La composition du projet interroge ici la place du « vide » ; il ne s’agit pas d’espaces résiduels, bien au contraire ! Les respirations articulent les masses bâties, créent des porosités, filtrent la lumière et projettent des ombres.
L’architecture exprime ainsi la volonté d’une densité mesurée, qui dialogue avec le paysage par une écriture claire, structurée et contrastée.
Dans cette diversité de la forme, chaque logement profite d’une grande intimité et d’espaces de vies généreux, notamment à l’extérieur : Jardins privatifs, collectifs, partagés, sont autant d’invitations à la découverte du lieu, à la rencontre, au partage, à l’appropriation…