Résidence pour étudiants et jeunes travailleurs Horizon 172

  • Habitat
    Situé au sein d’un environnement remarquable et stratégique, nous nous sommes efforcés de concevoir un projet à la fois fonctionnel et capable de dialoguer avec son contexte riche. La résidence se situe au cœur d’Enova, un quartier émergeant et innovant, dont elle doit refléter les ambitions. Elle fait également face à un espace public majeur, celui du futur métro aérien et de la future station Innopôle. A l’entrée de la diagonale, le projet devait donc porter la qualité architecturale d’un bâtiment signal, doté d’une visibilité maximale. Plusieurs principes ont guidé notre réflexion pour présenter un projet qualitatif et ambitieux, en accord avec ce contexte exceptionnel. Nous avons tout d’abord scindé le projet en deux pour dissocier la résidence universitaire de celle dédiée aux jeunes travailleurs. Fonctionnellement, le hall en prolongement du parvis est commun. Puis chaque entité dispose d’un noyau vertical qui distribue les résidences distinctement. Dans cette même logique de fractionnement, nous avons utilisé la géométrie de la parcelle pour développer des résidences de hauteurs différentes, permettant de casser une lecture trop monotone. Toujours pour accentuer la multiplicité des perceptions, il nous a semblé intéressant de différencier les hauteurs de socle pour chaque partie du projet. Coté résidence universitaire, le socle se compose d’un seul niveau de stationnement tandis que le « joint » avec le corps du bâtiment est réalisé par le R+1. Coté jeunes actifs, le socle est constitué de la double hauteur des commerces et le corps ne se développe que sur trois niveaux. Ce déséquilibre volontaire amuse l’oeil, perd ses repères et rend le vocabulaire architectural plus léger et moins répétitif. Poursuivant encore l’exercice, l’empilement systématique des logements étant un impératif fonctionnel (gaines) et financier (structure), il n’implique pas forcément l’empilement des ouvertures. Nous avons donc joué avec le décalage que nous autorisaient les plans pour décaler les ouvertures d’un niveau sur l’autre. Mais plus encore, nous avons cerné ces ouvertures d’une tôle perforée laquée élégante à la géométrie saillante. Les quatre faces de ce cadre présentent des profondeurs différentes et génèrent des ombres très variables, venant dessiner une façade décalée et changeante. Le soleil et les ombres jouent avec notre architecture et nous surprend, les alignements disparaissent, les ombres amusent l’oeil et drapent les ouvertures d’une dentelle fine et précieuse. La résidence 172 est un projet inscrit dans son époque et son contexte, au vocabulaire architectural qualitatif. C’est aussi un projet à vivre et à partager. Nous avons souhaité qu’il interpelle sans impressionner, qu’il donne tout simplement envie d’y habiter.
    Habitat
    31670 Labège
    France métropolitaine
    2020
    31 - Haute-Garonne
    Maître d’ouvrage
    ALTEAL
  • ©David Aubert
    ©David Aubert
    Habitat
    Situé au sein d’un environnement remarquable et stratégique, nous nous sommes efforcés de concevoir un projet à la fois fonctionnel et capable de dialoguer avec son contexte riche. La résidence se situe au cœur d’Enova, un quartier émergeant et innovant, dont elle doit refléter les ambitions. Elle fait également face à un espace public majeur, celui du futur métro aérien et de la future station Innopôle. A l’entrée de la diagonale, le projet devait donc porter la qualité architecturale d’un bâtiment signal, doté d’une visibilité maximale. Plusieurs principes ont guidé notre réflexion pour présenter un projet qualitatif et ambitieux, en accord avec ce contexte exceptionnel. Nous avons tout d’abord scindé le projet en deux pour dissocier la résidence universitaire de celle dédiée aux jeunes travailleurs. Fonctionnellement, le hall en prolongement du parvis est commun. Puis chaque entité dispose d’un noyau vertical qui distribue les résidences distinctement. Dans cette même logique de fractionnement, nous avons utilisé la géométrie de la parcelle pour développer des résidences de hauteurs différentes, permettant de casser une lecture trop monotone. Toujours pour accentuer la multiplicité des perceptions, il nous a semblé intéressant de différencier les hauteurs de socle pour chaque partie du projet. Coté résidence universitaire, le socle se compose d’un seul niveau de stationnement tandis que le « joint » avec le corps du bâtiment est réalisé par le R+1. Coté jeunes actifs, le socle est constitué de la double hauteur des commerces et le corps ne se développe que sur trois niveaux. Ce déséquilibre volontaire amuse l’oeil, perd ses repères et rend le vocabulaire architectural plus léger et moins répétitif. Poursuivant encore l’exercice, l’empilement systématique des logements étant un impératif fonctionnel (gaines) et financier (structure), il n’implique pas forcément l’empilement des ouvertures. Nous avons donc joué avec le décalage que nous autorisaient les plans pour décaler les ouvertures d’un niveau sur l’autre. Mais plus encore, nous avons cerné ces ouvertures d’une tôle perforée laquée élégante à la géométrie saillante. Les quatre faces de ce cadre présentent des profondeurs différentes et génèrent des ombres très variables, venant dessiner une façade décalée et changeante. Le soleil et les ombres jouent avec notre architecture et nous surprend, les alignements disparaissent, les ombres amusent l’oeil et drapent les ouvertures d’une dentelle fine et précieuse. La résidence 172 est un projet inscrit dans son époque et son contexte, au vocabulaire architectural qualitatif. C’est aussi un projet à vivre et à partager. Nous avons souhaité qu’il interpelle sans impressionner, qu’il donne tout simplement envie d’y habiter.
    Habitat
    31670 Labège
    France métropolitaine
    2020
    31 - Haute-Garonne
    Maître d’ouvrage
    ALTEAL
  • ©David Aubert
    ©David Aubert
    Habitat
    Situé au sein d’un environnement remarquable et stratégique, nous nous sommes efforcés de concevoir un projet à la fois fonctionnel et capable de dialoguer avec son contexte riche. La résidence se situe au cœur d’Enova, un quartier émergeant et innovant, dont elle doit refléter les ambitions. Elle fait également face à un espace public majeur, celui du futur métro aérien et de la future station Innopôle. A l’entrée de la diagonale, le projet devait donc porter la qualité architecturale d’un bâtiment signal, doté d’une visibilité maximale. Plusieurs principes ont guidé notre réflexion pour présenter un projet qualitatif et ambitieux, en accord avec ce contexte exceptionnel. Nous avons tout d’abord scindé le projet en deux pour dissocier la résidence universitaire de celle dédiée aux jeunes travailleurs. Fonctionnellement, le hall en prolongement du parvis est commun. Puis chaque entité dispose d’un noyau vertical qui distribue les résidences distinctement. Dans cette même logique de fractionnement, nous avons utilisé la géométrie de la parcelle pour développer des résidences de hauteurs différentes, permettant de casser une lecture trop monotone. Toujours pour accentuer la multiplicité des perceptions, il nous a semblé intéressant de différencier les hauteurs de socle pour chaque partie du projet. Coté résidence universitaire, le socle se compose d’un seul niveau de stationnement tandis que le « joint » avec le corps du bâtiment est réalisé par le R+1. Coté jeunes actifs, le socle est constitué de la double hauteur des commerces et le corps ne se développe que sur trois niveaux. Ce déséquilibre volontaire amuse l’oeil, perd ses repères et rend le vocabulaire architectural plus léger et moins répétitif. Poursuivant encore l’exercice, l’empilement systématique des logements étant un impératif fonctionnel (gaines) et financier (structure), il n’implique pas forcément l’empilement des ouvertures. Nous avons donc joué avec le décalage que nous autorisaient les plans pour décaler les ouvertures d’un niveau sur l’autre. Mais plus encore, nous avons cerné ces ouvertures d’une tôle perforée laquée élégante à la géométrie saillante. Les quatre faces de ce cadre présentent des profondeurs différentes et génèrent des ombres très variables, venant dessiner une façade décalée et changeante. Le soleil et les ombres jouent avec notre architecture et nous surprend, les alignements disparaissent, les ombres amusent l’oeil et drapent les ouvertures d’une dentelle fine et précieuse. La résidence 172 est un projet inscrit dans son époque et son contexte, au vocabulaire architectural qualitatif. C’est aussi un projet à vivre et à partager. Nous avons souhaité qu’il interpelle sans impressionner, qu’il donne tout simplement envie d’y habiter.
    Habitat
    31670 Labège
    France métropolitaine
    2020
    31 - Haute-Garonne
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    ALTEAL
  • ©David Aubert
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    Situé au sein d’un environnement remarquable et stratégique, nous nous sommes efforcés de concevoir un projet à la fois fonctionnel et capable de dialoguer avec son contexte riche. La résidence se situe au cœur d’Enova, un quartier émergeant et innovant, dont elle doit refléter les ambitions. Elle fait également face à un espace public majeur, celui du futur métro aérien et de la future station Innopôle. A l’entrée de la diagonale, le projet devait donc porter la qualité architecturale d’un bâtiment signal, doté d’une visibilité maximale. Plusieurs principes ont guidé notre réflexion pour présenter un projet qualitatif et ambitieux, en accord avec ce contexte exceptionnel. Nous avons tout d’abord scindé le projet en deux pour dissocier la résidence universitaire de celle dédiée aux jeunes travailleurs. Fonctionnellement, le hall en prolongement du parvis est commun. Puis chaque entité dispose d’un noyau vertical qui distribue les résidences distinctement. Dans cette même logique de fractionnement, nous avons utilisé la géométrie de la parcelle pour développer des résidences de hauteurs différentes, permettant de casser une lecture trop monotone. Toujours pour accentuer la multiplicité des perceptions, il nous a semblé intéressant de différencier les hauteurs de socle pour chaque partie du projet. Coté résidence universitaire, le socle se compose d’un seul niveau de stationnement tandis que le « joint » avec le corps du bâtiment est réalisé par le R+1. Coté jeunes actifs, le socle est constitué de la double hauteur des commerces et le corps ne se développe que sur trois niveaux. Ce déséquilibre volontaire amuse l’oeil, perd ses repères et rend le vocabulaire architectural plus léger et moins répétitif. Poursuivant encore l’exercice, l’empilement systématique des logements étant un impératif fonctionnel (gaines) et financier (structure), il n’implique pas forcément l’empilement des ouvertures. Nous avons donc joué avec le décalage que nous autorisaient les plans pour décaler les ouvertures d’un niveau sur l’autre. Mais plus encore, nous avons cerné ces ouvertures d’une tôle perforée laquée élégante à la géométrie saillante. Les quatre faces de ce cadre présentent des profondeurs différentes et génèrent des ombres très variables, venant dessiner une façade décalée et changeante. Le soleil et les ombres jouent avec notre architecture et nous surprend, les alignements disparaissent, les ombres amusent l’oeil et drapent les ouvertures d’une dentelle fine et précieuse. La résidence 172 est un projet inscrit dans son époque et son contexte, au vocabulaire architectural qualitatif. C’est aussi un projet à vivre et à partager. Nous avons souhaité qu’il interpelle sans impressionner, qu’il donne tout simplement envie d’y habiter.
    Habitat
    31670 Labège
    France métropolitaine
    2020
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    Habitat
    31670 Labège
    France métropolitaine
    2020
    31 - Haute-Garonne
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    Situé au sein d’un environnement remarquable et stratégique, nous nous sommes efforcés de concevoir un projet à la fois fonctionnel et capable de dialoguer avec son contexte riche. La résidence se situe au cœur d’Enova, un quartier émergeant et innovant, dont elle doit refléter les ambitions. Elle fait également face à un espace public majeur, celui du futur métro aérien et de la future station Innopôle. A l’entrée de la diagonale, le projet devait donc porter la qualité architecturale d’un bâtiment signal, doté d’une visibilité maximale. Plusieurs principes ont guidé notre réflexion pour présenter un projet qualitatif et ambitieux, en accord avec ce contexte exceptionnel. Nous avons tout d’abord scindé le projet en deux pour dissocier la résidence universitaire de celle dédiée aux jeunes travailleurs. Fonctionnellement, le hall en prolongement du parvis est commun. Puis chaque entité dispose d’un noyau vertical qui distribue les résidences distinctement. Dans cette même logique de fractionnement, nous avons utilisé la géométrie de la parcelle pour développer des résidences de hauteurs différentes, permettant de casser une lecture trop monotone. Toujours pour accentuer la multiplicité des perceptions, il nous a semblé intéressant de différencier les hauteurs de socle pour chaque partie du projet. Coté résidence universitaire, le socle se compose d’un seul niveau de stationnement tandis que le « joint » avec le corps du bâtiment est réalisé par le R+1. Coté jeunes actifs, le socle est constitué de la double hauteur des commerces et le corps ne se développe que sur trois niveaux. Ce déséquilibre volontaire amuse l’oeil, perd ses repères et rend le vocabulaire architectural plus léger et moins répétitif. Poursuivant encore l’exercice, l’empilement systématique des logements étant un impératif fonctionnel (gaines) et financier (structure), il n’implique pas forcément l’empilement des ouvertures. Nous avons donc joué avec le décalage que nous autorisaient les plans pour décaler les ouvertures d’un niveau sur l’autre. Mais plus encore, nous avons cerné ces ouvertures d’une tôle perforée laquée élégante à la géométrie saillante. Les quatre faces de ce cadre présentent des profondeurs différentes et génèrent des ombres très variables, venant dessiner une façade décalée et changeante. Le soleil et les ombres jouent avec notre architecture et nous surprend, les alignements disparaissent, les ombres amusent l’oeil et drapent les ouvertures d’une dentelle fine et précieuse. La résidence 172 est un projet inscrit dans son époque et son contexte, au vocabulaire architectural qualitatif. C’est aussi un projet à vivre et à partager. Nous avons souhaité qu’il interpelle sans impressionner, qu’il donne tout simplement envie d’y habiter.
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    31670 Labège
    France métropolitaine
    2020
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    Habitat
    31670 Labège
    France métropolitaine
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    ALTEAL