Ecole de Musique et de Danse Intercommunale, Chamonix

  • Facade
    Restructuration et extension ©Pierre Vallet
    Culture, Éducation
    Le bâtiment ancien, un hôtel du début du XXème siècle, a été rénové au plus proche de son aspect premier. En référence à son passé (il fut le lieu de formation des Guides de Haute Montagne) et à l’architecture machiniste et poétique remarquable de la gare d’arrivée du téléphérique de l’Aiguille du Midi, ce bâtiment s’agrandit d’une extension revêtue d’acier corten, qui habille également l’auditorium. Une façade vitrée ouvre l’École sur le paysage des Aiguilles autant qu’elle permet au piéton, de jour comme de nuit de percevoir l’activité vibrante de l’école. Depuis l’entrée Sud passé le sas monolithique, l’atrium, à la fois espace d’accueil, foyer pour l’auditorium et hall pour l’école de musique, s’étire à la verticale, donnant à voir les circulations ainsi que les différents niveaux, comme une mise en scène des volumes et des usagers. Étiré sur trois étages, il a été «accroché» à la façade sud du bâtiment historique, détruite puis reconstruite en béton brut. Là où la technique était autrefois assimilée, elle est aujourd’hui affichée comme un argument de modernité et d’esthétique : ainsi de la structure en acier affirmée, au même titre que les tirants et les croix de Saint-André, ou les gaines de ventilation.
    Culture, Éducation
    France métropolitaine
    Février 2014
    74 - Haute-Savoie
    Maître d’ouvrage
    Communauté de communes Vallée de Chamonix Mont-Blanc
    Architecte(s) associé(s)
    Didier Onde (mandataire)
  • Facade-Sud-Extension-Corten
    Façade Sud, ouverte sur le paysage de jour ou sur l'activité intérieure de nuit
    Culture, Éducation
    Le bâtiment ancien, un hôtel du début du XXème siècle, a été rénové au plus proche de son aspect premier. En référence à son passé (il fut le lieu de formation des Guides de Haute Montagne) et à l’architecture machiniste et poétique remarquable de la gare d’arrivée du téléphérique de l’Aiguille du Midi, ce bâtiment s’agrandit d’une extension revêtue d’acier corten, qui habille également l’auditorium. Une façade vitrée ouvre l’École sur le paysage des Aiguilles autant qu’elle permet au piéton, de jour comme de nuit de percevoir l’activité vibrante de l’école. Depuis l’entrée Sud passé le sas monolithique, l’atrium, à la fois espace d’accueil, foyer pour l’auditorium et hall pour l’école de musique, s’étire à la verticale, donnant à voir les circulations ainsi que les différents niveaux, comme une mise en scène des volumes et des usagers. Étiré sur trois étages, il a été «accroché» à la façade sud du bâtiment historique, détruite puis reconstruite en béton brut. Là où la technique était autrefois assimilée, elle est aujourd’hui affichée comme un argument de modernité et d’esthétique : ainsi de la structure en acier affirmée, au même titre que les tirants et les croix de Saint-André, ou les gaines de ventilation.
    Culture, Éducation
    France métropolitaine
    Février 2014
    74 - Haute-Savoie
    Maître d’ouvrage
    Communauté de communes Vallée de Chamonix Mont-Blanc
    Architecte(s) associé(s)
    Didier Onde (mandataire)
  • Atrium
    L'atrium ©Pierre Vallet
    Culture, Éducation
    Le bâtiment ancien, un hôtel du début du XXème siècle, a été rénové au plus proche de son aspect premier. En référence à son passé (il fut le lieu de formation des Guides de Haute Montagne) et à l’architecture machiniste et poétique remarquable de la gare d’arrivée du téléphérique de l’Aiguille du Midi, ce bâtiment s’agrandit d’une extension revêtue d’acier corten, qui habille également l’auditorium. Une façade vitrée ouvre l’École sur le paysage des Aiguilles autant qu’elle permet au piéton, de jour comme de nuit de percevoir l’activité vibrante de l’école. Depuis l’entrée Sud passé le sas monolithique, l’atrium, à la fois espace d’accueil, foyer pour l’auditorium et hall pour l’école de musique, s’étire à la verticale, donnant à voir les circulations ainsi que les différents niveaux, comme une mise en scène des volumes et des usagers. Étiré sur trois étages, il a été «accroché» à la façade sud du bâtiment historique, détruite puis reconstruite en béton brut. Là où la technique était autrefois assimilée, elle est aujourd’hui affichée comme un argument de modernité et d’esthétique : ainsi de la structure en acier affirmée, au même titre que les tirants et les croix de Saint-André, ou les gaines de ventilation.
    Culture, Éducation
    France métropolitaine
    Février 2014
    74 - Haute-Savoie
    Maître d’ouvrage
    Communauté de communes Vallée de Chamonix Mont-Blanc
    Architecte(s) associé(s)
    Didier Onde (mandataire)