Musée du Temps

  • Etablissement recevant du public (ERP)
    Le projet, lauréat du concours organisé en 1997 par la Ville de Besançon est implanté dans le palais Granvelle, édifice Renaissance classé MH au cœur de la «boucle» de Besançon. La réalisation présentée ici en est la première tranche. Le musée du Temps recueille «matériellement» les collections d’horlogerie du musée de Besançon, de nombreux dépôts issus de collectionneurs et des laboratoires de recherche de l’Université et de l’Industrie, ainsi que les anciennes collections du musée historique, notamment les 7 tapisseries Renaissance à la gloire de Charles-Quint, ensemble classé MH qui occupe la majeure partie du 1er niveau, avec la salle d’honneur. Le programme a néanmoins l’ambition plus large de présenter le temps dans sa dimension physique et sensible, psychologique et sociale, sa perception et sa mesure dans un cadre historique et technique. La restauration du monument a été réalisée par Pascal Prunet, architecte en chef des monuments historiques, avec lequel une interface a été définie pour l’insertion du programme muséographique, notamment au niveau des planchers, désolidarisés des murs du monument au moyen des «interstices», périphériques, caniveaux décaissés dont le fond révèle le niveau d’origine. Un langage architectural commun a également été défini au niveau des matériaux, tels les bois sombres de wengé, la menuiserie d’acier au lignes nettes, les métaux en résille, plans, tissages, intégrant souvent leur patine à venir comme trace de l’usure du temps. La première tranche du programme, livrée en juin 2002, est implantée sur 4 niveaux, dans l’aile nord du bâtiment. La dimension chronologique du propos muséographique ne pouvant être respectée avant l’occupation totale des lieux autour de la cour, des salles de préfiguration du musée «achevé» ont été implantées à chaque niveau. Le projet devait intégrer une grande souplesse afin de faire évoluer le musée. Le comble notamment est conçu pour des expositions temporaires. Ainsi les aménagements muséographiques ne s’imposent pas au monument et le laissent percevoir comme base «intangible» du Musée ; résolument contemporaine, elle est perçue comme réversible sans atteinte à sa «permanence».
    Etablissement recevant du public (ERP)
    96 Grande Rue
    25000 Besançon
    France métropolitaine
    2002
    25 - Doubs
    Maître d’ouvrage
    Ville de Besançon
  • Etablissement recevant du public (ERP)
    Le projet, lauréat du concours organisé en 1997 par la Ville de Besançon est implanté dans le palais Granvelle, édifice Renaissance classé MH au cœur de la «boucle» de Besançon. La réalisation présentée ici en est la première tranche. Le musée du Temps recueille «matériellement» les collections d’horlogerie du musée de Besançon, de nombreux dépôts issus de collectionneurs et des laboratoires de recherche de l’Université et de l’Industrie, ainsi que les anciennes collections du musée historique, notamment les 7 tapisseries Renaissance à la gloire de Charles-Quint, ensemble classé MH qui occupe la majeure partie du 1er niveau, avec la salle d’honneur. Le programme a néanmoins l’ambition plus large de présenter le temps dans sa dimension physique et sensible, psychologique et sociale, sa perception et sa mesure dans un cadre historique et technique. La restauration du monument a été réalisée par Pascal Prunet, architecte en chef des monuments historiques, avec lequel une interface a été définie pour l’insertion du programme muséographique, notamment au niveau des planchers, désolidarisés des murs du monument au moyen des «interstices», périphériques, caniveaux décaissés dont le fond révèle le niveau d’origine. Un langage architectural commun a également été défini au niveau des matériaux, tels les bois sombres de wengé, la menuiserie d’acier au lignes nettes, les métaux en résille, plans, tissages, intégrant souvent leur patine à venir comme trace de l’usure du temps. La première tranche du programme, livrée en juin 2002, est implantée sur 4 niveaux, dans l’aile nord du bâtiment. La dimension chronologique du propos muséographique ne pouvant être respectée avant l’occupation totale des lieux autour de la cour, des salles de préfiguration du musée «achevé» ont été implantées à chaque niveau. Le projet devait intégrer une grande souplesse afin de faire évoluer le musée. Le comble notamment est conçu pour des expositions temporaires. Ainsi les aménagements muséographiques ne s’imposent pas au monument et le laissent percevoir comme base «intangible» du Musée ; résolument contemporaine, elle est perçue comme réversible sans atteinte à sa «permanence».
    Etablissement recevant du public (ERP)
    96 Grande Rue
    25000 Besançon
    France métropolitaine
    2002
    25 - Doubs
    Maître d’ouvrage
    Ville de Besançon
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    Le projet, lauréat du concours organisé en 1997 par la Ville de Besançon est implanté dans le palais Granvelle, édifice Renaissance classé MH au cœur de la «boucle» de Besançon. La réalisation présentée ici en est la première tranche. Le musée du Temps recueille «matériellement» les collections d’horlogerie du musée de Besançon, de nombreux dépôts issus de collectionneurs et des laboratoires de recherche de l’Université et de l’Industrie, ainsi que les anciennes collections du musée historique, notamment les 7 tapisseries Renaissance à la gloire de Charles-Quint, ensemble classé MH qui occupe la majeure partie du 1er niveau, avec la salle d’honneur. Le programme a néanmoins l’ambition plus large de présenter le temps dans sa dimension physique et sensible, psychologique et sociale, sa perception et sa mesure dans un cadre historique et technique. La restauration du monument a été réalisée par Pascal Prunet, architecte en chef des monuments historiques, avec lequel une interface a été définie pour l’insertion du programme muséographique, notamment au niveau des planchers, désolidarisés des murs du monument au moyen des «interstices», périphériques, caniveaux décaissés dont le fond révèle le niveau d’origine. Un langage architectural commun a également été défini au niveau des matériaux, tels les bois sombres de wengé, la menuiserie d’acier au lignes nettes, les métaux en résille, plans, tissages, intégrant souvent leur patine à venir comme trace de l’usure du temps. La première tranche du programme, livrée en juin 2002, est implantée sur 4 niveaux, dans l’aile nord du bâtiment. La dimension chronologique du propos muséographique ne pouvant être respectée avant l’occupation totale des lieux autour de la cour, des salles de préfiguration du musée «achevé» ont été implantées à chaque niveau. Le projet devait intégrer une grande souplesse afin de faire évoluer le musée. Le comble notamment est conçu pour des expositions temporaires. Ainsi les aménagements muséographiques ne s’imposent pas au monument et le laissent percevoir comme base «intangible» du Musée ; résolument contemporaine, elle est perçue comme réversible sans atteinte à sa «permanence».
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    2002
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    Ville de Besançon
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    Le projet, lauréat du concours organisé en 1997 par la Ville de Besançon est implanté dans le palais Granvelle, édifice Renaissance classé MH au cœur de la «boucle» de Besançon. La réalisation présentée ici en est la première tranche. Le musée du Temps recueille «matériellement» les collections d’horlogerie du musée de Besançon, de nombreux dépôts issus de collectionneurs et des laboratoires de recherche de l’Université et de l’Industrie, ainsi que les anciennes collections du musée historique, notamment les 7 tapisseries Renaissance à la gloire de Charles-Quint, ensemble classé MH qui occupe la majeure partie du 1er niveau, avec la salle d’honneur. Le programme a néanmoins l’ambition plus large de présenter le temps dans sa dimension physique et sensible, psychologique et sociale, sa perception et sa mesure dans un cadre historique et technique. La restauration du monument a été réalisée par Pascal Prunet, architecte en chef des monuments historiques, avec lequel une interface a été définie pour l’insertion du programme muséographique, notamment au niveau des planchers, désolidarisés des murs du monument au moyen des «interstices», périphériques, caniveaux décaissés dont le fond révèle le niveau d’origine. Un langage architectural commun a également été défini au niveau des matériaux, tels les bois sombres de wengé, la menuiserie d’acier au lignes nettes, les métaux en résille, plans, tissages, intégrant souvent leur patine à venir comme trace de l’usure du temps. La première tranche du programme, livrée en juin 2002, est implantée sur 4 niveaux, dans l’aile nord du bâtiment. La dimension chronologique du propos muséographique ne pouvant être respectée avant l’occupation totale des lieux autour de la cour, des salles de préfiguration du musée «achevé» ont été implantées à chaque niveau. Le projet devait intégrer une grande souplesse afin de faire évoluer le musée. Le comble notamment est conçu pour des expositions temporaires. Ainsi les aménagements muséographiques ne s’imposent pas au monument et le laissent percevoir comme base «intangible» du Musée ; résolument contemporaine, elle est perçue comme réversible sans atteinte à sa «permanence».
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    Le projet, lauréat du concours organisé en 1997 par la Ville de Besançon est implanté dans le palais Granvelle, édifice Renaissance classé MH au cœur de la «boucle» de Besançon. La réalisation présentée ici en est la première tranche. Le musée du Temps recueille «matériellement» les collections d’horlogerie du musée de Besançon, de nombreux dépôts issus de collectionneurs et des laboratoires de recherche de l’Université et de l’Industrie, ainsi que les anciennes collections du musée historique, notamment les 7 tapisseries Renaissance à la gloire de Charles-Quint, ensemble classé MH qui occupe la majeure partie du 1er niveau, avec la salle d’honneur. Le programme a néanmoins l’ambition plus large de présenter le temps dans sa dimension physique et sensible, psychologique et sociale, sa perception et sa mesure dans un cadre historique et technique. La restauration du monument a été réalisée par Pascal Prunet, architecte en chef des monuments historiques, avec lequel une interface a été définie pour l’insertion du programme muséographique, notamment au niveau des planchers, désolidarisés des murs du monument au moyen des «interstices», périphériques, caniveaux décaissés dont le fond révèle le niveau d’origine. Un langage architectural commun a également été défini au niveau des matériaux, tels les bois sombres de wengé, la menuiserie d’acier au lignes nettes, les métaux en résille, plans, tissages, intégrant souvent leur patine à venir comme trace de l’usure du temps. La première tranche du programme, livrée en juin 2002, est implantée sur 4 niveaux, dans l’aile nord du bâtiment. La dimension chronologique du propos muséographique ne pouvant être respectée avant l’occupation totale des lieux autour de la cour, des salles de préfiguration du musée «achevé» ont été implantées à chaque niveau. Le projet devait intégrer une grande souplesse afin de faire évoluer le musée. Le comble notamment est conçu pour des expositions temporaires. Ainsi les aménagements muséographiques ne s’imposent pas au monument et le laissent percevoir comme base «intangible» du Musée ; résolument contemporaine, elle est perçue comme réversible sans atteinte à sa «permanence».
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    Le projet, lauréat du concours organisé en 1997 par la Ville de Besançon est implanté dans le palais Granvelle, édifice Renaissance classé MH au cœur de la «boucle» de Besançon. La réalisation présentée ici en est la première tranche. Le musée du Temps recueille «matériellement» les collections d’horlogerie du musée de Besançon, de nombreux dépôts issus de collectionneurs et des laboratoires de recherche de l’Université et de l’Industrie, ainsi que les anciennes collections du musée historique, notamment les 7 tapisseries Renaissance à la gloire de Charles-Quint, ensemble classé MH qui occupe la majeure partie du 1er niveau, avec la salle d’honneur. Le programme a néanmoins l’ambition plus large de présenter le temps dans sa dimension physique et sensible, psychologique et sociale, sa perception et sa mesure dans un cadre historique et technique. La restauration du monument a été réalisée par Pascal Prunet, architecte en chef des monuments historiques, avec lequel une interface a été définie pour l’insertion du programme muséographique, notamment au niveau des planchers, désolidarisés des murs du monument au moyen des «interstices», périphériques, caniveaux décaissés dont le fond révèle le niveau d’origine. Un langage architectural commun a également été défini au niveau des matériaux, tels les bois sombres de wengé, la menuiserie d’acier au lignes nettes, les métaux en résille, plans, tissages, intégrant souvent leur patine à venir comme trace de l’usure du temps. La première tranche du programme, livrée en juin 2002, est implantée sur 4 niveaux, dans l’aile nord du bâtiment. La dimension chronologique du propos muséographique ne pouvant être respectée avant l’occupation totale des lieux autour de la cour, des salles de préfiguration du musée «achevé» ont été implantées à chaque niveau. Le projet devait intégrer une grande souplesse afin de faire évoluer le musée. Le comble notamment est conçu pour des expositions temporaires. Ainsi les aménagements muséographiques ne s’imposent pas au monument et le laissent percevoir comme base «intangible» du Musée ; résolument contemporaine, elle est perçue comme réversible sans atteinte à sa «permanence».
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    Le projet, lauréat du concours organisé en 1997 par la Ville de Besançon est implanté dans le palais Granvelle, édifice Renaissance classé MH au cœur de la «boucle» de Besançon. La réalisation présentée ici en est la première tranche. Le musée du Temps recueille «matériellement» les collections d’horlogerie du musée de Besançon, de nombreux dépôts issus de collectionneurs et des laboratoires de recherche de l’Université et de l’Industrie, ainsi que les anciennes collections du musée historique, notamment les 7 tapisseries Renaissance à la gloire de Charles-Quint, ensemble classé MH qui occupe la majeure partie du 1er niveau, avec la salle d’honneur. Le programme a néanmoins l’ambition plus large de présenter le temps dans sa dimension physique et sensible, psychologique et sociale, sa perception et sa mesure dans un cadre historique et technique. La restauration du monument a été réalisée par Pascal Prunet, architecte en chef des monuments historiques, avec lequel une interface a été définie pour l’insertion du programme muséographique, notamment au niveau des planchers, désolidarisés des murs du monument au moyen des «interstices», périphériques, caniveaux décaissés dont le fond révèle le niveau d’origine. Un langage architectural commun a également été défini au niveau des matériaux, tels les bois sombres de wengé, la menuiserie d’acier au lignes nettes, les métaux en résille, plans, tissages, intégrant souvent leur patine à venir comme trace de l’usure du temps. La première tranche du programme, livrée en juin 2002, est implantée sur 4 niveaux, dans l’aile nord du bâtiment. La dimension chronologique du propos muséographique ne pouvant être respectée avant l’occupation totale des lieux autour de la cour, des salles de préfiguration du musée «achevé» ont été implantées à chaque niveau. Le projet devait intégrer une grande souplesse afin de faire évoluer le musée. Le comble notamment est conçu pour des expositions temporaires. Ainsi les aménagements muséographiques ne s’imposent pas au monument et le laissent percevoir comme base «intangible» du Musée ; résolument contemporaine, elle est perçue comme réversible sans atteinte à sa «permanence».
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    Le projet, lauréat du concours organisé en 1997 par la Ville de Besançon est implanté dans le palais Granvelle, édifice Renaissance classé MH au cœur de la «boucle» de Besançon. La réalisation présentée ici en est la première tranche. Le musée du Temps recueille «matériellement» les collections d’horlogerie du musée de Besançon, de nombreux dépôts issus de collectionneurs et des laboratoires de recherche de l’Université et de l’Industrie, ainsi que les anciennes collections du musée historique, notamment les 7 tapisseries Renaissance à la gloire de Charles-Quint, ensemble classé MH qui occupe la majeure partie du 1er niveau, avec la salle d’honneur. Le programme a néanmoins l’ambition plus large de présenter le temps dans sa dimension physique et sensible, psychologique et sociale, sa perception et sa mesure dans un cadre historique et technique. La restauration du monument a été réalisée par Pascal Prunet, architecte en chef des monuments historiques, avec lequel une interface a été définie pour l’insertion du programme muséographique, notamment au niveau des planchers, désolidarisés des murs du monument au moyen des «interstices», périphériques, caniveaux décaissés dont le fond révèle le niveau d’origine. Un langage architectural commun a également été défini au niveau des matériaux, tels les bois sombres de wengé, la menuiserie d’acier au lignes nettes, les métaux en résille, plans, tissages, intégrant souvent leur patine à venir comme trace de l’usure du temps. La première tranche du programme, livrée en juin 2002, est implantée sur 4 niveaux, dans l’aile nord du bâtiment. La dimension chronologique du propos muséographique ne pouvant être respectée avant l’occupation totale des lieux autour de la cour, des salles de préfiguration du musée «achevé» ont été implantées à chaque niveau. Le projet devait intégrer une grande souplesse afin de faire évoluer le musée. Le comble notamment est conçu pour des expositions temporaires. Ainsi les aménagements muséographiques ne s’imposent pas au monument et le laissent percevoir comme base «intangible» du Musée ; résolument contemporaine, elle est perçue comme réversible sans atteinte à sa «permanence».
    Etablissement recevant du public (ERP)
    96 Grande Rue
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    France métropolitaine
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