Ecole Nationale des Chartes

  • hall de l'Ecole Nationale des Chartes
    le hall sur la rue de Richelieu
    Etablissement recevant du public (ERP)
    L’opération du 65, rue de Richelieu, financée par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, a pour objet de réhabiliter l’ensemble du bâtiment afin d’y accueillir l’Ecole nationale des chartes, installée depuis 1897 au cœur de la Sorbonne. L’immeuble, construit dans les années 1930 par les architectes Leroy et Cury, offre au centre de Paris plus de 2.800 m2 de planchers sur 10 niveaux. Discret, pris entre trois hautes mitoyennetés, en retrait et de largeur réduite sur la rue (14 mètres), il se découvre par la façade en pierre de ses 5 premiers étages. Son nouveau cadre urbain et bâti impose à l’école une organisation contrainte et verticale de ses espaces d’enseignement, de travail et de convivialité. Si les ascenseurs, les escaliers et les paliers sont les premiers espaces d’une convivialité quotidienne diffuse, ils ne peuvent constituer l’identité architecturale de l’école, ce lieu partagé d’une communauté scientifique, avec ses étudiants, enseignants, chercheurs, et son personnel administratif. Pour introduire ce lieu dans l’édifice blotti au cœur de la densité urbaine de Paris, et offrir l’expérience physique d’un véritable espace d’accueil et de rencontre, le projet creuse un vide de 4,50m x 4,50m x 9,00m de hauteur, comme un patio intérieur qui réunit les espaces les plus publics du programme, ceux de l’enseignement, de l’accueil et de la diffusion. Cette « lanterne » qui monte depuis la rue de Richelieu jusqu’à la lumière de la cour déplacée au 2ème étage, devient la « partie visible », celle qui incarne l’école et invite le visiteur depuis le rez-de-chaussée. « Il convient de confier aux lettres de l'écriture la geste des événements afin qu'ils soient conservés perpétuellement en mémoire » rappelle le texte en découpe lumineuse sur le lustre suspendu dans cet atrium. A partir du 3ème étage, l’ensemble de l’administration s’installe de manière fonctionnelle, comme suspendu dans les airs jusqu’à offrir ces vues magnifiques sur les toits de la ville, le 6ème étage de la direction constituant le centre de gravité de cet ensemble.
    Etablissement recevant du public (ERP)
    65 rue de Richelieu
    75002 Paris
    France métropolitaine
    2014
    75 - Paris
    Maître d’ouvrage
    Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche - OPPIC
  • atrium de l'Ecole Nationale des Chartes
    atrium reliant les 3 premiers niveaux de l'école
    Etablissement recevant du public (ERP)
    L’opération du 65, rue de Richelieu, financée par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, a pour objet de réhabiliter l’ensemble du bâtiment afin d’y accueillir l’Ecole nationale des chartes, installée depuis 1897 au cœur de la Sorbonne. L’immeuble, construit dans les années 1930 par les architectes Leroy et Cury, offre au centre de Paris plus de 2.800 m2 de planchers sur 10 niveaux. Discret, pris entre trois hautes mitoyennetés, en retrait et de largeur réduite sur la rue (14 mètres), il se découvre par la façade en pierre de ses 5 premiers étages. Son nouveau cadre urbain et bâti impose à l’école une organisation contrainte et verticale de ses espaces d’enseignement, de travail et de convivialité. Si les ascenseurs, les escaliers et les paliers sont les premiers espaces d’une convivialité quotidienne diffuse, ils ne peuvent constituer l’identité architecturale de l’école, ce lieu partagé d’une communauté scientifique, avec ses étudiants, enseignants, chercheurs, et son personnel administratif. Pour introduire ce lieu dans l’édifice blotti au cœur de la densité urbaine de Paris, et offrir l’expérience physique d’un véritable espace d’accueil et de rencontre, le projet creuse un vide de 4,50m x 4,50m x 9,00m de hauteur, comme un patio intérieur qui réunit les espaces les plus publics du programme, ceux de l’enseignement, de l’accueil et de la diffusion. Cette « lanterne » qui monte depuis la rue de Richelieu jusqu’à la lumière de la cour déplacée au 2ème étage, devient la « partie visible », celle qui incarne l’école et invite le visiteur depuis le rez-de-chaussée. « Il convient de confier aux lettres de l'écriture la geste des événements afin qu'ils soient conservés perpétuellement en mémoire » rappelle le texte en découpe lumineuse sur le lustre suspendu dans cet atrium. A partir du 3ème étage, l’ensemble de l’administration s’installe de manière fonctionnelle, comme suspendu dans les airs jusqu’à offrir ces vues magnifiques sur les toits de la ville, le 6ème étage de la direction constituant le centre de gravité de cet ensemble.
    Etablissement recevant du public (ERP)
    65 rue de Richelieu
    75002 Paris
    France métropolitaine
    2014
    75 - Paris
    Maître d’ouvrage
    Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche - OPPIC
  • 6e étage Ecole Nationale des Chartes
    bureau de direction 6e étage
    Etablissement recevant du public (ERP)
    L’opération du 65, rue de Richelieu, financée par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, a pour objet de réhabiliter l’ensemble du bâtiment afin d’y accueillir l’Ecole nationale des chartes, installée depuis 1897 au cœur de la Sorbonne. L’immeuble, construit dans les années 1930 par les architectes Leroy et Cury, offre au centre de Paris plus de 2.800 m2 de planchers sur 10 niveaux. Discret, pris entre trois hautes mitoyennetés, en retrait et de largeur réduite sur la rue (14 mètres), il se découvre par la façade en pierre de ses 5 premiers étages. Son nouveau cadre urbain et bâti impose à l’école une organisation contrainte et verticale de ses espaces d’enseignement, de travail et de convivialité. Si les ascenseurs, les escaliers et les paliers sont les premiers espaces d’une convivialité quotidienne diffuse, ils ne peuvent constituer l’identité architecturale de l’école, ce lieu partagé d’une communauté scientifique, avec ses étudiants, enseignants, chercheurs, et son personnel administratif. Pour introduire ce lieu dans l’édifice blotti au cœur de la densité urbaine de Paris, et offrir l’expérience physique d’un véritable espace d’accueil et de rencontre, le projet creuse un vide de 4,50m x 4,50m x 9,00m de hauteur, comme un patio intérieur qui réunit les espaces les plus publics du programme, ceux de l’enseignement, de l’accueil et de la diffusion. Cette « lanterne » qui monte depuis la rue de Richelieu jusqu’à la lumière de la cour déplacée au 2ème étage, devient la « partie visible », celle qui incarne l’école et invite le visiteur depuis le rez-de-chaussée. « Il convient de confier aux lettres de l'écriture la geste des événements afin qu'ils soient conservés perpétuellement en mémoire » rappelle le texte en découpe lumineuse sur le lustre suspendu dans cet atrium. A partir du 3ème étage, l’ensemble de l’administration s’installe de manière fonctionnelle, comme suspendu dans les airs jusqu’à offrir ces vues magnifiques sur les toits de la ville, le 6ème étage de la direction constituant le centre de gravité de cet ensemble.
    Etablissement recevant du public (ERP)
    65 rue de Richelieu
    75002 Paris
    France métropolitaine
    2014
    75 - Paris
    Maître d’ouvrage
    Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche - OPPIC
  • coupe en long
    coupe en long
    Etablissement recevant du public (ERP)
    L’opération du 65, rue de Richelieu, financée par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, a pour objet de réhabiliter l’ensemble du bâtiment afin d’y accueillir l’Ecole nationale des chartes, installée depuis 1897 au cœur de la Sorbonne. L’immeuble, construit dans les années 1930 par les architectes Leroy et Cury, offre au centre de Paris plus de 2.800 m2 de planchers sur 10 niveaux. Discret, pris entre trois hautes mitoyennetés, en retrait et de largeur réduite sur la rue (14 mètres), il se découvre par la façade en pierre de ses 5 premiers étages. Son nouveau cadre urbain et bâti impose à l’école une organisation contrainte et verticale de ses espaces d’enseignement, de travail et de convivialité. Si les ascenseurs, les escaliers et les paliers sont les premiers espaces d’une convivialité quotidienne diffuse, ils ne peuvent constituer l’identité architecturale de l’école, ce lieu partagé d’une communauté scientifique, avec ses étudiants, enseignants, chercheurs, et son personnel administratif. Pour introduire ce lieu dans l’édifice blotti au cœur de la densité urbaine de Paris, et offrir l’expérience physique d’un véritable espace d’accueil et de rencontre, le projet creuse un vide de 4,50m x 4,50m x 9,00m de hauteur, comme un patio intérieur qui réunit les espaces les plus publics du programme, ceux de l’enseignement, de l’accueil et de la diffusion. Cette « lanterne » qui monte depuis la rue de Richelieu jusqu’à la lumière de la cour déplacée au 2ème étage, devient la « partie visible », celle qui incarne l’école et invite le visiteur depuis le rez-de-chaussée. « Il convient de confier aux lettres de l'écriture la geste des événements afin qu'ils soient conservés perpétuellement en mémoire » rappelle le texte en découpe lumineuse sur le lustre suspendu dans cet atrium. A partir du 3ème étage, l’ensemble de l’administration s’installe de manière fonctionnelle, comme suspendu dans les airs jusqu’à offrir ces vues magnifiques sur les toits de la ville, le 6ème étage de la direction constituant le centre de gravité de cet ensemble.
    Etablissement recevant du public (ERP)
    65 rue de Richelieu
    75002 Paris
    France métropolitaine
    2014
    75 - Paris
    Maître d’ouvrage
    Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche - OPPIC