Habitation de Melle D. & Mr M.

  • Neuf
    Cette nouvelle aventure nous emmène dans une petite commune de l’extrême Nord de la France, à quelques encâblures de la Belgique. Dans ce pays presque plat où les frontières sont invisibles, Nancy et Yannick ont trouvé un terrain pour se poser. Il est issu de la division d’une parcelle rectangulaire assez longue située en coeur de bourg, offrant une nouvelle possibilité d’installation en milieu urbain. La propriétaire a donné 2/3 à ses enfants et a vendu le tiers du milieu à nos clients. De loin le plus beau tiers : à distance de la rue, avec des arbres magnifiques que le soleil illumine et le vent fait danser. Un vrai spectacle ! Au Nord-Ouest, à travers les arbres, on aperçoit le parc de la résidence voisine. Là, point de clôture, mais juste un petit fossé envahi par les herbes folles : un sentiment de liberté. Au Nord-Est et au Sud-Est, des habitations de brique sont implantées assez proches. La maison est en quelque sorte à la rencontre du bâti et des arbres. Elle s’étend sur les flancs Nord-Est et Sud-Est, vêtue d’un manteau épais de mélèze protégeant des vents froids. Presque opaque, offrant une perméabilité restreinte aux voisins, elle aménage des failles et des percements précis permettant au soleil de trouver de suite sa place lorsqu’il pointe ses rayons. Derrière ce manteau, s’étend une plateforme de vie mi-intérieure mi-extérieure, en bois, qui s’ouvre sur le jardin et les arbres. Ses façades vitrées coulissent et disparaissent entièrement, transformant le coeur de la maison en un extérieur couvert. De part et d’autre, comme 2 bras tendus, 2 ailes, se développent les univers des parents et des enfants. Au Nord-Ouest, glissée derrière l’opacité de la salle de bain, la chambre des parents s’approche des arbres. On les voit depuis le lit. Elle se prolonge dans le jardin en une terrasse de bois couverte par le toit de zinc : une possibilité offerte d’écouter la pluie tout en étant à l’abri, ou de prendre le petit déjeuner en été près des arbres. Idem lorsqu’on est plongé dans son bain et qu’une baie en angle vous ouvre le regard vers le jardin. L’univers des enfants est lui aussi séparé du coeur de la maison par l’opacité d’une salle d’eau. Il est constitué de 6 séquences, 6 strates : l’espace du lit, l’espace de jeu, la terrasse de bois, le jardin, les arbres, le parc voisin en transparence. Tout comme la frontière invisible, le contact avec le lieu est démultiplié, diffus, afin de ne pas déterminer d’intérieur franc et d’extérieur bien défini. La paroi entre espace du lit et espace de jeu coulisse et disparaît complètement, ne formant qu’un seul lieu de vie. Les baies vitrées en font de même, connectant largement les enfants au jardin.
    Neuf
    France métropolitaine
    2005
    59 - Nord
    Maître d’ouvrage
    Melle D. & Mr M.
  • Neuf
    Cette nouvelle aventure nous emmène dans une petite commune de l’extrême Nord de la France, à quelques encâblures de la Belgique. Dans ce pays presque plat où les frontières sont invisibles, Nancy et Yannick ont trouvé un terrain pour se poser. Il est issu de la division d’une parcelle rectangulaire assez longue située en coeur de bourg, offrant une nouvelle possibilité d’installation en milieu urbain. La propriétaire a donné 2/3 à ses enfants et a vendu le tiers du milieu à nos clients. De loin le plus beau tiers : à distance de la rue, avec des arbres magnifiques que le soleil illumine et le vent fait danser. Un vrai spectacle ! Au Nord-Ouest, à travers les arbres, on aperçoit le parc de la résidence voisine. Là, point de clôture, mais juste un petit fossé envahi par les herbes folles : un sentiment de liberté. Au Nord-Est et au Sud-Est, des habitations de brique sont implantées assez proches. La maison est en quelque sorte à la rencontre du bâti et des arbres. Elle s’étend sur les flancs Nord-Est et Sud-Est, vêtue d’un manteau épais de mélèze protégeant des vents froids. Presque opaque, offrant une perméabilité restreinte aux voisins, elle aménage des failles et des percements précis permettant au soleil de trouver de suite sa place lorsqu’il pointe ses rayons. Derrière ce manteau, s’étend une plateforme de vie mi-intérieure mi-extérieure, en bois, qui s’ouvre sur le jardin et les arbres. Ses façades vitrées coulissent et disparaissent entièrement, transformant le coeur de la maison en un extérieur couvert. De part et d’autre, comme 2 bras tendus, 2 ailes, se développent les univers des parents et des enfants. Au Nord-Ouest, glissée derrière l’opacité de la salle de bain, la chambre des parents s’approche des arbres. On les voit depuis le lit. Elle se prolonge dans le jardin en une terrasse de bois couverte par le toit de zinc : une possibilité offerte d’écouter la pluie tout en étant à l’abri, ou de prendre le petit déjeuner en été près des arbres. Idem lorsqu’on est plongé dans son bain et qu’une baie en angle vous ouvre le regard vers le jardin. L’univers des enfants est lui aussi séparé du coeur de la maison par l’opacité d’une salle d’eau. Il est constitué de 6 séquences, 6 strates : l’espace du lit, l’espace de jeu, la terrasse de bois, le jardin, les arbres, le parc voisin en transparence. Tout comme la frontière invisible, le contact avec le lieu est démultiplié, diffus, afin de ne pas déterminer d’intérieur franc et d’extérieur bien défini. La paroi entre espace du lit et espace de jeu coulisse et disparaît complètement, ne formant qu’un seul lieu de vie. Les baies vitrées en font de même, connectant largement les enfants au jardin.
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    Melle D. & Mr M.
  • Neuf
    Cette nouvelle aventure nous emmène dans une petite commune de l’extrême Nord de la France, à quelques encâblures de la Belgique. Dans ce pays presque plat où les frontières sont invisibles, Nancy et Yannick ont trouvé un terrain pour se poser. Il est issu de la division d’une parcelle rectangulaire assez longue située en coeur de bourg, offrant une nouvelle possibilité d’installation en milieu urbain. La propriétaire a donné 2/3 à ses enfants et a vendu le tiers du milieu à nos clients. De loin le plus beau tiers : à distance de la rue, avec des arbres magnifiques que le soleil illumine et le vent fait danser. Un vrai spectacle ! Au Nord-Ouest, à travers les arbres, on aperçoit le parc de la résidence voisine. Là, point de clôture, mais juste un petit fossé envahi par les herbes folles : un sentiment de liberté. Au Nord-Est et au Sud-Est, des habitations de brique sont implantées assez proches. La maison est en quelque sorte à la rencontre du bâti et des arbres. Elle s’étend sur les flancs Nord-Est et Sud-Est, vêtue d’un manteau épais de mélèze protégeant des vents froids. Presque opaque, offrant une perméabilité restreinte aux voisins, elle aménage des failles et des percements précis permettant au soleil de trouver de suite sa place lorsqu’il pointe ses rayons. Derrière ce manteau, s’étend une plateforme de vie mi-intérieure mi-extérieure, en bois, qui s’ouvre sur le jardin et les arbres. Ses façades vitrées coulissent et disparaissent entièrement, transformant le coeur de la maison en un extérieur couvert. De part et d’autre, comme 2 bras tendus, 2 ailes, se développent les univers des parents et des enfants. Au Nord-Ouest, glissée derrière l’opacité de la salle de bain, la chambre des parents s’approche des arbres. On les voit depuis le lit. Elle se prolonge dans le jardin en une terrasse de bois couverte par le toit de zinc : une possibilité offerte d’écouter la pluie tout en étant à l’abri, ou de prendre le petit déjeuner en été près des arbres. Idem lorsqu’on est plongé dans son bain et qu’une baie en angle vous ouvre le regard vers le jardin. L’univers des enfants est lui aussi séparé du coeur de la maison par l’opacité d’une salle d’eau. Il est constitué de 6 séquences, 6 strates : l’espace du lit, l’espace de jeu, la terrasse de bois, le jardin, les arbres, le parc voisin en transparence. Tout comme la frontière invisible, le contact avec le lieu est démultiplié, diffus, afin de ne pas déterminer d’intérieur franc et d’extérieur bien défini. La paroi entre espace du lit et espace de jeu coulisse et disparaît complètement, ne formant qu’un seul lieu de vie. Les baies vitrées en font de même, connectant largement les enfants au jardin.
    Neuf
    France métropolitaine
    2005
    59 - Nord
    Maître d’ouvrage
    Melle D. & Mr M.
  • Neuf
    Cette nouvelle aventure nous emmène dans une petite commune de l’extrême Nord de la France, à quelques encâblures de la Belgique. Dans ce pays presque plat où les frontières sont invisibles, Nancy et Yannick ont trouvé un terrain pour se poser. Il est issu de la division d’une parcelle rectangulaire assez longue située en coeur de bourg, offrant une nouvelle possibilité d’installation en milieu urbain. La propriétaire a donné 2/3 à ses enfants et a vendu le tiers du milieu à nos clients. De loin le plus beau tiers : à distance de la rue, avec des arbres magnifiques que le soleil illumine et le vent fait danser. Un vrai spectacle ! Au Nord-Ouest, à travers les arbres, on aperçoit le parc de la résidence voisine. Là, point de clôture, mais juste un petit fossé envahi par les herbes folles : un sentiment de liberté. Au Nord-Est et au Sud-Est, des habitations de brique sont implantées assez proches. La maison est en quelque sorte à la rencontre du bâti et des arbres. Elle s’étend sur les flancs Nord-Est et Sud-Est, vêtue d’un manteau épais de mélèze protégeant des vents froids. Presque opaque, offrant une perméabilité restreinte aux voisins, elle aménage des failles et des percements précis permettant au soleil de trouver de suite sa place lorsqu’il pointe ses rayons. Derrière ce manteau, s’étend une plateforme de vie mi-intérieure mi-extérieure, en bois, qui s’ouvre sur le jardin et les arbres. Ses façades vitrées coulissent et disparaissent entièrement, transformant le coeur de la maison en un extérieur couvert. De part et d’autre, comme 2 bras tendus, 2 ailes, se développent les univers des parents et des enfants. Au Nord-Ouest, glissée derrière l’opacité de la salle de bain, la chambre des parents s’approche des arbres. On les voit depuis le lit. Elle se prolonge dans le jardin en une terrasse de bois couverte par le toit de zinc : une possibilité offerte d’écouter la pluie tout en étant à l’abri, ou de prendre le petit déjeuner en été près des arbres. Idem lorsqu’on est plongé dans son bain et qu’une baie en angle vous ouvre le regard vers le jardin. L’univers des enfants est lui aussi séparé du coeur de la maison par l’opacité d’une salle d’eau. Il est constitué de 6 séquences, 6 strates : l’espace du lit, l’espace de jeu, la terrasse de bois, le jardin, les arbres, le parc voisin en transparence. Tout comme la frontière invisible, le contact avec le lieu est démultiplié, diffus, afin de ne pas déterminer d’intérieur franc et d’extérieur bien défini. La paroi entre espace du lit et espace de jeu coulisse et disparaît complètement, ne formant qu’un seul lieu de vie. Les baies vitrées en font de même, connectant largement les enfants au jardin.
    Neuf
    France métropolitaine
    2005
    59 - Nord
    Maître d’ouvrage
    Melle D. & Mr M.