Le clos des arts_14 maisons en bande type loft dans un ancien bâtiment industriel

  • Habitat, Rénovation, rénovation thermique
    Le projet consiste en la transformation d’une friche industrielle en logements. La problématique de départ était de pouvoir aménager un maximum de logements individualisés dans les bâtiments existants, afin d’assurer la viabilité financière du projet, tout en proposant une architecture contemporaine de qualité. Le bâti se composait à l’origine de deux bâtiments juxtaposés: une ossature béton pour les bureaux et une structure métallique pour l’atelier. Le point de départ est alors de démonter le hangar, afin d’aérer le site et libérer de l’espace. La création de maisons en bande mitoyennes, de type duplex, est alors retenue afin de profiter de l’orientation est/ouest et présenter des accès privatifs en façade. Le principe de la maison en bande, à l’instar de l’habitat des cités ouvrières, présente un intérêt économique évident de par la compacité des volumes et la répétition des prestations. Il permet également de densifier les constructions sur la parcelle, afin d’offrir plus d’espaces extérieurs facilement appropriables par les habitants. Enfin, faire le choix de la maison en bande, participe à la création de la ville en maitrisant, d’une part le foncier et l’étalement urbain et en créant d’autre part des espaces publics et collectifs qualitatifs, porteurs d’échange et de vie sociale. Sur ce site, la bonne implantation du bâtiment sur la parcelle, sa volumétrie généreuse et la qualité de sa structure, ont guidé le choix de conserver l’ossature. Les façades ont été démolies, afin de pouvoir reprendre les ouvertures, retravailler la performance de l’enveloppe et redynamiser l’architecture. Le projet repose ainsi sur la déclinaison de maisons aux typologies variées (du T2 au T5) qui s’inscrivent dans la trame structurelle existante. A l’intérieur un bloc regroupant les pièces humide est placé au centre, libérant les façades pour les pièces de vie et les chambres. L’aménagement des plateaux intérieurs se faisant ensuite à la demande, les futurs résidents restent libres de faire évoluer le cloisonnement intérieur de leur maison, en fonction de leurs besoins. A l’extérieur, chaque logement bénéficie d’une terrasse avec pergola donnant sur un petit jardin privatif tandis qu’un jardin collectif, permet de partager des activités communes. Dans le contexte actuel où la réhabilitation des bâtiments anciens est un enjeu majeur du développement durable, cette transformation apporte une réponse aux problématiques adjacentes à ce type de projet: Comment penser l’évolutivité et la modularité des espaces pour répondre à différentes demandes d’usage? Comment vivre ensemble en copropriété, en préservant l’intimité de chacun malgré la promiscuité?
    Habitat, Rénovation, rénovation thermique
    152 rue des Essards et des Arts
    71000 Varennes-Les-Mâcon
    France métropolitaine
    2017
    71 - Saône-et-Loire
    Maître d’ouvrage
    LE NY - SCI LES ARTS
  • Habitat, Rénovation, rénovation thermique
    Le projet consiste en la transformation d’une friche industrielle en logements. La problématique de départ était de pouvoir aménager un maximum de logements individualisés dans les bâtiments existants, afin d’assurer la viabilité financière du projet, tout en proposant une architecture contemporaine de qualité. Le bâti se composait à l’origine de deux bâtiments juxtaposés: une ossature béton pour les bureaux et une structure métallique pour l’atelier. Le point de départ est alors de démonter le hangar, afin d’aérer le site et libérer de l’espace. La création de maisons en bande mitoyennes, de type duplex, est alors retenue afin de profiter de l’orientation est/ouest et présenter des accès privatifs en façade. Le principe de la maison en bande, à l’instar de l’habitat des cités ouvrières, présente un intérêt économique évident de par la compacité des volumes et la répétition des prestations. Il permet également de densifier les constructions sur la parcelle, afin d’offrir plus d’espaces extérieurs facilement appropriables par les habitants. Enfin, faire le choix de la maison en bande, participe à la création de la ville en maitrisant, d’une part le foncier et l’étalement urbain et en créant d’autre part des espaces publics et collectifs qualitatifs, porteurs d’échange et de vie sociale. Sur ce site, la bonne implantation du bâtiment sur la parcelle, sa volumétrie généreuse et la qualité de sa structure, ont guidé le choix de conserver l’ossature. Les façades ont été démolies, afin de pouvoir reprendre les ouvertures, retravailler la performance de l’enveloppe et redynamiser l’architecture. Le projet repose ainsi sur la déclinaison de maisons aux typologies variées (du T2 au T5) qui s’inscrivent dans la trame structurelle existante. A l’intérieur un bloc regroupant les pièces humide est placé au centre, libérant les façades pour les pièces de vie et les chambres. L’aménagement des plateaux intérieurs se faisant ensuite à la demande, les futurs résidents restent libres de faire évoluer le cloisonnement intérieur de leur maison, en fonction de leurs besoins. A l’extérieur, chaque logement bénéficie d’une terrasse avec pergola donnant sur un petit jardin privatif tandis qu’un jardin collectif, permet de partager des activités communes. Dans le contexte actuel où la réhabilitation des bâtiments anciens est un enjeu majeur du développement durable, cette transformation apporte une réponse aux problématiques adjacentes à ce type de projet: Comment penser l’évolutivité et la modularité des espaces pour répondre à différentes demandes d’usage? Comment vivre ensemble en copropriété, en préservant l’intimité de chacun malgré la promiscuité?
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    152 rue des Essards et des Arts
    71000 Varennes-Les-Mâcon
    France métropolitaine
    2017
    71 - Saône-et-Loire
    Maître d’ouvrage
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    Le projet consiste en la transformation d’une friche industrielle en logements. La problématique de départ était de pouvoir aménager un maximum de logements individualisés dans les bâtiments existants, afin d’assurer la viabilité financière du projet, tout en proposant une architecture contemporaine de qualité. Le bâti se composait à l’origine de deux bâtiments juxtaposés: une ossature béton pour les bureaux et une structure métallique pour l’atelier. Le point de départ est alors de démonter le hangar, afin d’aérer le site et libérer de l’espace. La création de maisons en bande mitoyennes, de type duplex, est alors retenue afin de profiter de l’orientation est/ouest et présenter des accès privatifs en façade. Le principe de la maison en bande, à l’instar de l’habitat des cités ouvrières, présente un intérêt économique évident de par la compacité des volumes et la répétition des prestations. Il permet également de densifier les constructions sur la parcelle, afin d’offrir plus d’espaces extérieurs facilement appropriables par les habitants. Enfin, faire le choix de la maison en bande, participe à la création de la ville en maitrisant, d’une part le foncier et l’étalement urbain et en créant d’autre part des espaces publics et collectifs qualitatifs, porteurs d’échange et de vie sociale. Sur ce site, la bonne implantation du bâtiment sur la parcelle, sa volumétrie généreuse et la qualité de sa structure, ont guidé le choix de conserver l’ossature. Les façades ont été démolies, afin de pouvoir reprendre les ouvertures, retravailler la performance de l’enveloppe et redynamiser l’architecture. Le projet repose ainsi sur la déclinaison de maisons aux typologies variées (du T2 au T5) qui s’inscrivent dans la trame structurelle existante. A l’intérieur un bloc regroupant les pièces humide est placé au centre, libérant les façades pour les pièces de vie et les chambres. L’aménagement des plateaux intérieurs se faisant ensuite à la demande, les futurs résidents restent libres de faire évoluer le cloisonnement intérieur de leur maison, en fonction de leurs besoins. A l’extérieur, chaque logement bénéficie d’une terrasse avec pergola donnant sur un petit jardin privatif tandis qu’un jardin collectif, permet de partager des activités communes. Dans le contexte actuel où la réhabilitation des bâtiments anciens est un enjeu majeur du développement durable, cette transformation apporte une réponse aux problématiques adjacentes à ce type de projet: Comment penser l’évolutivité et la modularité des espaces pour répondre à différentes demandes d’usage? Comment vivre ensemble en copropriété, en préservant l’intimité de chacun malgré la promiscuité?
    Habitat, Rénovation, rénovation thermique
    152 rue des Essards et des Arts
    71000 Varennes-Les-Mâcon
    France métropolitaine
    2017
    71 - Saône-et-Loire
    Maître d’ouvrage
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    Le projet consiste en la transformation d’une friche industrielle en logements. La problématique de départ était de pouvoir aménager un maximum de logements individualisés dans les bâtiments existants, afin d’assurer la viabilité financière du projet, tout en proposant une architecture contemporaine de qualité. Le bâti se composait à l’origine de deux bâtiments juxtaposés: une ossature béton pour les bureaux et une structure métallique pour l’atelier. Le point de départ est alors de démonter le hangar, afin d’aérer le site et libérer de l’espace. La création de maisons en bande mitoyennes, de type duplex, est alors retenue afin de profiter de l’orientation est/ouest et présenter des accès privatifs en façade. Le principe de la maison en bande, à l’instar de l’habitat des cités ouvrières, présente un intérêt économique évident de par la compacité des volumes et la répétition des prestations. Il permet également de densifier les constructions sur la parcelle, afin d’offrir plus d’espaces extérieurs facilement appropriables par les habitants. Enfin, faire le choix de la maison en bande, participe à la création de la ville en maitrisant, d’une part le foncier et l’étalement urbain et en créant d’autre part des espaces publics et collectifs qualitatifs, porteurs d’échange et de vie sociale. Sur ce site, la bonne implantation du bâtiment sur la parcelle, sa volumétrie généreuse et la qualité de sa structure, ont guidé le choix de conserver l’ossature. Les façades ont été démolies, afin de pouvoir reprendre les ouvertures, retravailler la performance de l’enveloppe et redynamiser l’architecture. Le projet repose ainsi sur la déclinaison de maisons aux typologies variées (du T2 au T5) qui s’inscrivent dans la trame structurelle existante. A l’intérieur un bloc regroupant les pièces humide est placé au centre, libérant les façades pour les pièces de vie et les chambres. L’aménagement des plateaux intérieurs se faisant ensuite à la demande, les futurs résidents restent libres de faire évoluer le cloisonnement intérieur de leur maison, en fonction de leurs besoins. A l’extérieur, chaque logement bénéficie d’une terrasse avec pergola donnant sur un petit jardin privatif tandis qu’un jardin collectif, permet de partager des activités communes. Dans le contexte actuel où la réhabilitation des bâtiments anciens est un enjeu majeur du développement durable, cette transformation apporte une réponse aux problématiques adjacentes à ce type de projet: Comment penser l’évolutivité et la modularité des espaces pour répondre à différentes demandes d’usage? Comment vivre ensemble en copropriété, en préservant l’intimité de chacun malgré la promiscuité?
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    152 rue des Essards et des Arts
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    Le projet consiste en la transformation d’une friche industrielle en logements. La problématique de départ était de pouvoir aménager un maximum de logements individualisés dans les bâtiments existants, afin d’assurer la viabilité financière du projet, tout en proposant une architecture contemporaine de qualité. Le bâti se composait à l’origine de deux bâtiments juxtaposés: une ossature béton pour les bureaux et une structure métallique pour l’atelier. Le point de départ est alors de démonter le hangar, afin d’aérer le site et libérer de l’espace. La création de maisons en bande mitoyennes, de type duplex, est alors retenue afin de profiter de l’orientation est/ouest et présenter des accès privatifs en façade. Le principe de la maison en bande, à l’instar de l’habitat des cités ouvrières, présente un intérêt économique évident de par la compacité des volumes et la répétition des prestations. Il permet également de densifier les constructions sur la parcelle, afin d’offrir plus d’espaces extérieurs facilement appropriables par les habitants. Enfin, faire le choix de la maison en bande, participe à la création de la ville en maitrisant, d’une part le foncier et l’étalement urbain et en créant d’autre part des espaces publics et collectifs qualitatifs, porteurs d’échange et de vie sociale. Sur ce site, la bonne implantation du bâtiment sur la parcelle, sa volumétrie généreuse et la qualité de sa structure, ont guidé le choix de conserver l’ossature. Les façades ont été démolies, afin de pouvoir reprendre les ouvertures, retravailler la performance de l’enveloppe et redynamiser l’architecture. Le projet repose ainsi sur la déclinaison de maisons aux typologies variées (du T2 au T5) qui s’inscrivent dans la trame structurelle existante. A l’intérieur un bloc regroupant les pièces humide est placé au centre, libérant les façades pour les pièces de vie et les chambres. L’aménagement des plateaux intérieurs se faisant ensuite à la demande, les futurs résidents restent libres de faire évoluer le cloisonnement intérieur de leur maison, en fonction de leurs besoins. A l’extérieur, chaque logement bénéficie d’une terrasse avec pergola donnant sur un petit jardin privatif tandis qu’un jardin collectif, permet de partager des activités communes. Dans le contexte actuel où la réhabilitation des bâtiments anciens est un enjeu majeur du développement durable, cette transformation apporte une réponse aux problématiques adjacentes à ce type de projet: Comment penser l’évolutivité et la modularité des espaces pour répondre à différentes demandes d’usage? Comment vivre ensemble en copropriété, en préservant l’intimité de chacun malgré la promiscuité?
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    Le projet consiste en la transformation d’une friche industrielle en logements. La problématique de départ était de pouvoir aménager un maximum de logements individualisés dans les bâtiments existants, afin d’assurer la viabilité financière du projet, tout en proposant une architecture contemporaine de qualité. Le bâti se composait à l’origine de deux bâtiments juxtaposés: une ossature béton pour les bureaux et une structure métallique pour l’atelier. Le point de départ est alors de démonter le hangar, afin d’aérer le site et libérer de l’espace. La création de maisons en bande mitoyennes, de type duplex, est alors retenue afin de profiter de l’orientation est/ouest et présenter des accès privatifs en façade. Le principe de la maison en bande, à l’instar de l’habitat des cités ouvrières, présente un intérêt économique évident de par la compacité des volumes et la répétition des prestations. Il permet également de densifier les constructions sur la parcelle, afin d’offrir plus d’espaces extérieurs facilement appropriables par les habitants. Enfin, faire le choix de la maison en bande, participe à la création de la ville en maitrisant, d’une part le foncier et l’étalement urbain et en créant d’autre part des espaces publics et collectifs qualitatifs, porteurs d’échange et de vie sociale. Sur ce site, la bonne implantation du bâtiment sur la parcelle, sa volumétrie généreuse et la qualité de sa structure, ont guidé le choix de conserver l’ossature. Les façades ont été démolies, afin de pouvoir reprendre les ouvertures, retravailler la performance de l’enveloppe et redynamiser l’architecture. Le projet repose ainsi sur la déclinaison de maisons aux typologies variées (du T2 au T5) qui s’inscrivent dans la trame structurelle existante. A l’intérieur un bloc regroupant les pièces humide est placé au centre, libérant les façades pour les pièces de vie et les chambres. L’aménagement des plateaux intérieurs se faisant ensuite à la demande, les futurs résidents restent libres de faire évoluer le cloisonnement intérieur de leur maison, en fonction de leurs besoins. A l’extérieur, chaque logement bénéficie d’une terrasse avec pergola donnant sur un petit jardin privatif tandis qu’un jardin collectif, permet de partager des activités communes. Dans le contexte actuel où la réhabilitation des bâtiments anciens est un enjeu majeur du développement durable, cette transformation apporte une réponse aux problématiques adjacentes à ce type de projet: Comment penser l’évolutivité et la modularité des espaces pour répondre à différentes demandes d’usage? Comment vivre ensemble en copropriété, en préservant l’intimité de chacun malgré la promiscuité?
    Habitat, Rénovation, rénovation thermique
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