Sainte-Victoire), et au Sud vers un grand jardin libéré par l’implantation de la maison coté Nord. Cet axe « Sainte Victoire - Jardin », légèrement en biais par rapport à l’orientation bâti aligné à la limite, devient la ligne directrice de « décomposition » du projet. L’archétype architectural de la maison à deux pans est alors maltraité. Ces deux axes, scindent le volume « traditionnel » en deux volumes distincts, la maison au nord (stable, protectrice, massive et pleine) et la terrasse treille au Sud (frivole, légère et vide). Cette dynamique de composition valorise les relations intérieures et extérieures. Elle fabrique de la singularité dans l’opposition d’écritures architecturales des deux volumes, tout en conservant une unité volumétrique référente commune. Jouant sur la variation du modèle archétypal environnant, cette maison s’impose comme une évidente provocation au pavillonnaire généralisé, uniforme, standardisé et idéalisé. L’architecture défendue est celle de la singularité contextuelle qui fabrique un lieu unique et valorise tout son environnement proche. Valorisant le savoir faire des maçons locaux elle joue de l’expressivité du béton. Mise en œuvre selon un savoir faire élevé, ce béton blanc architectural brut de décoffrage ancre le projet dans la géologie calcaire du site. L’effet monolithique qui accompagne le décollement du volume crée un effet de masse et de tension propre à la fiction du lieu. Ce projet entretien un rapport magnifié au paysage. C’est une maison traversée et ouverte sur l’extérieur dont l’étrange forme est une évidence dans ce site.
    Neuf
    13046 Gréasque
    France métropolitaine
    2018
    13 - Bouches-du-Rhône
    Maître d’ouvrage
    Privé
  • Façades
    Neuf
    « L’étrange évidence » Le projet se situe dans la commune de Gréasque, sur un territoire rural largement couvert de chêne et de pins. Les fortes qualités paysagères de ce territoire provençal sont aujourd’hui largement remises en cause par la généralisation des lotissements pavillonnaires de promoteur. A la lisière entre les lotissements et la forêt, notre proposition consiste à tirer parti de la morphologie du terrain et de sa forte topographie. Une géométrie simple, linéaire posée sur une butte, permet d’exploiter au mieux les qualités climatiques et visuelles du site. Il s’agit de rendre ce site habitable en se protégeant du mistral et en s’ouvrant sur le paysage. Implantée sur une parcelle exigüe, la maison se positionne en limite nord également pour garder ses distances avec le voisin positionné en limite sud-est. Elle s’ouvre a la fois sur le nord vers le grand paysage (la Sainte-Victoire), et au Sud vers un grand jardin libéré par l’implantation de la maison coté Nord. Cet axe « Sainte Victoire - Jardin », légèrement en biais par rapport à l’orientation bâti aligné à la limite, devient la ligne directrice de « décomposition » du projet. L’archétype architectural de la maison à deux pans est alors maltraité. Ces deux axes, scindent le volume « traditionnel » en deux volumes distincts, la maison au nord (stable, protectrice, massive et pleine) et la terrasse treille au Sud (frivole, légère et vide). Cette dynamique de composition valorise les relations intérieures et extérieures. Elle fabrique de la singularité dans l’opposition d’écritures architecturales des deux volumes, tout en conservant une unité volumétrique référente commune. Jouant sur la variation du modèle archétypal environnant, cette maison s’impose comme une évidente provocation au pavillonnaire généralisé, uniforme, standardisé et idéalisé. L’architecture défendue est celle de la singularité contextuelle qui fabrique un lieu unique et valorise tout son environnement proche. Valorisant le savoir faire des maçons locaux elle joue de l’expressivité du béton. Mise en œuvre selon un savoir faire élevé, ce béton blanc architectural brut de décoffrage ancre le projet dans la géologie calcaire du site. L’effet monolithique qui accompagne le décollement du volume crée un effet de masse et de tension propre à la fiction du lieu. Ce projet entretien un rapport magnifié au paysage. C’est une maison traversée et ouverte sur l’extérieur dont l’étrange forme est une évidence dans ce site.
    Neuf
    13046 Gréasque
    France métropolitaine
    2018
    13 - Bouches-du-Rhône
    Maître d’ouvrage
    Privé
  • Détail façade
    Neuf
    « L’étrange évidence » Le projet se situe dans la commune de Gréasque, sur un territoire rural largement couvert de chêne et de pins. Les fortes qualités paysagères de ce territoire provençal sont aujourd’hui largement remises en cause par la généralisation des lotissements pavillonnaires de promoteur. A la lisière entre les lotissements et la forêt, notre proposition consiste à tirer parti de la morphologie du terrain et de sa forte topographie. Une géométrie simple, linéaire posée sur une butte, permet d’exploiter au mieux les qualités climatiques et visuelles du site. Il s’agit de rendre ce site habitable en se protégeant du mistral et en s’ouvrant sur le paysage. Implantée sur une parcelle exigüe, la maison se positionne en limite nord également pour garder ses distances avec le voisin positionné en limite sud-est. Elle s’ouvre a la fois sur le nord vers le grand paysage (la Sainte-Victoire), et au Sud vers un grand jardin libéré par l’implantation de la maison coté Nord. Cet axe « Sainte Victoire - Jardin », légèrement en biais par rapport à l’orientation bâti aligné à la limite, devient la ligne directrice de « décomposition » du projet. L’archétype architectural de la maison à deux pans est alors maltraité. Ces deux axes, scindent le volume « traditionnel » en deux volumes distincts, la maison au nord (stable, protectrice, massive et pleine) et la terrasse treille au Sud (frivole, légère et vide). Cette dynamique de composition valorise les relations intérieures et extérieures. Elle fabrique de la singularité dans l’opposition d’écritures architecturales des deux volumes, tout en conservant une unité volumétrique référente commune. Jouant sur la variation du modèle archétypal environnant, cette maison s’impose comme une évidente provocation au pavillonnaire généralisé, uniforme, standardisé et idéalisé. L’architecture défendue est celle de la singularité contextuelle qui fabrique un lieu unique et valorise tout son environnement proche. Valorisant le savoir faire des maçons locaux elle joue de l’expressivité du béton. Mise en œuvre selon un savoir faire élevé, ce béton blanc architectural brut de décoffrage ancre le projet dans la géologie calcaire du site. L’effet monolithique qui accompagne le décollement du volume crée un effet de masse et de tension propre à la fiction du lieu. Ce projet entretien un rapport magnifié au paysage. C’est une maison traversée et ouverte sur l’extérieur dont l’étrange forme est une évidence dans ce site.
    Neuf
    13046 Gréasque
    France métropolitaine
    2018
    13 - Bouches-du-Rhône
    Maître d’ouvrage
    Privé