ATELIER D'ARCHITECTURE FRANK PLAYS

UNE ARCHITECTURE HEUREUSE

 Frank Plays pense l’architecture comme un art où l’univers se reflète. Un jeu de couleurs, de formes et de matériaux, conçu comme un swing architectural. Il ne capture pas l’espace, il le rend ouvert et disponible.

 

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  Frank Plays a cherché pendant plus de vingt ans, à renouveler le vocabulaire architectural des collectivités territoriales : centres hospitaliers, groupes scolaires, hôtels d’entreprises, centres sociaux, parcs des expositions, conservatoires, musées, gendarmeries, locaux techniques pour en faire des lieux qui laissent transparaître la citoyenneté que ces édifices animent. Plans, ouvertures, contours, lignes, hauteurs, courbes et couleurs suggèrent une réverbération entre valeur d’usage et implantation sur un site dans un territoire donné. Il pense l’architecture publique comme devant rendre compte des mutations que la citoyenneté suppose d’une époque à une autre. L’architecture n’est plus alors conçue comme un lieu clos, fermé sur lui-même mais comme un écosystème porteur de ce qui a eu lieu et témoigne de ce qui a quotidiennement cours.

 De quoi le mur est-il vraiment porteur ?

A l’opposé d’une architecture qui emmure le travail de celles et ceux qui l’intègrent, son œuvre d’architecte prête attention au territoire et à tous les êtres qui l'animent. Frank Plays a eu besoin de repenser le mur, sa présence, sa fonction et sa texture à l’ère du numérique, de la crise climatique et d’une redéfinition écocitoyenne de nos modes d’existence. Comment penser le mur aujourd’hui comme l’ont pensé en leur temps Vauban ou Le Corbusier ?

  Il s’est associé avec l’artiste Daniel Van de Velde dans le cadre de commandes artistiques publiques pour repenser le mur en laissant jaillir sa dimension picturale.

Cet architecte n'a pas encore diffusé son book sur Architectes pour tous.