Maison HD

  • Neuf
    Du contexte pavillonnaire et réglementaire résulte la forme archétypale de la maison à double pans. Celle-ci est augmentée d’une terrasse périphérique abri¬tée d’un débord de toiture formant alternativement couverture pleine et brise-soleils en caillebotis acier. Cette scénographie de la charpente bois apparente forme une continuité intérieur/extérieur forte et donne un côté exotique et chaleureux à cette pagode pourtant bien alsacienne. La matérialité façade / toiture en bardage acier à ondes fines d’un vert/noir profond l’intègre dans le grand paysage arboré de cette entrée de village et rappelle les constructions agricoles environnantes. Un exotisme local et contextuel, une main tendue à son environnement. La construction s’encastre dans la pente relativement marquée (9%) pour limiter son impact sur le grand paysage, sur le quartier, et sur la parcelle relativement petite (400m²). Le sous-sol s’ouvre à hauteur d’herbe par de grands châssis vitrés rendant cet étage complètement habitable. Le rez-de-chaussée accueille les pièces de vie ouvertes sur l’extérieur et la grande terrasse périphérique. Le béton au sol et le plafond bois à charpente apparente en mélèze se prolongent tous deux dans une continuité intérieur/extérieur renforcée par les nombreux et larges châssis coulissants en mélèze. Les combles offrent des volumes agréables agrémentés de voûtes et accueillant chambres et salle de bains. Ces voûtes répondent au châssis cintré en mélèze massif et à son encadrement, reprenant l’ou¬verture plein cintre caractéristique des pignons du village. Les matériaux sont locaux, naturels et sains : soubassement enterré et voiles de contreventement du RDC en béton apparent, charpente et menuiseries exté¬rieures en mélèze apparent huilé. Murs ossatures bois avec remplissage en isolants bio-sourcés (fibres de bois). Le bardage et la couverture sont réalisés dans un même profilé en acier aux nervures fines avec un laquage vert profond. Le garde-corps de la terrasse est en acier H.A (fers à béton) cintrés tels des sucre d’orges brutalistes. Encastrés dans la dalle béton avant coulage, ils en émergent sans aucune visserie, platine, ne mettant en valeur que leurs ombres sur la surface en béton balayé de la terrasse. L’intimité par rapport à la rue est gérée par un filtre de tasseaux mélèze ajourés que l’on retrouve également comme mur d’échiffre dans le grand escalier reliant les 3 niveaux, aux marches aériennes. Ce projet cherche à montrer que l’assèchement esthétique et constructif des lotissements n’est pas une fatalité. L’usage des matériaux nobles et durables est possible, le plaisir d’habiter envisageable et la beauté plus que jamais nécessaire !
    Neuf
    Rue de la Croix
    67370 KLEINFRANKENHEIM
    France métropolitaine
    Mars 2020
    67 - Bas-Rhin
    Maître d’ouvrage
    Privé
  • Neuf
    Du contexte pavillonnaire et réglementaire résulte la forme archétypale de la maison à double pans. Celle-ci est augmentée d’une terrasse périphérique abri¬tée d’un débord de toiture formant alternativement couverture pleine et brise-soleils en caillebotis acier. Cette scénographie de la charpente bois apparente forme une continuité intérieur/extérieur forte et donne un côté exotique et chaleureux à cette pagode pourtant bien alsacienne. La matérialité façade / toiture en bardage acier à ondes fines d’un vert/noir profond l’intègre dans le grand paysage arboré de cette entrée de village et rappelle les constructions agricoles environnantes. Un exotisme local et contextuel, une main tendue à son environnement. La construction s’encastre dans la pente relativement marquée (9%) pour limiter son impact sur le grand paysage, sur le quartier, et sur la parcelle relativement petite (400m²). Le sous-sol s’ouvre à hauteur d’herbe par de grands châssis vitrés rendant cet étage complètement habitable. Le rez-de-chaussée accueille les pièces de vie ouvertes sur l’extérieur et la grande terrasse périphérique. Le béton au sol et le plafond bois à charpente apparente en mélèze se prolongent tous deux dans une continuité intérieur/extérieur renforcée par les nombreux et larges châssis coulissants en mélèze. Les combles offrent des volumes agréables agrémentés de voûtes et accueillant chambres et salle de bains. Ces voûtes répondent au châssis cintré en mélèze massif et à son encadrement, reprenant l’ou¬verture plein cintre caractéristique des pignons du village. Les matériaux sont locaux, naturels et sains : soubassement enterré et voiles de contreventement du RDC en béton apparent, charpente et menuiseries exté¬rieures en mélèze apparent huilé. Murs ossatures bois avec remplissage en isolants bio-sourcés (fibres de bois). Le bardage et la couverture sont réalisés dans un même profilé en acier aux nervures fines avec un laquage vert profond. Le garde-corps de la terrasse est en acier H.A (fers à béton) cintrés tels des sucre d’orges brutalistes. Encastrés dans la dalle béton avant coulage, ils en émergent sans aucune visserie, platine, ne mettant en valeur que leurs ombres sur la surface en béton balayé de la terrasse. L’intimité par rapport à la rue est gérée par un filtre de tasseaux mélèze ajourés que l’on retrouve également comme mur d’échiffre dans le grand escalier reliant les 3 niveaux, aux marches aériennes. Ce projet cherche à montrer que l’assèchement esthétique et constructif des lotissements n’est pas une fatalité. L’usage des matériaux nobles et durables est possible, le plaisir d’habiter envisageable et la beauté plus que jamais nécessaire !
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    Du contexte pavillonnaire et réglementaire résulte la forme archétypale de la maison à double pans. Celle-ci est augmentée d’une terrasse périphérique abri¬tée d’un débord de toiture formant alternativement couverture pleine et brise-soleils en caillebotis acier. Cette scénographie de la charpente bois apparente forme une continuité intérieur/extérieur forte et donne un côté exotique et chaleureux à cette pagode pourtant bien alsacienne. La matérialité façade / toiture en bardage acier à ondes fines d’un vert/noir profond l’intègre dans le grand paysage arboré de cette entrée de village et rappelle les constructions agricoles environnantes. Un exotisme local et contextuel, une main tendue à son environnement. La construction s’encastre dans la pente relativement marquée (9%) pour limiter son impact sur le grand paysage, sur le quartier, et sur la parcelle relativement petite (400m²). Le sous-sol s’ouvre à hauteur d’herbe par de grands châssis vitrés rendant cet étage complètement habitable. Le rez-de-chaussée accueille les pièces de vie ouvertes sur l’extérieur et la grande terrasse périphérique. Le béton au sol et le plafond bois à charpente apparente en mélèze se prolongent tous deux dans une continuité intérieur/extérieur renforcée par les nombreux et larges châssis coulissants en mélèze. Les combles offrent des volumes agréables agrémentés de voûtes et accueillant chambres et salle de bains. Ces voûtes répondent au châssis cintré en mélèze massif et à son encadrement, reprenant l’ou¬verture plein cintre caractéristique des pignons du village. Les matériaux sont locaux, naturels et sains : soubassement enterré et voiles de contreventement du RDC en béton apparent, charpente et menuiseries exté¬rieures en mélèze apparent huilé. Murs ossatures bois avec remplissage en isolants bio-sourcés (fibres de bois). Le bardage et la couverture sont réalisés dans un même profilé en acier aux nervures fines avec un laquage vert profond. Le garde-corps de la terrasse est en acier H.A (fers à béton) cintrés tels des sucre d’orges brutalistes. Encastrés dans la dalle béton avant coulage, ils en émergent sans aucune visserie, platine, ne mettant en valeur que leurs ombres sur la surface en béton balayé de la terrasse. L’intimité par rapport à la rue est gérée par un filtre de tasseaux mélèze ajourés que l’on retrouve également comme mur d’échiffre dans le grand escalier reliant les 3 niveaux, aux marches aériennes. Ce projet cherche à montrer que l’assèchement esthétique et constructif des lotissements n’est pas une fatalité. L’usage des matériaux nobles et durables est possible, le plaisir d’habiter envisageable et la beauté plus que jamais nécessaire !
    Neuf
    Rue de la Croix
    67370 KLEINFRANKENHEIM
    France métropolitaine
    Mars 2020
    67 - Bas-Rhin
    Maître d’ouvrage
    Privé
  • Neuf
    Du contexte pavillonnaire et réglementaire résulte la forme archétypale de la maison à double pans. Celle-ci est augmentée d’une terrasse périphérique abri¬tée d’un débord de toiture formant alternativement couverture pleine et brise-soleils en caillebotis acier. Cette scénographie de la charpente bois apparente forme une continuité intérieur/extérieur forte et donne un côté exotique et chaleureux à cette pagode pourtant bien alsacienne. La matérialité façade / toiture en bardage acier à ondes fines d’un vert/noir profond l’intègre dans le grand paysage arboré de cette entrée de village et rappelle les constructions agricoles environnantes. Un exotisme local et contextuel, une main tendue à son environnement. La construction s’encastre dans la pente relativement marquée (9%) pour limiter son impact sur le grand paysage, sur le quartier, et sur la parcelle relativement petite (400m²). Le sous-sol s’ouvre à hauteur d’herbe par de grands châssis vitrés rendant cet étage complètement habitable. Le rez-de-chaussée accueille les pièces de vie ouvertes sur l’extérieur et la grande terrasse périphérique. Le béton au sol et le plafond bois à charpente apparente en mélèze se prolongent tous deux dans une continuité intérieur/extérieur renforcée par les nombreux et larges châssis coulissants en mélèze. Les combles offrent des volumes agréables agrémentés de voûtes et accueillant chambres et salle de bains. Ces voûtes répondent au châssis cintré en mélèze massif et à son encadrement, reprenant l’ou¬verture plein cintre caractéristique des pignons du village. Les matériaux sont locaux, naturels et sains : soubassement enterré et voiles de contreventement du RDC en béton apparent, charpente et menuiseries exté¬rieures en mélèze apparent huilé. Murs ossatures bois avec remplissage en isolants bio-sourcés (fibres de bois). Le bardage et la couverture sont réalisés dans un même profilé en acier aux nervures fines avec un laquage vert profond. Le garde-corps de la terrasse est en acier H.A (fers à béton) cintrés tels des sucre d’orges brutalistes. Encastrés dans la dalle béton avant coulage, ils en émergent sans aucune visserie, platine, ne mettant en valeur que leurs ombres sur la surface en béton balayé de la terrasse. L’intimité par rapport à la rue est gérée par un filtre de tasseaux mélèze ajourés que l’on retrouve également comme mur d’échiffre dans le grand escalier reliant les 3 niveaux, aux marches aériennes. Ce projet cherche à montrer que l’assèchement esthétique et constructif des lotissements n’est pas une fatalité. L’usage des matériaux nobles et durables est possible, le plaisir d’habiter envisageable et la beauté plus que jamais nécessaire !
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